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l'emploi - Page 77

  • "La situation économique du pays est catastrophique"

    Selon Pierre Gattaz, patron du Medef :

    "Il n'y a plus d'investissement et plus d'embauche. Ce que je vois surtout chez les chefs d'entreprise, c'est de l'attentisme, de la méfiance. La situation économique du pays est catastrophique.»

    «Manuel Valls a pris conscience de la situation du pays. On attend maintenant de la constance, que le gouvernement arrête sa politique de zig et de zag. Les entrepreneurs sont des héros, il faut le leur dire! Nous sommes à un moment charnière où soit nous tombons dans le précipice, soit nous nous relevons.»

    Michel Janva

  • Les quatre vertus cardinales allemandes : méthode, sérieux, continuité, sens du collectif

    Heine a tout dit, voilà 150 ans, de la formidable et parfois inquiétante efficacité des Allemands. « C’est la méthode »   

    Pardonnez-moi, Seigneur, parce que j’ai pêché. Je ne communie pas dans la passion footballistique et je ne partage pas la ferveur populacière pour nos dieux du stade. Né dans un pays recouvert de neige six mois par an, j’avais quelques excuses pour préférer le ski ou la montagne, ou la voile plus tard. Les joueurs de balles n’en restent pas moins les héros de notre temps et le football un phénomène social. On peut aussi regarder un match de foot ou de rugby avec plaisir tout en songeant que les héros d’épopée d’autrefois avaient bien plus d’allure.

    Dans un article avant la finale, le Monde nous renseignait sur les raisons tactiques des succès de la Mannschaft. Ce sont quatre vertus qui expliquent les réussites sportives, économiques ou politiques de l’Allemagne, participant du génie de son peuple ou de l’éthos de la nation : la méthode, le sérieux, la continuité, le sens collectif.

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  • PSA Aulnay, les mots de la fin (Vidéo)

    En juillet 2012, les salariés du site PSA Peugeot Citroën d’Aulnay-sous-Bois apprennent abasourdis la fermeture de leur usine. Les 3000 salariés du site se sentent trahis par leur direction et lâchés par les politiques.

    Un bras de fer commence : pendant des mois, ils vont lutter pour tenter d’améliorer leurs conditions de départ allant jusqu’à bloquer l’usine. Depuis l’annonce de cette fermeture, Francine Raymond et Ludovic Fossard, les auteurs du documentaire, ont suivi ce conflit social hors du commun.

    Réalisé par Francine Raymond et Ludovic Fossard

    http://fortune.fdesouche.com/

  • La SNCM nouvelle sardine pourrie bouchant le port de Marseille

    Depuis le 24 juin les grévistes de la SNCM bloquent le port de Marseille. Président de l’Union pour les entreprises des Bouches-du-Rhône, Jean-Luc Chauvin tente, comme il est déjà parvenu à le faire par le passé de mobiliser l'opinion sur le thème : "Touche pas à mon port."

    Les dégâts sont considérables. En terme d'images, évidemment, pour ce qu'il en reste. En pertes sèches de clientèle : 30 000 passagers de ferries et 37 000 croisiéristes ont d'ores et déjà été débarqués dans d’autres ports. Ce sont entre 7 et 10 millions d’euros qui ont déjà été perdus pour l'économie locale.

    Scandale typiquement cégétiste, les gros bras du syndicat paralysent à quai l'activité des concurrents. Ainsi le Kallisté : tout un symbole que ce beau navire mixte, parcourant régulièrement les 214 miles marins, 396 km, séparant Marseille de Bastia son port d'attache. Construit en Finlande, agrandi à Brème, baptisé en 1993, il transporte 500 passagers, 120 voitures de tourisme, mais aussi des camions et remorques routières contenant des marchandises, etc.

    Faut-il rappeler à ce sujet que l'agriculture corse non seulement a besoin de ce fret, mais qu'elle ne peut pas attendre.

    Dès le premier jour, "La Méridionale" armateur du bâtiment ‑ pris en otage, parmi pas mal d'autres immobilisés à quai – ont obtenu en référé d'expulsion. Mais non seulement la force publique n'intervient pas mais elle a laissé les grévistes installer un terrain de pétanque, seule activité sans doute que ces marins très spéciaux laisseront loisible en Provence.

    Pendant des années l'État central parisien a laissé planer l'illusion qu'il pourrait subventionner éternellement au titre de la continuité territoriale. Cette usine à pertes est appelée, depuis 1969, "Société nationale Corse Méditerranée". Pendant des décennies on y a laissé s'installer cette insupportable culture du déficit qui gangrène l'économie française.

    Au départ il s'agissait d'une compagnie d'État, filiale de notre brillante SNCF et de la Compagnie générale maritime, l'ex-glorieuse Transat. Entachée des tares sociales du ferroviaire français, la SNCM a été partiellement privatisée : l'actionnaire Veolia représenté par sa filiale Transdev prévoit très logiquement de se retirer de ce guêpier comme de pas mal d'autres, dans 10 des 27 pays où ce groupe de transports collectifs est impliqué. La participation de l'État s'élevant encore à 25 % il ne restait plus le 4 juillet, au pathétique secrétaire d'État aux Transports Cuvillier, d'autre perspective à envisager que celle d'un dépôt de bilan devant le Tribunal de Commerce.

    La nécessité de rembourser les aides publiques illicites, sanctionnées par les autorités européennes à hauteur de 440 millions, pose évidemment un problème insoluble pour une compagnie au chiffre d'affaires annuel inférieur à 300 millions, subventions comprises, et dont la part de marché est passée en 15 ans de 82 à 30 %.

    Dans la même période, les effectifs, jugés excessifs, ne diminuent pas sur les 8 bateaux de la compagnie. En 2005 un audit mettait en évidence diverses irrégularités, détournement de marchandises, pillage des caves, trafics, etc. correspondant au caractère quasi-mafieux d'une partie du personnel empochant visiblement toutes les retombées commerciales des croisières : celles-ci figurent en général pour 30 à 40 % du chiffre d'affaires dans le compte d'exploitation de sociétés comparables. Elles sont comptabilisées pour zéro à la SNCM… dix ans après la révélation de ce scandale, rien n'a changé. N'accusons pas ici le STC. Ce syndicat nationaliste des travailleurs corses se partage le personnel avec la CGT communiste : on avait repéré une "particularité" sur les navires de SeaFrance, autre filiale maritime de la SNCF exploitant jusqu'en 2012 la liaison Calais-Douvres. Elle aussi fonctionnait à perte : lorsque l'activité de cette compagnie fut liquidée par le Tribunal de Commerce, son passif s'élevait à 400 millions dont 250 pour la SNCF de l'inévitable Guillaume Pépy.

    Soulignons qu'aujourd'hui la SNCM non seulement n'assure pas la desserte de la Corse, mais la paralyse au détriment de concurrents plus efficaces comme Corsica Ferries ou La Méridionale. Certes on observera que l'assemblée régionale majoritairement de gauche a encore voté en décembre 2013 en sa faveur une "délégation de service public" imposant un consortium avec La Méridionale, vote sur lequel la droite et les nationalistes se sont abstenus.

    Il est donc urgent que l'État intervienne pour faire son métier qui n'est pas de subventionner, mais de défendre l'ordre, la loi et la liberté.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2014/07/la-sncm-nouvelle-sardine-pourrie-bouchant-le-port-de-marseille.html

  • On en voit de toutes les couleurs !

    Sur fond de dette publique abyssale, de  montée dramatique  du chômage, de désindustrialisation et de délocalisations massives, d’immigration non européenne à haut débit ,d’insécurité en hausse, de soumission accrue de nos « élites» à l'oligarchie atlanto-bruxelloise, la France continue de glisser inexorablement vers l’abîme. Et ce gouvernement de gauche de prendre les Français pour de sombres crétins. A l’image hier du ministre du Travail, François Rebsamen,  parlant de « vrai succès » pour qualifier le fiasco de la « Conférence sociale », dont la deuxième journée a pourtant été marquée par le boycott  de trois syndicats ( CGT, FO Solidaires et la FSU). Centrales syndicales  aussi peu représentatives des travailleurs français que ce gouvernement  l’est des intérêts de notre peuple. Pendant ce temps l’UMP se faitseppuku en déballant au grand jour à ses adhérents arnaqués ses haines recuites, les turpitudes des uns ou des autres –du salaire mirobolant de la girouette sarkozyste Geoffroy Didier  aux pratiques des Fillon, Juppé en passant par les billets d’avion de Mme Copé. Hier les médias se félicitaient de ce que le Conseil d’Etat, arguant de l’entrée en vigueur de la loi du 17 mai 2013 autorisant le mariage des couples homosexuels, ait ordonné aux autorités françaises de délivrer un visa sous 24 heures à un Sénégalais vivant au Maroc, pour qu’il puisse se marier samedi à son conjoint français.
     Lors de l’audience mardi, le pourtant très laxiste ministère de l’Intérieur a justifié son refus de visa, mettant en avant des doutes sur «la sincérité de l’union du requérant et de son compagnon», notamment en raison de la différence d’âge (35 ans d’écart) entre les deux hommes. Le ministère de l’Intérieur a évoqué également les «antécédents migratoires » (sic) du jeune Sénégalais. Mais pourquoi s’embarrasser avec ce genre de détails ? Le Conseil d’Etat est bien décidé à faire plaisir à Pierre Bergé, Najat Vallaud-Belkacem, aux lobbies vivant grassement de la  « lutte contre les discriminations », bref à ne pas gâcher la fête planétaire qui s’annonce. A savoir une montée en puissance d’une immigration se justifiant au nom de l’idéologie homosexualiste qui viendra renforcer l’immigration  familiale, et autres  mariages blancs « traditionnels »…
     Une décision qui en toute logique à  été certainement saluée par les Femen, alors que neuf d’entre elles, défendues par Me Michaël Ghnassia, comparaissaient devant la justice mercredi pour les profanations commises  le 12 février 2013 dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Trois surveillants étaient aussi  poursuivis pour violence puisqu’une des Femen a eu une dent cassée.  Un autre procès s’ouvrira vendredi  pour « exhibition sexuelle » dans l’église de la Madeleine, le 20 décembre 2013 –voir les articles publiés à ce sujet  sur notre blog.
     Pour les exactions commises à Notre-Dame, une simple amende 1500 euros a été requise contre elles. Une somme symbolique, manifestant  une vraie mansuétude, à comparer avec ce que la «justice» exige des hommes et de femmes qui enfreignent les législations liberticides du type de la loi Fabius-Gassot visant à limiter la liberté d’expression, à museler les «dissidents» à la pensée unique. Pour ne rien dire de la grosse matraque judiciaire qui ne manque jamais de s’abattre avec la plus grande sévérité  à l’encontre des nationaux ou  nationalistes dans l’exercice de leur militantisme « de rue ».
     Toujours dans le cadre de la « lutte contre les discriminations », et ici plus spécifiquement au nom de  «l’antiracisme », le Conseil d’Etat saisi par l’association Maison des Potes (un sous bidule de SOS racisme), le MoDem Sciences Po et David Van der Vlist, a demandé à l’Etat de publier le décret sur la loi du cv anonyme pour les entreprises de plus de 50 salariés, votée en 2006. Il s’agissait d’une des mesures de cette loi « sur l’égalité des chances » souhaitée par Jacques Chirac .
     Si  l’anonymat des cv a effectivement pour but principal  de faciliter l’accès à l’emploi   des postulants d’origine non européenne, l’étude commandée par Pole emploi portant sur un millier d’entreprises et menée entre novembre 2009 et novembre 2010 par le Centre de recherche en économie et statistiques (CREST), avait indiqué des résultats pour le moins mitigés.
     En effet, notait Les Echos le 16 août  2011, il ressortait de celle-ci que «le cv anonyme (…) a tendance à diminuer les chances des candidats issus de l’immigration, avec une chance sur 22 seulement de décrocher un entretien, contre une chance sur 10 lorsque le CV n’est pas anonyme ! Un résultat surprenant, qui pourrait s’expliquer par la difficulté des recruteurs à appréhender certaines lacunes du CV du fait de l’état civil : l’anonymisation empêcherait de relativiser des signaux jugés défavorables, comme un diplôme moins prestigieux. Les chercheurs du CREST avaient au final jugé que « la généralisation du CV anonyme ne semble pas se justifier ».
     Le Monde (édition du 5 septembre 2011), notait aussi que « lorsque le cv d’un candidat issu de l’immigration est rendu anonyme, ses probabilités de convocation à un entretien d’embauche sont plus faibles, parce qu’il subit de plein fouet les carences de son parcours professionnel. » Une étude qui démontrait donc l’absence de considérations « racistes » de la part des employeurs-recruteurs.
     Pour autant,  le quotidien indiquait  encore que « toutes les études disponibles (en France, mais aussi dans bien d’autres économies occidentales) montrent que la probabilité d’embauche est inférieure de 30% à 40% pour un candidat dont le nom est à consonance étrangère ».  Doit-on en déduire que certaines entreprises appliqueraient alors une forme empirique, instinctive,  de préférence nationale à l’embauche, basée uniquement sur le  patronyme et/ou l’apparence physique? Plus largement , comme le soulignait hier Elisabeth Lévy sur l’antenne de RTL dans l’émission  « On refait le Monde », peut-on légitimement  obliger des gens qui ne s’aiment pas à travailler ensemble ? Elle répondait par la négative à cette question.  Bref est-il loisible de penser que l’on pourra demain par exemple  contraindre un employeur arabe ayant des préjugés à embaucher un employé  juif ou vice-versa ?
    Bruno Gollnisch a déjà eu l’occasion de pointer le racisme à rebours (inconscient?) qui anime les partisans du cv anonyme. Pour les grandes consciences du Système UMPS, il faut croire qu’un Français issu de l’immigration serait fatalement un sous-capable qui a besoin d’être aidé par des mesures particulières, puisque sa motivation, ses seuls talents et compétences seraient incapables de le faire accéder au poste auquel il peut prétendre. Une vision paternaliste, post ou néo-colonialiste  disent certains, qui passent de plus en plus mal  chez  leurs (anciens) électeurs…

  • Le remplaçant du FAMAS sera-t-il français?

    Lors d’une récente séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian répondant au député Philippe Meunier sur le renouvellement des fusils d’assaut des forces françaises (le fameux FAMAS), a affirmé que « les entreprises françaises capables de produire directement ce type d’armement il y a une quinzaine d’années ne le font plus ou ont été fermées (comme la Manufacture d’armes de Saint-Étienne) » et que, donc, « il n’y a plus en France ce type d’activités ».

    Ce n’est toutefois pas l’avis de l’armurier Verney-Carron, un fabricant de fusils de chasse depuis 1650, installé à Saint-Etienne. Selon le quotidien Le Progrès, cette entreprise souhaite participer à l’appel d’offres lancé au niveau européen par la Direction générale de l’armement (DGA) visant à acquérir « environ 90.000 Armes Individuelles Futures (version standard et version courte) destinées à remplacer les FAMAS en service ». Et de promettre une centaine d’embauches et des fusils fabriqués en France si elle devait être désignée.

     

    Seulement, il se pose un obstacle de taille : son chiffre d’affaires (12 millions d’euros), qui est insuffisant pour permettre à l’armurier stéphanois de faire acte de candidature. La DGA exige en effet un fournisseur aux reins solides, ayant un chiffre d’affaires supérieur ou égal à 80 millions d’euros.

    Qui plus est, elle demande également aux prétendants qu’ils ont la capacité de « fournir des fusils d’assaut en communiquant la liste et les modèles des fusils d’assaut livrés au cours des trois dernières années avec leurs principales caractéristiques » ou qu’il détiennent des « moyens d’études, de production, et d’essais, permettant l’adaptation et la fabrication de fusils d’assaut en fournissant un descriptif de l’ensemble des moyens ».

    Du coup, les chances de Verney-Carron sont inexistantes… Pour autant, une entreprise française pourrait quand même profiter du renouvellement des FAMAS. En effet, indique Le Progrès, l’armurier Humbert, établi à Veauche (Loire), est sur les rangs.

    Filiale, depuis 2001, de l’italien Beretta, l’entreprise a déposé son dossier, en proposant le fusil ARX-160. L’arme, développée en 2008, ne serait pas produite en France mais sa maintenance pourrait être assurée par Humbert. « La durée de vie d’un fusil de ce type varie entre vingt-cinq et trente-cinq », a expliqué, au quotidien local, Pierrick Mazodier, son directeur général. « Durant cette période, le suivi technique, les modifications et les réparations seraient assurés à Veauche. Ce sont plus de cinq cents emplois directs ou indirects qui seraient alors créés dans le bassin stéphanois », a-t-il ajouté.

    Enfin, le groupe français Thales, via sa filiale australienne, devrait soumettre le fusil d’assaut F-90, qu’il avait présenté lors de l’édition 2012 du salon Eurosatory. « En coopération avec la société autrichienne Steyr Mannlicher, Thales poursuivra des opportunités spécifiques, comme le projet de remplacement du FAMAS avec la DGA, en faisant appel à l’expérience et aux installations de pointe du fabricant autrichien », avait indiqué, à l’époque, l’industriel.

    opex360.com

    http://fortune.fdesouche.com/346977-le-remplacant-du-famas-sera-til-francais#more-346977

  • Symptomatique

    Le journal télévisé de TF1 ce soir a consacré les 4/5 au football, à la préparation des Champs-Elysées par les CRS en vue des scènes de liesse de la soirée et la satisfaction de François Hollande suite à la victoire de la France contre le Nigéria.

    Puis sans transition : la dette a doublé en 10 ans elle est actuellement de 30 000€ par Français. La dette a augmenté de 45,5 milliards d'euros entre le dernier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014, pour atteindre 1 985,9 milliards d'euros. Elle représente désormais 93,6 % du PIB.

    Copies d'écran :

    Copie_d'écran_20h00_TF1Mais bon, la France est qualifiée pour les quarts de finale de la Coupe du Monde...

    Michel Janva

  • La SNCF aime l’immigration et le fait savoir

    - La SNCF a récemment communiqué auprès de ses employés sur sa politique de recrutement, qui est ouvertement favorable au communautarisme.

    MozaikRH

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    Prétextant son amour de la « diversité », elle a passé un accord avecMozaikRH, cabinet de recrutement spécialisé dans les différents groupes ethniques qui composent aujourd’hui la France. Alors que l’entreprise sort juste d’un important conflit social, la direction voit sûrement dans cette démarche l’occasion de casser l’homogénéité de sa masse salariale en recrutant des employés plus dociles.

    Ou peut-être veut-elle simplement recruter des employés à l’image d’un nombre grandissant de ses clients, qui sont, surtout en région parisienne, de plus en plus issus de l’immigration ?

    http://fr.novopress.info/170866/sncf-aime-limmigration-fait-savoir/

  • Ce n’est pas faute d’avoir prévenu…

    L’air est connu,  commentant  publication des nouveaux chiffres du chômage, le nombre de demandeurs d’emploi ayant  atteint un niveau historique, dramatique  de 3,388 millions en métropole, Manuel Valls a clamé que  « l’heure est à l’action ».  Comprendre à s’entêter à utiliser les mêmes mauvaises  recettes qui ont fait la preuve de leur inefficacité. Pathétique. Si les Français font grise mine, les Algériens eux aussi sont passés à l’action et faisaient la fête hier soir pour fêter le match nul de leur équipe face à la Russie  qui la propulse en huitième de finale de la Coupe du monde de football. Belle démonstration de patriotisme, les joueurs algériens ont fait le tour du terrain à l’issue de la rencontre  en brandissant le drapeau de leur pays. La liesse populaire était aussi de mise en Algérie, dés le coupe de sifflet final, mais elle ne s’est pas manifestée là  bas par les violences  et les  dégradations qui se sont déroulées sur notre sol….comme ce fut le cas déjà  lors des deux derniers matchs  des « fennecs » dans ce Mondial. Violences  sur lesquelles  les grands  médias audiovisuels  ont curieusement choisi  très largement  de ne pas  informer les Français.

     Omerta qui s’est tout de même  un peu fissurée car  internet est passé  par là, et  il devient difficile d’occulter totalement la réalité,   si ce n’est à accréditer encore plus l’idée , déjà largement répandue dans l’opinion,  de la malhonnêteté foncière  des médias dominants…De nouvelles scènes d’émeutes et de haine antifrançaise  ont donc  éclaté hier soir à Paris, Lyon, Vaulx-en-Velin, Saint-Priest, Marseille, Lille, Roubaix, Tourcoing,  Maubeuge, Valencienne, Grenoble, Le Havre  et dans de  nombreuses  autres communes plurielles.Véhicules de « gaulois » et mobiliers urbains incendiés (les Français paieront…) , passants et policiers agressés, pillages, caillassages … : de nombreux supporters algériens ne se sont pas contentés de bloquer  la circulation et de faire du raffut en brandissant des drapeaux.

     Comme l’a noté Marine hier après-midi  lors d’une conférence de presse à Nanterre,  « ce qui est malheureux avec les matchs de l’Algérie, c’est que qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, de toute façon, on a des violences, des dégradations et des agressions ». «C ’est le seul pays avec lequel   il y a ce genre de problèmes », avec des supporters  « animés par un esprit de revanche » contre la France. La présidente du FN a encore relevé que   les gouvernements  français et algériens seraient bien inspirés de  rappeler à l’ordre les binationaux se livrant à de telles exactions.

     Hier également, sur le site du PointCharles  Consigny réagissait pour s’en féliciter,  à l’arrêt rendu la veille par l’assemblée plénière de la Cour de cassation qui a confirmé le licenciement de Fatima Afif, la salariée voilée  de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) qui refusait d’enlever son foulard islamique sur son lieu de travail, affaire  que nous avions évoqué sur ce blog.

     Pour autant, « nous venons peu à peu (en France),   hélas, au communautarisme constate M. de Consigny, en raison d’une lâcheté politique d’une part et d’un refus d’intégration (ne parlons pas d’assimilation) des populations immigrées d’autre part, ce refus étant une conséquence, à laquelle on pouvait et on devait s’attendre, d’une politique migratoire délirante qui fait entrer tous les ans en France deux cent mille personnes venues de l’étranger ».

     « La  conception française de la laïcité est attaquée à l’intérieur de la République, jusque par des conseillers d’État, comme M.  Tuot dont le rapport sur le sujet préconise de créer les conditions d’une société inclusive qui s’adapterait aux exigences minoritaires. Elle est attaquée, aussi, de l’extérieur, par l‘Union européenne mais aussi par l‘ONU, dont diverses littératures pressent la France de s’adapter à ces nouvelles populations et de se préparer à être submergée par d’autres dans des proportions folles, aux fins d’opérer à des rééquilibrages de peuplement au niveau mondial – ce faisant, l’ONU dénie aux nations toute identité, elle fait du monde un vaste territoire avec des pions qu’on déplace et des frontières qu’on redéfinit au gré des besoins du moment ; autrement dit, elle acte la fin de l’histoire, et nous devons résister à ce mouvement ».

    « Notre pays doit tenir. Il doit défendre sa civilisation, rappeler ses principes, ne faire aucune concession à ceux qui lui demandent de s’oublier, de se dissoudre, de se diluer dans legrand déménagement mondial ».

    Bruno Gollnisch l’a souvent relevé, cette  fermeté et cette  volonté de défendre ce que nous sommes est bien  rare au sein du SystèmeC’est pourtant   par la réaffirmation des valeurs qui ont fait la force, le génie, et la grandeur de notre civilisation helléno-chrétienne,  que nous gagnerions le respect  des populations  allogènes ; valeurs qui si elles étaient portées fièrement,  seraient   même  un facteur d’assimilation. Mais valeurs  piétinées allègrement le plus souvent par les autoproclamés défenseurs  cosmopolites de  la laïcité,  d’une république bien peu romaine, mais  progressiste,  décadente,  affaissée, sans âme…

     La présence de fortes communautés étrangères  sur notre sol, qui ne veulent ou ne peuvent s’assimiler, est bien évidemment un sujet d’inquiétude majeur  pour l’avenir de nos enfants, la sauvegarde de notre identité et souverainetés nationales.

     Jean Raspail le rappelait dans un entretien accordé à Valeurs Actuelles en octobre 2013, nous sommes confrontés au «problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable ». «Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître. Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale (…). Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement  (…)».

     Et l’auteur du Camp des saints d’en appeler au sursaut salvateur :  « que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi. Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces  idées chrétiennes devenues folles, comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général ».

     Si les Français ont en effet pris pleinement  conscience  du tsunami migratoire,  il faut désormais qu’ils en tirent urgemment  la conclusion  dans les urnes. Avant  qu’il ne soit trop tard. 2017 c’est demain et « l’Histoire ne repasse pas les plats ».

    http://gollnisch.com/2014/06/27/ce-nest-pas-faute-davoir-prevenu/

  • Ces chômeurs “invisibles” ou “découragés” qui doublent le nombre de sans-emploi

    En cumulant les catégories A, B et C (les personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a augmenté de 34.300, soit 0,7%, pour s’élever officiellement à 5.020.200 en métropole et 5.320.000 en incluant les départements d’Outre-mer.