Patrick Parment
Il est bien évident que peu nous chaut que Nicolas Sarkozy aille ou non au trou pour un ou deux ans, voire plus. Le problème de fond n’est pas là. Il est que le pouvoir politique n’a, semble-t-il, plus prise sur la Justice.
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Patrick Parment
Il est bien évident que peu nous chaut que Nicolas Sarkozy aille ou non au trou pour un ou deux ans, voire plus. Le problème de fond n’est pas là. Il est que le pouvoir politique n’a, semble-t-il, plus prise sur la Justice.
Il est un fait qui n’est pas nouveau dans le traitement médiatique des sujets liés aux migrants : l’instrumentalisation des bons sentiments. Ce phénomène, très bien décrit par Stanislas Berton dans La France retrouvée, vise à culpabiliser les Français. Multiculturalisme oblige, toute réflexion sur une immigration massive, sur son manque d’assimilation ou sur les moyens humains et financiers qui font défaut pour les accueillir de manière digne est associée à l’expression d’un racisme ou d’un « discours de haine ». Stanislas Berton d’ajouter que ce formatage encourage les Français à « mieux les faire consentir à leur propre remplacement ».
Alors que les rixes et autres règlements de comptes tribaux font chaque semaine un peu plus de victimes dans notre pays, on ne peut que s’étonner devant l’incroyable mutisme observé face à cette situation par la foule des associations et autres grands défenseurs des banlieues ethniques pourtant si prompts à monter au créneau dès lors qu’il s’agit de dénoncer les interventions de la police dans ces zones de non-France.
Sur Europe 1, Marine Le Pen a rétorqué à Christophe Castaner qui l’avait récemment traitée «d'ennemie de la République» à cause de «son discours de stigmatisation permanente» et «d'affaiblissement de nos valeurs». «Je crois que c'est un argument de feignasse», a-t-elle lancé.
Invitée d’Europe 1 ce mardi, la présidente du Rassemblement national (RN) a commenté la déclaration de l’ancien ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, selon laquelle elle était «une ennemie de la République».
Pourquoi se scandaliser, quand le scandale est au cœur même de la République ?
Les prédateurs font l’actualité. Pas de jour qui passe sans un nouveau scandale. Le plus étonnant est de voir que, parmi les personnes qui se scandalisent le plus, il en est qui revendiquent encore plus hautement la liberté sexuelle, et singulièrement pour les femmes et les jeunes filles : liberté de faire ce qu’elles veulent, de se comporter comme elles l’entendent, de se livrer à n’importe quelle pratique.
Avec droit à l’avortement et, s’il le faut, maintenant jusqu’à neuf mois, jusqu’à l’infanticide qu’il serait question de prochainement légaliser.
Il n’aura pas attendu longtemps. Aux commandes de la première armée du monde depuis moins de deux mois, Joe Biden vient d’ordonner son premier bombardement. Gageons que ce ne sera pas le dernier.
Sur Facebook, la jeune femme avait accusé les trois gendarmes qui ont interpellé son frère en juillet 2016 d’être responsables de sa mort, tout en dévoilant leur identité
https://www.tvlibertes.com/actus/assa-traore-condamnee-pour-atteinte-a-la-presomption-dinnocence
Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne et psychothérapeute, signe une tribune dans Le Figarovox pour alerter sur les conséquences dramatiques dues au confinement, confirmé par bon nombre de médecins. Elle dénonce une déstructuration du lien, une subite obsession mêlée d’angoisse et parfois d’un soupçon d’hystérie comme si plus aucune souffrance et aucune autre pathologie n’existaient. Devant l’implacable tableau de chiffres, toute subjectivité devenait potentiel désordre.
Le mouvement «Men in Black» a émergé en décembre 2020 sur les réseaux sociaux au Danemark.
Accusant le gouvernement d’exercer une «coercition» et une «dictature» sous couvert de lutte contre la pandémie, il organise des manifestations dont les participants sont tous vêtus de noir.
Les habitants du quartier Neudorf de Strasbourg peuvent remercier la municipalité écolo. En effet, le 24 février dernier, on apprenait, en lisant les Dernières Nouvelles d’Alsace, que des rats avaient littéralement envahi un immeuble de ce quartier. Or, lors d’un conseil municipal en septembre dernier, une élue écolo avait émis l’idée que les rats et punaises de lit ne devraient plus être classés sous la terminologie « nuisibles » mais « liminaires ». Le terme « commensaux » fut évoqué, mais le camp « liminaire » l’emporta.