Les idéologues gauchistes nous parlent des charmes du vivre-ensemble, de l’enrichissement multiculturel et bien sûr qualifient de « racistes » et de « fachos » les gens comme nous qui préférons l’entre-soi, où nous sommes très très largement majoritaires, nous les Blancs de culture catholique, même si notre ouverture peut accepter, en nombre très limité, et à condition qu’ils acceptent nos lois, des personnes d’une autre couleur, issues d’une autre culture, d’une autre religion et d’une autre civilisation.
Mais nous assumons ne pas avoir envie de vivre avec des personnes agressives, menaçantes, au comportement de primates, comme ces vendeurs à la sauvette, sur le Champ de Mars, lieu hautement touristique, qui font la loi, se permettent d’interdire les photos aux touristes et menacent ceux qui, comme ce Youtubeur américain, osent leur tenir tête et ne pas accepter leur loi.
Des images qui devraient faire honte à la mairie de Paris, au gouvernement français et tous ceux qui imposent ces barbares à nos compatriotes.
Nous n’avons pas davantage envie de vivre avec ce type d’abrutis qui, dans un wagon de métro parisien où les Blancs ont disparu, se tapent sur la gueule pour des raisons inconnues, en parlant une langue que nous ne connaissons pas, et qui ressemble parfois davantage à des cris d’animaux qu’à une expression humaine.
Nous n’avons pas davantage envie de vivre avec des pourritures de racailles musulmanes, capables d’attaquer à trente un restaurateur suspecté de racisme, de sortir les couteaux et de se déchaîner quand ils apprennent que le patron s’appelle Elie, et qu’ils le prennent pour un Juif. Nous n’avons qu’une envie : même s’ils sont nés en France, même si des assassins leur ont donné la nationalité française, nous voulons les voir dégager, et nous appelons de nos vœux à ce que les policiers leur tirent dessus à balles réelles, parce que nous préférons que ce soit eux qui subissent les conséquences de la guerre qu’ils nous mènent, plutôt que de continuer à pleurer nos morts tous les jours.
Nous n’avons pas davantage envie de vivre avec les djihadistes qu’on présente comme des « jeunes » qui s’entraînent à faire la guerre à Limoges, à Béziers, à Compiègne et dans de nombreux autres lieux de France, en attaquant la France à travers sa police, dernier rempart pour protéger autant que possible des Français démunis, désarmés par le régime et pas du tout préparés, sauf exception, à faire face à ce genre de situation.
https://www.bvoltaire.fr/limoges-nuit-de-guerilla-urbaine-le-maire-denonce-un-plan-structure/
Nous n’avons pas envie de vivre au milieu des voilées qui poussent des landaus, d’islamistes en djellabas, de « djeunes » capables de poignarder à mort quiconque se trouve au mauvais endroit au mauvais moment, de cailleras qui viennent foutre le souk dans nos piscines ou dans nos fêtes, de crasseux qui passent leur temps à cracher par terre, de violeurs qui considèrent que la femme blanche leur appartient, d’envahisseurs qui ne cachent même plus dans leur regard la haine qu’ils nous vouent, pour ne pas encore être grand-remplacés.
N’en déplaise à Mélenchon, à toutes les pourritures immigrationnistes, à ceux qui nous insultent, nous réclamons le droit de vivre avec des personnes civilisées, qui nous ressemblent, et avec qui le « vivre-ensemble » est possible.
Les autres, nous n’en voulons pas, nous n’en avons pas honte, nous ferons tout pour que les Français votent massivement pour des candidats remigrationnistes, et pour faire payer au prix fort ceux qui nous ont imposé par millions ces barbares.
Et la liste est longue…