Philippe de Villiers à propos d’Emmanuel Macron sur BFMTV: « Il s’en fout qu’on crève, il s’occupe de sa réélection ».
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Philippe de Villiers à propos d’Emmanuel Macron sur BFMTV: « Il s’en fout qu’on crève, il s’occupe de sa réélection ».
Après « L’oligarchie démasquée », Florian Philippot publie un nouvel ouvrage « Covid-19 : La grande bascule ». Le président des Patriotes revient rapidement sur les décisions toutes plus liberticides les unes que l’autres d’un gouvernement français incohérent qui glisse vers l’autoritarisme.
Un peu plus d’an après l’arrivée du Covid-19, les Français sont désormais en passe de basculer vers un « monde d’après » autoritaire, conditionné par des décisions arbitraires, souvent sans fondement scientifique.
Florian Philippot commente l’affaire des restaurants clandestins, avec Pierre-Jean Chalençon, qui laisse penser que les conseilleurs sont rarement les payeurs…
Il évoque la question de la vaccination trop souvent associée aux espoirs de libération dans l’esprit des Français, et un monde réinitialisé. Un Grand Reset établi autour de la mise en coupe réglée de l’économie réelle écrasée entre hégémonie des entreprises géantes au pouvoir supranational et instauration hypothétique d’un revenu universel.
Si la polémique lancée par Frédérique Vidal sur l’islamogauchisme a eu un mérite, c’est celui de faire sortir les soutiens de cette mouvance du bois et de montrer encore les limites « en même temps » Macron en retour sur un psychodrame.
C’est fou, pour des gens qui n’existent pas, ce que les islamogauchistes font de bruit depuis le 14 février, date à laquelle Frédérique Vidal s’est offert une maxi-controverse en guise de cadeau de Saint-Valentin.
Les similitudes sont évidentes entre l'Islam et le Système que nous subissons, hérité de la Révolution française et qui se proclame "république" alors qu'il n'en est pas une : il n'est rien d'autre qu'un Totalitarisme, une Nouvelle Religion Républicaine idéologique...
1. Islam et République ou (Système) font débuter l'Histoire avec eux-mêmes : pour les musulmans, nous sommes en 1442, car l'Histoire commence pour eux avec l'Hégire (fuite de Mahomet de La Mecque vers Médine, en 622); les terroristes républicains dataient leurs premiers décrets criminels de "l'an I de la République"; parlaient des "soldats de l'An II" etc... Si leur puéril calendrier républicain n'a pas tenu bien longtemps, il n'en demeure pas moins que, pour eux, la France commence en 1789, ce qui est, évidemment, une aberration...
Cette phrase est issue non pas d’un site complotiste mais d’un rapport de modélisation soumis par l’Imperial College de Londres et publié sur un site du gouvernement britannique.
Elle fait écho à cette phrase d”Olivier Véran citée dans un mémoire du ministre de la santé pour contester la demande d’un octogénaire vacciné qui prétendait obtenir en référé du Conseil d’Etat le droit de ne pas se soumettre aux restrictions sanitaires :
« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »
Ce qui fait dire à Jeanne Smits que les vaccinés contre le COVID risquent davantage de mourir.
A bon entendeur…
De nombreux réfugiés syriens reçoivent, depuis quelques mois et dès la fin de validité de leur permis de séjour temporaire au royaume du Danemark, un courriel de l’office des migrations les informant que leur permis de séjour ne serait pas renouvelé : les autorités danoises estiment que la situation dans la région de Damas est suffisamment sûre pour qu’ils puissent y retourner.
Selon les chiffres de l’office des migrations, 170 réfugiés syriens ont perdu leur titre de séjour en 2020. Entre janvier et février 2021, 84 autres. Et, depuis mars, plusieurs dizaines encore, faisant du Danemark le premier pays en Europe à ordonner le retour des réfugiés syriens.
C’est une déclaration choc, qui ne passe pas inaperçue ! Le chanteur Bébabar, qui avait déjà évoqué ses réserves quant à la cérémonie, en explique les raisons ce samedi. Invité de l’émission On refait la télé sur RTL, présenté par Eric Dussart et Jade, il dénonce une remise de prix “parfaitement corrompue”: “C’est une démocratie où il n’y aurait que les gens de gauche qui voteraient. Et à tous les coups, vous avez un président de gauche. On savait tous – et ceux qui vous disent le contraire sont des menteurs – quel serait le palmarès des Victoires de la musique un an avant, à deux noms près. Ça ressemble à une démocratie où cinq ou six personnes choisiraient à la fois les candidats et les votants.”
Emmanuel Macron a annoncé, le 8 avril, la suppression de l’ENA (École nationale d’administration), symbole de l’élite française, dans le but de diversifier les profils de la haute fonction publique.
Voici la réaction de Jean Messiha, ancien élève de l’ENA, dans les colonnes de Boulevard Voltaire.
Emmanuel Macron l’a annoncé, il va supprimer l’ENA, l’École nationale d’administration. Cette école est prestigieuse et formait les hauts fonctionnaires de ce pays. Vous avez vous-même fait cette école, que pensez-vous de la décision du chef de l’État ?
Sur Liberté Politique, Constance Prazel revient sur l’humiliation d’Erdogan à l’égard de la présidente de la Commission européenne et souligne :
Mais le scandale est aussi du côté de Mme von der Leyen. N’a-t-elle donc aucun reste de fierté ? A quoi sert de vivre à l’heure du féminisme prétendument triomphant, si une dirigeante de ce niveau n’est pas en mesure d’en imposer à deux hommes ? Il ne fallait pas se contenter de râcler la gorge, il fallait hausser le ton, et si besoin, quitter la pièce en claquant la porte. Au lieu de cela, elle a préféré se soumettre, en allant se mettre au coin, comme un enfant pris le doigt dans le pot à confiture. Son porte-parole a expliqué en termes choisis qu’elle avait « décidé de passer outre et de donner la priorité à la substance sur le protocole. » La formule est élégante, mais laisse pantois, devant une telle démission consentie.