
Un jeune homme de 20 ans est entre la vie et la mort au CHU de Poitiers, où il a été hospitalisé à la suite d’un coup de poing pour « un mauvais regard » dans le sas du Hall Black, un bowling, à Gond-Pontouvre, relate la Charente libre.
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« Irish Lives Matter ! » (« Les vies irlandaises comptent ! »), « Irlande lève-toi ! », « « Dégagez-les ! »… Les lecteurs de ce blog et de Reconquête (qui a consacré un de ses récents numéros à la résistance des Irlandais face au Grand Remplacement), ne seront pas étonnés de ce qui s’est passé à Dublin dans la nuit du 23 novembre dernier.
Non pas des « émeutes de hooligans d’extrême droite » comme le disent et le répètent les médias des têtes molles, mais un salutaire réflexe d’auto-défense face à la menace d’envahissement in progress. A Crépol, des bougies, des nounours, des lâchers de ballons… A Dublin, une nation debout. Pour dire qu’elle ne se laissera pas faire par les racailles.
Geoffroy Antoine
Plusieurs agressions et expéditions punitives sont survenues dans des salles de fêtes communales au cours de l’année 2023
Le meurtre du tout jeune Thomas, lors d’un bal de village, s’inscrit dans une série d’agressions et violences commises à l’encontre de nombreux Français dans des conditions similaires. L’issue est rarement aussi dramatique, raison pour laquelle cette réalité échappe sans doute, mais la répétition a de quoi inquiéter.
(…) Au total, 120 membres des forces de l’ordre sont présents sur place. (…)
(…) Ils ont été rapidement bloqués par les forces de l’ordre (gendarmes et police) avant qu’ils n’arrivent dans le quartier.
«Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées. Il n’y a donc plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement, c’est déplorable», note Quentin Coton, président de l’UNI Sciences Po.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
D’après cette dépêche Reuters voilà ce que nous savons au moment où j’écris ces lignes. (source ici)
« Israël et le Hamas ont convenu mercredi d’un cessez-le-feu à Gaza pendant au moins quatre jours, pour laisser entrer l’aide et libérer au moins 50 otages détenus par des militants dans l’enclave palestinienne en échange d’au moins 150 Palestiniens emprisonnés en Israël.
Il est intéressant d’observer les réactions officielles à la tragédie de Crépol. Elles sont de deux ordres : le premier consiste à s’arroger le monopole du commentaire. Etre au pouvoir, viendrait conférer une sorte de droit à commenter sans tabou avec des termes musclés : barbarie, etc. En revanche, les mêmes mots (ou tout aussi forts), venant d’ailleurs, seront qualifiés « de récupération« . C’est une manière d’imposer le silence et de faire taire toute critique par avance en la délégitimant ou en la diabolisant.
Son nom a fini par sortir et comme prévu il n’a pas vraiment de consonance française : Chaïd Akabli, l’assassin de Thomas à Crépol. Connu défavorablement des services de police.