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Wokisme, islamo-gauchisme, décolonialisme… Que de formules obscures pour des intentions qui le sont beaucoup moins. Ceux qui les portent en étendard dont de claires ambitions : ils veulent réécrire l’histoire, gommer les mâles du genre humain, effacer la différence des sexes, crier leur haine du monde occidental.
À Nîmes, l’école Greorges Bruguier est désormais barricadée par une grille de 3 mètres de haut, pour se prémunir du trafic de drogue en expansion dans le quartier.
C’est la seule solution trouvée par les pouvoirs publics pour assurer leur sécurité.
Georges Marchais (pour les plus jeunes) fut secrétaire général du Parti communiste français dans les années 1970-1980. Il déclarait (je cite) : « Il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il est inadmissible de laisser rentrer de nombreux travailleurs immigrés en France, alors que notre pays compte deux millions de chômeurs français et immigrés. » Son parti s’opposait à la construction de mosquées et d’écoles coraniques.
Une note envoyée le 17 février par le ministre délégué à la Citoyenneté, demandant aux préfets d’intensifier les opérations facilitant l’intégration des « étrangers primo-arrivants » et de réfugiés, suscite depuis le 26 février de nombreuses réactions parmi ses adversaires politiques.
Ce vendredi vers 22h, un homme de 23 ans a mis fin à ses jours dans sa cellule à la maison d’arrêt de Valenciennes. Mis en examen pour homicide volontaire, il était l’un des deux suspects dans l’affaire des coups de couteau ayant entraîné la mort de Cyril Lévêque, le week-end dernier, résidence des Marronniers à Aulnoy.
Funeste découverte ce vendredi soir pour les surveillants de la prison de Valenciennes. Un jeune homme, placé en détention provisoire depuis lundi, s’est ôté la vie dans sa cellule. Il était incarcéré en maison d’arrêt de Valenciennes et séjournait dans le quartier des arrivants, laissés seuls dans leurs cellules, comme la plupart des nouveaux détenus, depuis l’épidémie de Covid-19. Les pompiers de Valenciennes sont intervenus sur les lieux vers 22h. Mais en vain. À leur arrivée, le détenu était en arrêt cardio-respiratoire.
Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, le député européen libéral et ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt dézingue sans prendre de gants la politique vaccinale de la Commission européenne, qu’il qualifie de « fiasco ». « J’aime l’Union européenne, il n’y a pas de doute là-dessus. Je pense qu’en ces temps compliqués, l’intégration européenne est la seule façon d’avancer sur ce continent », précise d’entrée Verhofstadt. Il est vrai qu’on avait l’habitude de le voir, depuis vingt ans, sur les plateaux, dans le rôle de l’hagiographe de l’Union européenne, le remède à tous nos maux selon lui.
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Au moment où la liberté d’expression et de discussion ne cesse de se réduire dans notre pays, au moment où le gouvernement envisage la dissolution de Génération identitaire pour crime de lèse-immigration, le nouvel et court essai d’Éric Delcroix :Droit, conscience et sentiments[1] vient à point nommé. Un essai qui se situe dans la continuité des réflexions déjà engagées par l’auteur sur la mutation du droit pénal, notamment dans son Théâtre de Satan – Décadence du droit. Partialité des juges, paru en 2002, et dans son Manifeste libertin paru en 2005, et dont il constitue la quintessence. Parce que précisément les maux qu’il dénonçait déjà il y a plus de 15 années n’ont fait qu’empirer.
Néoconservatisme à l’ouest, illibéralisme à l’est… quel nouveau modèle pour la France ? Le quai d’Orsay doit se réinventer. Car en effet, depuis 10 ans, notre pays a renoncé à la souveraineté de sa diplomatie pour se soumettre à Washington. Résultat, les guerres en Libye puis en Syrie ont plongé l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient dans le chaos avec les conséquences migratoires sur l’Europe que l’on connaît. Face à cela, les pays du Visegard d’Europe de l’est, sortis du giron soviétique, ont développé l’Etat illibéral : une réaffirmation de l’autorité du politique et un renforcement de la cohésion du corps social. Entre les deux, l’Union européenne a définitivement prouvé son incapacité à incarner toute puissance géopolitique.
Pour faire le point, Olivier Pichon et Pierre Bergerault ont invité Guillaume de Prémare, directeur de la rédaction de la revue « Permanences », dont le dernier numéro est intitulé « Le nouveau désordre mondial » avec les interviews de Renaud Girard, Edouard Husson et Max-Erwann Gastineau
C’est un conte de fée pour remplacistes (et pour femmes en manque d’« affection ») que propose Sud Ouest, avec cet article intitulé Gironde : ils ont ouvert leur porte à un mineur isolé.
« Militants ou non, ils ont décidé d’héberger de jeunes migrants pour quelques semaines ou quelques mois, afin de leur éviter la rue. En Gironde, des familles racontent leur expérience.
Dans l’ouvrage déjà évoqué du Polonais Ryszard Legutko la démocratie moderne, l’auteur, qui est élu député européen, aborde l’Union européenne :
L’Union européenne reflète l’ordre et l’esprit de la démocratie libérale sous sa forme la plus dégénérée. Si les aspects les plus forts de la démocratie étaient les élections et leur capacité à changer le gouvernement et ses programmes, l’Union européenne a fait tout son possible pour réduire cette possibilité à son étiage.