Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

l'emploi - Page 81

  • Inverser la courbe du chômage ? Rien de plus simple !

    La délinquance ? Elle vient du chômage. Le rejet des « élites » ? Le chômage. La pauvreté ? Encore le chômage.   

    Selon Platon, les chefs de la cité bonne devaient détenir leur autorité de leur connaissance du Juste et du Bien. C’est, là, bien compliquer les choses. L’essentiel pour un dirigeant n’est pas la vertu, ni la connaissance du Bien et des fins dernières du politique : il s’agit d’inverser la courbe du chômage. Tous les problèmes de la France proviennent du chômage.

    Si les Français votent FN, c’est bien sûr par désespérance, et cette désespérance vient du chômage. La délinquance ? Elle vient du chômage. Le rejet des « élites » ? Le chômage. La pauvreté ? Encore le chômage. Bien sûr, il n’y a pas de travailleurs pauvres, ni d’instinct de violence et de domination. Et il est impensable, pour les technocrates hors-sol qui nous gouvernent, que certains puissent être, et de plus en plus, attachés à une entité millénaire comme la France, ou qu’ils puissent revendiquer une vraie souveraineté populaire. Le chômage est le père de tous nos maux. Il faut régler ça.

    Lire la suite

  • Les jeunes n’ont jamais autant été touchés par le chômage

    En 2013, trois ans après leur sortie du système scolaire ou supérieur, 22% des jeunes actifs étaient à la recherche d’un emploi. Le plus haut niveau jamais observé selon le Centre d’études et de recherches des jeunes sur les qualifications (Céreq).

    Plus qualifiés, mais moins embauchés. Tel est le résultat de l’enquête sur les jeunes et l’emploi, menée par le Céreq et dévoilée mardi. Selon cette publication, la génération des jeunes diplômés en 2010 serait la plus touchée par le chômage depuis 1970.

    Près d’un jeune sur cinq au chômage

    La hausse par rapport à la génération diplômée en 2004 est de 16 points pour les non-diplômés et de 3 points pour les diplômés du supérieur, indique le Céreq. Ils sont ainsi 22% à n’avoir toujours pas trouvé de travail trois ans après la fin de leurs études, soit une personne sur cinq. L’organisme indique : “L’insertion se dégrade lourdement. La transition de l’école à l’emploi s’avère bien plus difficile“.


    Et d’ajouter que la crise financière arrivée en 2008 et celle des dettes souveraines à l’été 2010 sont les deux raisons principales de la dégradation du marché du travail. En plus de cette détérioration de la conjoncture économique, le Céreq pointe “la faiblesse de l’intervention publique traduite par la diminution des contrats aidés destinés aux jeunes. La montée en charge des emplois d’avenir, créés en octobre 2012, ne s’opère qu’en 2013“.

    Compte tenu du fonctionnement du marché du travail, les débutants sont souvent les plus touchés en temps de crise.

    La génération “la plus éduquée”

    Jamais les employeurs n’ont pourtant eu affaire à des candidats aussi diplômés, en particulier dans le supérieur. Depuis 2004, la part des étudiants qui sortent avec un Master en poche est passée de 14% à 17% en 2010.

    Les titulaires d’un Master, les diplômés d’écoles d’ingénieurs, de formation médicale et les thésards “ont bien résisté“. Leur taux de chômage n’atteint pas les 12% quand celui des CAP et des BEP dépasse les 30%.

    Les disparités se sont ainsi accentuées. Les jeunes sans diplôme ou faiblement diplômés ont vu leurs conditions d’insertion se dégrader lourdement.

    Chômage record pour les non diplômés

    Les jeunes qui sortent du système éducatif sans diplôme représentent 16% de la génération 2010. Un de ces jeunes actifs sur deux était encore à la recherche d’un emploi en 2013.

    Quant à l’intérim, en plein effondrement, il ne joue plus son rôle de passerelle vers l’emploi. Parallèlement, les contrats aidés destinés aux jeunes ont été moins nombreux entre 2010 et 2013. Le Céreq, qui précise qu’ils ont été 12% à n’avoir quasiment pas travaillé, ajoute : “Une partie des jeunes de cette génération, pour la majorité sans diplôme, n’a pas franchi en trois ans la barrière de l’emploi, avec un risque d’exclusion sociale accrue“.

    Des salaires et des conditions de travail stables

    Les résultats du Céreq laissent néanmoins poindre quelques aspects positifs : malgré l’ampleur de la dégradation, la majorité des jeunes, soit 62% d’entre eux, continue d’accéder à l’emploi en moins de trois mois. La part des Contrats à durée indéterminée (CDI) reste stable et le montant des salaires a légèrement, et lentement, augmenté. “La moitié des jeunes salariés de la génération 2010 débute avec un revenu net mensuel supérieur à 1.350 euros, soit 70 euros de plus que leurs aînés“.

    La Tribune

    http://fortune.fdesouche.com/335985-les-jeunes-nont-jamais-autant-ete-touches-par-le-chomage

  • Les jeunes et le chômage : désintox suite aux propos de Valls

    Dans son discours à l'Assemblée Nationale, Valls a affirmé que

    "La politique de l'emploi conduite depuis 22 mois en direction des jeunes a eu des résultats."

    Malheureusement, c'est exactement l'inverse : les jeunes n'ont jamais autant été touchés par le chômage. En 2013, trois ans après leur sortie du système scolaire ou supérieur, 22% des jeunes actifs étaient à la recherche d'un emploi. Le plus haut niveau jamais observé selon le Centre d'études et de recherches des jeunes sur les qualifications (Céreq).

    Michel Janva

  • La BCE, ou la politique de l’inaction

    La confiance est l’ingrédient primordial de la croissance ; aussi, lorsque les perspectives sont mauvaises, le discours officiel est à prendre avec précaution.
    La Banque centrale européenne a la haute main sur les taux d’intérêt en euros, ce qui signifie, dans un monde où les flux spéculatifs dépassent (et de loin) les échanges de biens réels, une influence certaine sur le taux de change de la monnaie. Ces dernières semaines, toute une série d’indicateurs économiques avaient laissé penser que la zone euro était en train de s’enliser dans la déflation, d’où une attention toute particulière portée à la réunion mensuelle de la BCE qui s’est déroulée hier à Francfort.
    Celle-ci avait le choix a) de ne rien faire, c’est-à-dire laisser son taux directeur (taux courts) à son niveau actuel de 0,25 %, b) l’abaisser une nouvelle fois à 0,15 % voire à 0,10 %, c) faire descendre exceptionnellement ce taux en dessous de zéro ou enfin d) porter son effort sur les taux obligataires (taux longs) en engageant, à l’instar de la Fed, un programme de rachat d’obligations souveraines (QE) 1. Seules ces deux dernières mesures auraient pu avoir un effet significatif (à la baisse) sur l’euro.
    Lire la suite

  • Ils veulent perdre les municipales

    Les perles gouvernementales de la semaine :

    • Convocation d'une réunion de crise, hier, à l'Elysée. Objectif : rabibocher le... chef des cuisines avec Nicole Bricq, qui a pourtant le bon goût d'incarner parfaitement la gauche caviar. D'après le ministre du commerce extérieur, le foie gras truffé et le Château Lafite (prix grand public, 460 € la bouteille), c'est "dégueulasse". Au moins aura-t-on appris qu'il y avait un chef à l'Elysée.
    • Le chômage a battu un nouveau record en février (+31 500 inscrits à Pôle emploi, et +28,5% de radiations) ? Michel Sapin nous rassure : "Les chiffres vont dans la mauvaise direction mais on maintient le cap". Si François Hollande est capitaine de pédalo, le ministre du chômage, lui, est commandant du Titanic.
    • Le ministre marocain des affaires étrangères a subi une fouille à l'aéroport Charles de Gaulle. Deux incidents diplomatiques en un mois avec le Maroc, ça mérite des excuses : Laurent Fabius a donc dû s'aplatir façon carpette. Encore un coup de Mistral, et elle s'envolera très loin du Quai d'Orsay ?
    • Depuis que François Hollande Fal'con pour aller voter, ses ministres sont priés de rouler en Zoé. La voiture électrique, c'est écolo, mais ça tombe en panne dès que vous voulez utiliser un gyrophare. Ce gouvernement souffre de circulation alternée  : il n'y a qu'une partie du cerveau qui est irriguée.
    • Si Christiane Taubira a laissé dire pendant plus de dix ans qu'elle était titulaire de deux doctorats, c'est la faute des journalistes. Si elle découvre la dernière que Nicolas Sarkozy est sur écoutes, c'est la faute de sa directrice de cabinet. Si elle brandit des documents qui contredisent ce qu'elle affirme, c'est la faute à pas de chance. Et si elle rate son train pour Grenoble où elle sait qu'elle n'est pas la bienvenue, c'est la faute à... Zoé ?

    Qui a demandé de "remercier ce gouvernement de branquignols" ?

    Louise Tudy

  • Espagne: défilé géant à Madrid pour dénoncer l'«urgence sociale»

    Des milliers de personnes venues des quatre coins de l'Espagne ont convergé, ce samedi 22 mars, dans les rues de la capitale. Certains marchaient depuis près d'un mois depuis l'Andalousie, la Catalogne ou encore les Asturies. Un grand défilé pour dénoncer l'« urgence sociale », notamment le taux de chômage record, 26%, et puis plus largement pour dénoncer la politique du gouvernement. Reportage dans les rues de Madrid.
    Grande manifestation à Madrid contre l'austérité :
    Chateau
    Les participants aux « marches pour la dignité » sont arrivés à Madrid. Un grand élan contestataire pour, une fois de plus, après tant d’années de crise, dénoncer la rigueur imposée par le gouvernement.
    Les manifestants comme Esther et Ramon veulent défendre leurs droits durement acquis : « C’est une injection de solidarité, de dignité comme l’annoncent les marches, mais surtout de solidarité », estime Esther. « C’est une lutte civique du peuple de bas en haut. Elle n’est manipulée par personne. Ici, on trouve ceux qui sont en colère, indignés », explique pour sa part Ramon.
    Six millions de chômeurs, des familles dans la pauvreté sans ressources, sans beaucoup d’espoir, certaines expulsées de leur domicile. Même si l’on assiste aux balbutiements d’une sortie de crise, les Espagnols ne croient plus aux promesses de leurs gouvernants qu’ils accusent d’être à la botte de la troïka. Ils parlent d’« urgence sociale ».
    A quelques semaines des élections européennes, c’est un coup de semonce pour le gouvernement de Mariano Rajoy. Pour éviter tout incident, le dispositif policier a été renforcé partout dans la capitale. On craint de possibles débordements des plus extrémistes.
    Mariano Rajoy 

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFAVVFpZZpBnLcLWeo.shtml
    Source : Rfi : http://www.rfi.fr/europe/20140322-espagne-defile-geant-madrid-denoncer-urgence-sociale/ (Avec la correspondante à Madrid, Martine Pouchard)
    L'image insérée dans le corps de l'article par la Rédaction de Voxnr est insue du Nouvel Observateur : http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20140322.REU2522/grande-manifestation-a-madrid-contre-l-austerite.html

  • 1,2 milliard d’euros et des milliers d’emplois en France, entre Fabius et Ayrault

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinfromation) – 1,2 milliard d’euros et des milliers d’emplois c’est ce que Laurent Fabius vient peut-être de réduire en fumée en quelques mots avant-hier soir au journal télévisé de TF1. Il l’a fait en évoquant la possibilité d’une annulation du contrat de fourniture à la Russie de deux navires porte hélicoptères de la classe Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) Mistral (photo), des navires géants. Il s’agirait d’une sanction de niveau trois si Poutine s’entêtait en Ukraine.

    Fabius a dû se raviser en raison des conséquences sur l’emploi et de la fureur de Jean‑Marc Ayrault, qui peine à exercer son rôle de Premier ministre. Ce serait la perte de 1.000 emplois  directs pendant quatre ans à Saint-Nazaire, plus les milliers d’emplois induits chez les sous-traitants et dans le bassin d’emploi de Saint-Nazaire et celui de Toulon.

    C’est un nouveau signe du manque profond de coordination qui touche le gouvernement. Fabius était au courant, il savait qu’il ne fallait pas en parler s’étrangle‑t‑on au sein du gouvernement. Certains pensent même que Laurent Fabius aurait voulu faire “une mauvaise manière à Jean-Marc Ayrault” car Saint-Nazaire fait partie du même pôle économique que Nantes, le fief du premier ministre.

    Les déclarations de Fabius ont été dénoncées par M. Le Pen ou le sénateur P. Marini. Bruno Le Maire, lui, demande la suspension de la livraison prévue de frégates à la Russie. Les rodomontades ne sauraient faire oublier les actuels liens économiques et le récent rapprochement économique avec la Russie.

    http://fr.novopress.info/160070/12-milliard-deuros-milliers-demplois-en-france-fabius-ayrault/

  • « Il est méchant, le Pôle emploi, il est mignon, le BIT »

    L’ennui, c’est que les Français à la recherche d’un emploi ne connaissent que le premier et n’ont même pas idée de ce qu’est le second.
    Michel Sapin est content. Oui, mais content comme le héros du Dîner de Cons dans lequel Thierry Lhermitte-Brochant chante à Jacques Villeret-Pignon : « Il est méchant, monsieur Brochant, il est mignon, monsieur Pignon. »
    Dans ce gouvernement digne de cette comédie culte, on imagine assez bien chanter au ministre du Travail après ses dernières déclarations : « Il est méchant, le Pôle emploi, il est mignon, le BIT. »
    Car question baisse du chômage, inversion de la courbe et promesse de Corrézien (désormais pire que celle d’un Gascon), c’est selon qu’on est « Pôle emploi » ou « Bureau international du travail »…
    L’ennui, c’est que les Français à la recherche d’un emploi ne connaissent généralement que le premier et n’ont même pas idée de ce qu’est le second.
    « Au titre de Pôle emploi, il n’y a pas eu d’inversion ; au titre du BIT, il y a eu inversion. À chacun de retenir l’indicateur qu’il souhaite », a estimé le ministre du Travail. Et donc, l’engagement de faire baisser le chômage fin 2013 pris par « Moi Président » aurait bel et bien été respecté, qu’on se le dise… L’INSEE n’a-t-il pas publié un taux de chômage en recul, au 4e trimestre, de 0,1 point ?
    Lire la suite

  • Iran : les Etats-Unis prêts à sanctionner Michelin

    Preuve s’il en était besoin que les sanctions mises en place contre l’Iran pour freiner ses ambitions en terme de nucléaire militaire seraient avant tout destinées à préserver les intérêts économiques et financiers des firmes US ….

    Alors que début février, le secrétaire d’État américain, John Kerry a tenu à appeler directement le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius pour lui signifier ouvertement son désaccord, suite au déplacement sur le sol iranien de plus d’une centaine de patrons d’entreprises du CAC40, effectué à l’initiative du Medef, trois sénateurs républicains viennent de s’adresser au Pentagone pour lui demander de sanctionner les compagnies françaises qui cherchent à établir des relations commerciales avec l’Iran.

    En visant en tout premier lieu Michelin, lequel pourrait faire de l’ombre à Goodyear ? Il n’est pas interdit d’y penser …

     

    Selon l’Agence de presse de la République islamique (IRNA), Trent Franks, Doug Lamborn et Joe Heck ont envoyé une lettre à Chuck Hagel, le secrétaire américain à la Défense en vue de lui d’exercer des pressions sur la compagnie française de pneumatiques afin de l’empêcher d’établir des relations commerciales avec l’Iran.

    Les sénateurs ont ainsi demandé à Hagel de mettre en garde Michelin, en l’informant que dans le cas où le groupe conclurait un accord avec Téhéran avant l’accord final sur son programme nucléaire, tout nouvel accord entre le Pentagone et Michelin serait impossible. Une menace qui intervient alors qu’en 2007, Michelin a signé un accord avec les forces armées américaines d’un montant de plus de 2,4 milliards de dollars.

    Début février, John Kerry avait estimé pour sa part la visite des plus grandes firmes françaises dans la capitale iranienne était « malvenue ».

    Téhéran « ne peut être considéré comme un marché ouvert, parce que l’allègement des sanctions est tout à fait provisoire, tout à fait limité et tout à fait ciblé », avait indiqué quant à lui Wendy Sherman, la sous-secrétaire d’État aux Affaires politiques.

    L’argument – officiel – est clair : un tel empressement de la France à se rendre en Iran laisserait sous entendre que Téhéran a bel et bien redoré son blason sur le plan international. Et qu’il est donc désormais politiquement correct de commercer avec le régime iranien. « Nous avons respecté la convention de Genève, signée en novembre dernier. Il y a d’autres délégations de pays européens qui se sont rendus en Iran », avait souligné préalablement Pierre Gattaz, le patron des patrons, histoire de désamorcer toute bombe éventuelle.

    Mais l’accès au marché iranien pourrait être au final le véritable enjeu.

    Rappelons en effet que depuis le 20 janvier dernier, une partie des sanctions internationales qui pesaient jusqu’à lors sur l’Iran ont été temporairement levées. Les allègements concernent les secteurs de l’or et des métaux précieux, les produits pétrochimiques (en dehors du pétrole, du gaz et des carburants), l’industrie aéronautique et l’automobile.

    Histoire de relativiser l’importance de la visite, le Quai d’Orsay avait toutefois tenu à préciser que la visite du Medef à Téhéran avait lieu « à titre exploratoire », mais l’argument a semble-t-il été considéré quelque peu léger aux yeux des Etats-Unis.

    D’autant plus que le patronat français a frappé au cœur même des ambitions US les plus tenaces, la délégation de chefs d’entreprise à Téhéran étant conduite par Thierry Courtaigne, vice-président, directeur général de Medef international mais également Patrick Blain, président du Comité des constructeurs français d’automobiles.

    Et ce, alors même que GM tente par tout les moyens – ou presque – de bouter Renault et PSA hors d’Iran. Physiquement et commercialement parlant. En juillet 2013, le lobby United Against Nuclear Iran a ainsi à adresser à Renault, une sommation de se retirer d’Iran sous peine de sanctions américaines.

    A noter également qu’en octobre dernier, un industriel français, avait indiqué pour sa part au Figaro, que « la plupart des secteurs de l’économie américaine, y compris des sociétés cotées au Nasdaq » avaient «envoyé ces derniers mois des émissaires en Iran».

    Le journal ajoutant alors que la filière automobile iranienne était particulièrement courtisée par General Motors. Les « émissaires » de la firme US allant bien au delà du « simple repérage du marché», leurs missions étant beaucoup plus proches d’une « ébauche du contrat de reprise des activités de GM» selon les termes mêmes de l’industriel, bien au fait du dossier.

    Le Blog Finance