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islamisme - Page 396

  • Le terme islamophobie sert d'arme à tous ces promoteurs de l'islamisme politique

    Interrogé dans le Figarovox, Laurent Bouvet déclare :

    "[...] Nous ne connaissons pas, heureusement, les mêmes conditions que dans certains pays arabes et musulmans en matière de débat public, et d'expression sur l'islam. Mais la pression existe. A la fois de la part d'une frange extrémiste, radicalisée, dans l'islam, et surtout, de la part de tout un tas de gens, que ce soit dans l'université, dans certains milieux activistes politiques ou associatifs ou même, parfois, au coeur de certaines institutions publiques. Il n'apparaît pas possible de parler de l'islam et, surtout, ce qui me paraît plus important encore, de la place de cette religion dans la République, dans l'espace social et public, de la même manière que des autres, et de manière tout simplement laïque.

    Cette dissymétrie vient d'abord d'une difficulté à l'intérieur de l'islam, dont nous n'avons pas, en tant que société sécularisée et laïcisée, à nous occuper. Ce n'est en effet pas à nous, non musulmans, de dire qui sont les bons et les mauvais musulmans, quelle est la bonne ou la mauvaise manière de pratiquer l'islam, etc. Personnellement, je n'en sais rien et je ne veux pas le savoir. La religion comme pratique et comme vérité de la foi si l'on veut ne m'intéresse pas. Là où tout ceci me concerne, nous concerne, c'est dans sa dimension sociale et politique. Une religion ne concerne pas en effet que les croyants, elle a des effets sociaux et induit des conséquences sur les mœurs, le droit, la politique… dans une société. Il en va de l'islam comme de toutes les religions dès lors qu'elles concernent un nombre significatif de gens au sein d'une société.

    Or, le fait que l'islam soit à la fois une religion prosélyte et une religion qui implique un mode de vie particulier pour ses croyants conduit, dans une société où elle n'est pas majoritaire, à des tensions et des questions sur la manière dont elle peut s'articuler aux modes de vie de l'ensemble de la population non musulmane, et aussi à la liberté relative des musulmans de vivre plus ou moins en accord avec les préceptes de leur religion. C'est là que la difficulté de ne pas pouvoir se référer à une autorité incontestable, centrale et édictrice de principes clairs pour tous les musulmans fait défaut, évidemment. Les origines nationales variées et les pratiques différentes de l'islam des Français musulmans et des étrangers musulmans vivant en France impliquent des comportements et des attitudes très divers. [...]

    Le terme islamophobie sert précisément d'arme à tous ces promoteurs de l'islamisme politique et à leurs alliés. Sous son aspect descriptif d'une réalité qui existe et qui doit être combattue avec vigueur, les paroles et les actes anti-musulmans, il sert avant tout à disqualifier et à mettre en accusation toutes celles et tous ceux qui émettent des critiques contre cet islamisme politique et ses alliés. [...]

    Que ces méthodes totalitaires soient utilisées par des militants islamistes, cela s'explique même si on peine à le comprendre. Qu'elles soient en revanche devenues monnaie courante dans le débat public en France, cela m'étonne davantage. Les attaques contre Elisabeth Badinter ou Kamel Daoud, ou encore contre Céline Pina ou Amine El Khatmi récemment, de la part de responsables d'institutions publiques, d'élus politiques, de journalistes ou de collègues universitaires à coup d'accusations d'islamophobie sont pour moi insupportables.

    Le terme lui-même n'est parfois même plus interrogé. Il est admis comme l'équivalent d'antisémitisme ou de racisme! Des colloques sont organisés sur l'islamophobie sans que le terme soit mis en question. Le CCIF, une association militante qui promeut l'islamisme politique, est même reçue officiellement par les autorités publiques au nom de ce combat contre l'islamophobie dont elle a, habilement, fait son objet. Ce sont des aveuglements et des renoncements qui en disent long et surtout qui risquent de coûter cher. C'est un processus de combat culturel pour l'hégémonie au sens gramscien auquel nous assistons. Certains l'ont bien compris, d'autres non. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Notre camarade et ami Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, vient de passer 6 heures de garde à vue pour avoir dénoncé publiquement la barbarie islamiste.

    Le communiqué de Thomas Joly
    J'ai été placé en garde à vue ce vendredi 19 février pour être entendu à propos d'une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur ». Il s'agit en fait d'une procédure engagée par l'OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication) visant l'utilisation de deux photos pour illustrer des articles de mon blog consacrés aux atrocités commises par DAECH et au meurtre par décapitation commis par l'islamiste Yassin Salhi en juin 2015.
    Cette minable petite intimidation politico-judiciaire est évidemment sans effet sur ma détermination à dire la vérité aux Français sur le danger islamiste dans un pays envahi dirigé par des irresponsables.
    Marine Le Pen, Présidente du Front National, ayant diffusé ces mêmes photos sur son compte Twitter, il sera intéressant de voir si elle subit le même traitement que ma modeste personne...
    Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités...
    NDLR : La direction et les rédacteurs de Synthèse nationale tiennent à exprimer leur totale solidarité avec Thomas Joly et à lui témoigner leur amitié combattante.

    Synthèse nationale :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVypAupuEWofCaRhg.shtml

  • Stéphane Ravier : « Marseille est devenue la capitale européenne du salafisme »

    Membre du Front national, où il siège au bureau politique depuis 2010, Stéphane Ravier est maire des 13e et 14e arrondissements de Marseille et Sénateur des Bouches-du-Rhône. Il a bien voulu répondre aux questions du Rouge & Le Noir.

    R&N : Noël a de nouveau cette année occasionné des polémiques sur les crèches dans les mairies. Va-t-il désormais falloir défendre tous les ans les traditions populaires et par conséquent les racines chrétiennes de la France ?

    Stéphane Ravier : Retraçons l’origine de la polémique de cette année. Elle n’a pas été lancée par la gauche, mais par un important élu de droite : le frère François Baroin ! Le président de l’Association des Maires de France a en effet prôné le retrait des crèches dans les mairies, au nom de la "laïcité" et de l’apaisement. Les cadres du Front National se sont mobilisés contre cette dérive laïciste, avec - il faut le reconnaître - des élus Les Républicains. Il faut cependant poser la question de la cohérence : comment le parti "Les Républicains" peut-il comporter, en son sein, des tendances aussi radicalement opposées ?

    La crèche, c’est le symbole de ce christianisme populaire et simple, présent dans le foyer de nombreux Français, y compris incroyants. On peut s’inquiéter qu’une tradition aussi admise soit désormais contestée. Mais, tout comme la Manif pour tous avait révélé un "populisme chrétien" et réveillé la droite des valeurs que personne n’osait plus incarner, ces attaques font prendre conscience aux Français de la spécificité de leur mode de vie.

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  • Reportage à voir d’urgence : « Syrie : le grand aveuglement »

    Depuis près de 5 ans, la Syrie est un champ de bataille pour près de 70 nations différentes. Les médias occidentaux ne cessent d’exagérer les crimes de Bachar el-Assad et de son régime (certains sont réels). En parallèle, les rebelles dit « modérés » sont présentés comme des saints, luttant au péril de leurs vies, pour ramener la paix dans le pays. L’émissionun œil sur la planète; diffusée sur France 2 hier soir, brise l’omerta et propose une vision beaucoup plus nuancée du conflit. Un documentaire à ne pas manquer !

    Les réactions sur Twitter sont partagées entre ceux qui applaudissent l’initiative :

    Et les « Charlie » et qui exigent la censure :

     http://www.contre-info.com/

  • Le PS sacrifie les femmes

    Pour plaire aux frères islamiques et hiérarchiser leurs priorités, les frères maçons et gauchistes se devaient de sacrifier les femmes : c'est fait.
    Choix cornéliens et reniements au Parti socialiste… On se souvient du Salon de la femme musulmane à Pontoise et de Céline Pina, cette empêcheuse de prêcher en rond, membre du PS, dénonçant le sexisme des discours des imams. Elle se fâcha avec son secrétaire fédéral du Val-d’Oise, Rachid Temal, et finalement fut débarquée sans ménagement. Aujourd’hui, on annonce la nomination de Yacine Chaouat, ex-adjoint d’un maire parisien PS, comme membre du secrétariat national adjoint. L’homme a été condamné en appel à six mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il se pourvoit en cassation. Son ex-compagne, tunisienne, lui reproche d’avoir été « contrainte de ne pas quitter l’appartement » et d’avoir été « frappée à coups de ceinturon ». Sic.

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  • Que se passe-t-il réelement en Syrie ? Partie 3/4 : Pierre Piccinin Da Prata

  • La presse polonaise choque les biens pensants

    La presse polonaise ne dénonce pas le voile islamique mais le viol islamique de l'Europe et cela choque nos bobos, restés bien silencieux lors des viols et agressions sexuelles en Allemagne :

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    Michel Janva

  • Syrie: Israël allume le front de Quneitra, ses milices battues de nouveau

    Lésé par les changements sur le terrain en Syrie en faveur de l’armée syrienne et ses alliés, Israël tente tant bien que mal de reprendre le dessus dans le sud, où les milices qu’il soutient ont subi d’importants revers. Mais sa nouvelle tentative de mardi s’est à son tour soldée par un revers cuisant.
    Selon le journal libanais al-Akhbar, citant des observateurs informés, des mouvements suspects avaient été détectés ces derniers jours sur le front de la province de Quneitra en particulier.
    Au moment où mardi matin, 12 milices combattant dans le cadre de l'Armée syrienne libre (ASL) ont annoncé le lancement d’une bataille qu’ils ont baptisée « Si vous retournez, nous retournerons », dans le but de prendre le contrôle de plusieurs positions de l’armée syrienne. Ces milices lorgnent surtout la localité Cheikh Miskine, conquise par l’armée la semaine passée, ainsi que la localité avoisinante Atma.
    Des sources sécuritaires syriennes ont confié pour al-Akhbar que cette bataille était attendue depuis bien longtemps, mais la décision de la déclencher a été prise depuis trois jours. Et pour cause : « la situation sur le terrain incommode Israël qui tente d’ouvrir une brèche en direction de la province ouest de Damas. Alors que les milices veulent à tout prix réaliser une victoire morale pour s’attirer le soutien des Etats » impliqués dans la crise syrienne, explique ces observateurs.
    Surtout que les réconciliations battent leur plein à Deraa et Quneitra.
    Mais comme la bataille était prévue, elle a été avortée avant son déclenchement.
    Les miliciens étaient en train de s’attrouper dans la région al-Jaaila, (ouest de cheikh Miskine) lorsque des avions russes et syriens les ont bombardés. Il y a eu au moins 26 tués dans leurs rangs, et 40 blessés. D'autres miliciens sont tombés dans une embuscade de l'armée, essuyant des pertes dans leurs rangs.
    Selon al-Akhbar, ces milices, en l’occurrence Bataillon al-Hamzé, Jaïch al-Ababil, Jaïch al-Yarmouk, Front des révolutionnaires de Syrie, et Bataillon al-Fourkane sont tous considérés par les puissances occidentales comme étant des "factions modérés". Alors que la milice wahhabite pro saoudienne Jaïch al-islam a fait part à la bataille, la branche d’Al-Qaïda en Syrie le front al-Nosra et le mouvement al-Mathanna étaient absents, remarque al-Akhbar. Ils ont du battre en retraite après leur perte de la localité de Cheikh Miskine, laquelle constituait leur principale voie d’approvisionnement.
    Les pertes des milices s'étaient accentuées vers le dernier trimestre de 2015, lorsque les forces gouvernementales et leurs alliés avaient réalisé une opération-éclair au cours de laquelle elles ont reconquis le triangle de la province de Damas-Deraa-Quneitra, qui est vital pour la sécurité de la capitale. Les milices étaient alors parvenues à réaliser quelque progression dans la province de Quneitra et à y assiéger des localités loyalistes, et quelque région de Deraa. Mais elles se sont rétractées après l’échec de la campagne baptisée « Tempête du sud » sur les portes de la ville de Deraa.
    Sachant que les milices soutenues par les puissances occidentales sont directement commanditées par les services de renseignements israéliens Amane, elles ont reçu ces derniers jours des munitions et des armes de leur part. Sans compter les trois camions conteneurs chargés d’armements en provenance de la Jordanie qui ont traversé samedi dernier la frontière. « Mais cette quantité est nettement inferieure à ce qui avait été envoyé dans le passé», constate une source sécuritaire. « Lors de la bataille de Bosra al-Cham et de l’aéroport al-Tahaalat, ce sont 40 camions conteneurs qui avaient été dépêchés », ajoute-t-elle.
    Depuis un mois, l’armée syrienne avait bombardé un convoi d’ânes transportant des armes sur le versant de la montagne al-Cheikh. Ce convoi était sorti de l’observatoire de l’armée d’occupation israélienne installé sur la montagne de Jabal al-Cheikh.
    « Ce que l’armée syrienne est entrain de reconquérir ces derniers temps, il sera presque exclu qu’elle le perde de nouveau », croient savoir les observateurs, conclut al-Akhbar.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVVZVlFVlLpiJcWLa.shtml