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France et politique française - Page 3046

  • Pour une campagne présidentielle royaliste !

    L’élection présidentielle est la reine des élections, et cette année pré-électorale le confirme à l’envi, une fois de plus, et comme à chaque fois : ceux qui me disaient ne pas être intéressés par cette échéance il y a encore un mois sont désormais accrochés aux émissions nombreuses de télévision qui présentent les candidats ou les programmes, voire les nombreux débats qui se font jour dans cette campagne. J’avoue avoir suivi le mouvement alors même que, au mois d’août, j’avouais ne pas être très motivé par ce qui s’annonçait et ceux qui se présentaient. Mais la fièvre présidentielle m’a repris, comme à chaque fois ! Je me suis remis à découper les articles de journaux sur la primaire de la Droite, les déclarations de Montebourg ou Mélenchon, les programmes économiques de Juppé et de Le Pen, sans oublier tous les débats autour de l’Europe, de l’identité ou de la lutte contre le chômage…

    Alors que tout le monde (ou presque) parle politique, parfois à défaut d’en faire, il serait tout de même dommage que les royalistes oublient, au nom de « stratégies » qui, souvent, ne sont rien d’autre que la forme aimable du renoncement et de la « déroyalisation » de leur pratique politique, ce qu’ils sont et ce qu’ils ont à dire et à proposer

    Que quelques monarchistes se retrouvent près d’un candidat, pourquoi pas ? Il n’est pas inutile de prêcher en terre politicienne et d’en profiter pour avancer quelques pions dans ce jeu qui, pourtant, ne nous est pas favorable. Mais que cela serve de stratégie générale me semble peu crédible, ou fort insuffisant…

    Les royalistes doivent, à mon sens, exister par eux-mêmes et participer à cette campagne présidentielle avec leurs propres mots d’ordre, non pour complaire à tel ou telle candidat(e), mais pour faire connaître et avancer leurs idées et leur projet monarchique.

    Cette échéance de 2017 est l’occasion de rappeler le fondement et l’éminente motivation du royalisme, c’est-à-dire la fondation (refondation, diraient certains), l’instauration ou la restauration (d’autres écriraient ré-instauration) de la Monarchie, et non de flatter l’ego de candidats qui ne sont pas là pour « faire la Monarchie » mais pour gagner leur villégiature élyséenne. Allons au plus simple et au plus court : parlons de la Monarchie, des arguments pour la Monarchie, de la nécessité d’un Etat éminemment politique à celle d’un arbitre indépendant des partis et placé au-delà des calendriers électoraux… Parlons du Roi, tout simplement !C’est faire « bonne politique », et ne pas laisser aux autres le terrain du débat d’idées et de l’action politique. Nous ne sommes pas, nous ne devons pas être des « exilés de l’intérieur » qui se réfugieraient dans un monde idéal et un royaume imaginaire

    Cela signifie aussi, pour le Groupe d’Action Royaliste que j’ai l’honneur de vice-présider, dedévelopper quelques pistes de recherche politique, sociale ou environnementale, qui s’inscrivent, d’abord et rigoureusement, dans le projet institutionnel monarchique, et de les faire connaître. Montrer que l’aménagement du territoire (des territoires, devrait-on dire sans doute), que l’écologie intégrale, que la justice sociale (formule inaugurée par… Louis XVI !), que la francophonie, que la citoyenneté active, que l’unité des peuples de France autour de l’Etat central, etc., passent par la construction d’un Etat digne de ce nom, pérennisé par la « suite » dynastique et inscrit dans le long terme, dans l’histoire et la mémoire sans avoir à prendre de revanche sur quiconque, voilà ce que peut et doit être le travail des royalistes pour les mois à venir !

    En somme, plutôt que se rallier à quelque candidat que ce soit (l’isoloir suffira, le jour de l’élection venu), il faut faire du royalisme, encore et toujours, ici et maintenant ! Cela n’empêche pas d’écouter les uns et les autres, de participer aux réunions électorales, de discuter avec tous, de droite comme de gauche, des extrêmes comme des ailleurs, mais tout en oubliant pas notre motivation première et ce qui fait notre identité royaliste, au-delà de la diversité des formes de celle-ci

    Dans cette campagne, faisons fleurir les lys, sur les panneaux et les murs, dans les médias et les réseaux sociaux, aux conférences et au café (« le parlement du peuple », affirmait Balzac), dans les courriers des lecteurs et les forums sur la toile, etfaisons avancer l’idée du recours monarchique, non pour nous-mêmes mais pour le pays et ses habitants, pour nos territoires comme nos terroirs, pour notre histoire comme pour cet « avenir que tout esprit bien-né souhaite à sa patrie »… C’est bien assez de travail comme cela pour ne pas s’encombrer des programmes ou des affiches des candidats d’une République sans souffle et sans grandeur !

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1348:pour-une-campagne-presidentielle-royaliste-&catid=50:2016&Itemid=61

  • IVG : non à la censure gouvernementale

    VISUEL8PETITION

    Le gouvernement s’est lancé dans une bataille pour museler et censurer les opposants à la banalisation de l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.

    Non content de les menacer d’un « délit d’entrave numérique à l’IVG », il se permet, par son propre « site officiel », de faire dire à un prétendu expert qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Pire, nous avons la preuve que les répondants officiels de ce service orientent des femmes enceintes vers un avortement illégal à l’étranger jusqu’à 22 semaines (alors que le délai français est de 12 semaines !).

    Nous demandons à Madame la Ministre Laurence Rossignol :

    ♦ le retrait immédiat de la menace du « délit d’entrave numérique » qui pèse sur les associations qui proposent des solutions alternatives à l’IVG

    ♦ l’arrêt de toute propagande mensongère sur le site internet officiel du gouvernement et de toute complicité gouvernementale avec des filières d’avortement à l’étranger

    ♦ la diffusion des informations sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes consultant en vue d’un avortement pour que l’avortement ne soit pas une fatalité et leur permettre de conduire leur grossesse jusqu’à son terme.

    Il est irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est toujours le destin de vies humaines qui est en jeu.

    Ensemble, faisons reculer la fatalité de l’avortement.

    http://www.alliancevita.org/ivg-non-a-la-censure-gouvernementale/

  • La liberté d’expression plus que jamais menacée

    Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.

    Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…

    http://www.contre-info.com/la-liberte-dexpression-plus-que-jamais-menacee

  • Éléments n°162. Demain la guerre civile ?

    Extrait de l’éditorial d’Alain de Benoist.

    Le capitalisme a été pendant des décennies largement accepté dans la population pour trois raisons : il favorisait la croissance, il élevait le niveau de vie moyen et il permettait d’augmenter la consommation très au-delà du simple besoin matériel. Ces trois modes de légitimation ont aujourd’hui disparu. (…) Incapable de tenir plus longtemps sa promesse de progrès collectif, le capitalisme se trouve de ce fait dans un état critique sans commune mesure avec les crises conjoncturelles qui l’ont affecté dans le passé. (…)

    L’économie réelle ne portant plus le système, celui-ci est en même temps devenu de plus en plus spéculatif et financier, non sous l’effet d’une « dérive », comme le croient beaucoup, mais tout simplement pour survivre : la financiarisation n’est qu’un dispositif de fuite en avant. Mais cette façon de faire a elle-même atteint ses limites. À l’endettement du secteur privé s’ajoute aujourd’hui une dette souveraine, étatique, qui a augmenté de manière exponentielle depuis vingt ans, et dont on sait parfaitement qu’en dépit des politiques d’austérité elle ne sera jamais payée. (…)

    Faute de mieux, le système tente de gagner encore un peu de temps en faisant fonctionner à plein rendement la planche à billets, c’est-à-dire en fabriquant toujours plus de capital fictif. (…) Ces injections de liquidités massives, poussant à des placements spéculatifs plutôt que productifs, sécurisent artificiellement (et momentanément) les banques, mais ne font pas redémarrer l’économie. Et comme le progrès capitaliste a maintenant détruit tout ce qui pourrait le réguler ou le limiter, un nouveau krach mondial, beaucoup plus terrible qu’en 2008, se profile à l’horizon. (…)

    Le système capitaliste est confronté à une contradiction de fond incontournable. Cette contradiction est celle qui tient à la baisse de la valeur des produits individuels comme conséquence inéluctable de la diminution du temps de travail moyen nécessaire pour la production d’une marchandise donnée, en raison des gains de productivité. D’un côté, le capitalisme repose sur la transformation du travail vivant en travail abstrait, qui contient la valeur, et donc le profit, de l’autre il ne peut résister aux gains de productivité qui permettent de faire face à la concurrence. (…)

    Annoncer la fin du capitalisme, c’est assurément faire preuve de beaucoup d’audace. Combien de fois, dans le passé, n’a-t-on pas annoncé une « fin » – de l’histoire, du travail, de la politique, etc. – qui ne s’est jamais produite ? La nature sociale et politique, comme la nature tout court, n’en a pas moins horreur du vide. Qu’est-ce qui remplacera le vide ? Tout le problème est là.

    Au sommaire du N°162 d’Eléments

    • Alain Valterio, un psy contre les psys
    • Cinéma : 40 raisons d’aimer Fritz Lang
    • La tentation de la guerre civile
    • Entretien avec Jean-Yves Camus
    • Portrait d’une cinéaste : Cheyenne-Marie Carron
    • Cheyenne-Marie Carron : « Je suis une catho-païenne »
    • Humeurs : Les femmes iront en enfer
    • La haine du sexe
    • Le scandale des antibiotiques
    • Avec Hillary Clinton, les néocons sont de retour !
    • Entretien avec Xavier Eman
    • À la rencontre des conservateurs de gauche
    • Actualités de Drieu La Rochelle
    • Portrait de Jean-Louis Curtis
    • Série télé : Turn
    • Philosophie : la vérité scientifique
    • L’esprit des lieux : New Delhi

    Dossier

    • Pourquoi notre monde devient de plus en plus laid
    • Le triomphe de la laideur
    • L’enlaidissement des villes
    • L’art européen
    • La biologie du beau
    • L’invention du marché de l’art contemporain

    http://www.voxnr.com/4698/elements-n162-demain-la-guerre-civile

  • «Chaos» , «révolte» : la manifestation des policiers français vue de l’étranger

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    Suite à l’attaque au cocktail Molotov de Viry-Châtillon, des centaines de policiers ont décidé de manifester leur colère dans plusieurs villes en France. Un phénomène rare qui intrigue la presse étrangère.

    The Daily Mail n’a pas hésité à évoquer un «chaos» provoqué par les policiers sur les Champs Elysées tandis que les journalistes d’Il Nord Quotidiano vont jusqu’à parler de «révolte».

    http://fr.novopress.info/201127/chaos-revolte-la-manifestation-des-policiers-francais-vue-de-letranger/

  • Calais, Viry-Châtillon, Camus, Zemmour : les juges contre la France

    Au lendemain de la guerre, certains « Collaborateurs » ou présumés tels traduits devant les cours de justice et les chambres civiques se sont trouvés jugés et condamnés par des magistrats qui avaient œuvré, quelques mois auparavant, contre des Résistants. Aujourd’hui, la situation n’est évidemment pas la même mais la magistrature se voit taxée de favoritisme et de mansuétude à l’égard de certains délinquants émigrés et d’extrême gauche, attitude qui fausse tout équilibre social et trouble la population. On assiste à un désordre dont les auteurs surprennent : le président de la République, en personne, garant du respect de la Constitution et des institutions (article 5 de la Constitution), dans un livre qui vient de paraître, dénonce la « lâcheté » de la magistrature, tandis que les deux plus hauts magistrats, familiers des affaires concernant la liberté d’expression, lui demandent de retirer ses propos de son ouvrage, au titre d’une « humiliation » irréductible. Quid de l’autorité institutionnelle ?

    Jean-Yves Le Gallou, en quelques lignes, dresse un état pertinent de l’actuelle justice française.
    Polémia

    Des juges ont multiplié les mises en cause de policiers pour des « bavures » réelles ou supposées. Résultat : les policiers sont moralement et juridiquement désarmés, au point de se laisser griller dans leur voiture comme à Viry-Châtillon.

    Les juges ont rendu impossibles (à 97% !) les expulsions de clandestins : des juges trouvent toujours un vice de procédure pour éviter le retour au pays des envahisseurs. Pire : à Calais, des juges ont fait relâcher les coupeurs de route arrêtés !

    Grâce aux juges, l’Etat a perdu le contrôle du territoire national. Mais, dans le même temps, et toujours grâce aux juges, l’Etat a pris le contrôle des esprits.

    Dans une décision hallucinante la Cour de cassation a confirmé la condamnation pénale de l’écrivain Renaud Camus pour avoir déclaré ceci en 2010 :

    « Ce n’est pas à des voyous que vous avez affaire, c’est à des soldats. Enfin, si : ce sont bien des voyous, mais ces voyous sont une armée, le bras armé de la conquête. […] En rendant la vie impossible aux indigènes, les nouveaux venus les forcent à fuir, à évacuer le terrain […]. Ou bien, pis encore, à se soumettre sur place, à s’assimiler à eux, à se convertir à leurs mœurs, à leur religion, à leur façon d’habiter la terre et ses banlieues qui sont l’avenir de la terre. […] Les attaques dont font l’objet les pompiers, les policiers et même les médecins dès qu’ils s’aventurent dans les zones déjà soumises le montrent assez : c’est en termes de “territoire”, de défense du territoire et de conquête du territoire que se posent les problèmes qu’on réduit quotidiennement à des questions de délinquance, de lutte contre la délinquance. […] Chaque fois qu’un indigène est sommé de baisser le regard et de descendre du trottoir, c’est un peu plus de l’indépendance du pays et de la liberté du peuple qui est traîné dans le caniveau. »

    Renaud Camus a soutenu que ses propos n’étaient que l’expression d’une opinion politique relevant de sa liberté d’expression et devaient être protégés par l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme. La Cour de cassation a refusé de retenir ce point de vue pourtant conforme à toute la tradition des libertés publiques en France.

    Dans la foulée de cet arrêt de principe liberticide une enquête préliminaire vient d’être ouverte pour « apologie de terrorisme » (sic !) contre Eric Zemmour. Le crime de l’essayiste ? Avoir manifesté son respect pour « des gens prêts à mourir pour ce en quoi ils croient » dans le dernier numéro de Causeur. Cette enquête préliminaire est encore plus hallucinante. Car le respect de l’ennemi –qu’on combat par ailleurs – est une constante historique et anthropologique de la civilisation européenne. En le niant, la justice s’inscrit dans une démarche purement totalitaire et négationniste de notre identité. C’est Créon contre Antigone.

    Les ignorants et les imbéciles croient que les juges protègent les libertés. C’est faux : alors même que la loi pénale doit être d’interprétation restrictive, les juges en font aujourd’hui une lecture extensive – et cela s’agissant d’une liberté essentielle : la liberté d’expression.

    De 1940 à 1944 les juges ont poursuivi avec zèle les Résistants, des juges aujourd’hui sont leurs dignes héritiers : ils poursuivent avec zèle les dissidents de la pensée dominante. Ils ne rendent plus la justice « au nom du peuple français » mais pour le faire disparaître. Et abolir ses libertés.

    Jean-Yves Le Gallou 10/10/2016

    Source : Calais, Viry-Châtillon, Camus, Zemmour : les juges contre la France

    Jean-Yves Le Gallou, ENA, inspecteur général de l’administration (ER), ancien député européen, est le président de Polémia. Essayiste il a publié de nombreux ouvrages dont La Tyrannie médiatique et Immigration : la catastrophe. Que faire ? Jean-Yves Le Gallou présente chaque semaine, sur Tvlibertés, i-média, émission d’analyse critique des médias.

    http://www.polemia.com/calais-viry-chatillon-camus-zemmour-les-juges-contre-la-france/

  • Philippe de Villiers : « Le paradis ‘diversitaire’ d’Alain Juppé mène à la guerre civile ! »

    Le fondateur du Mouvement pour la France et du Puy du Fou s’alarme, au fil de ses livres, de l’importance croissante de l’islam. Retour sur les raisons de la publication de Les cloches sonneront-elles encore demain ?

    Passionnant, étonnant, convaincant…

    http://www.bvoltaire.fr/philippedevilliers/le-paradis-diversitaire-dalain-juppe-mene-a-la-guerre-civile,289378

  • L'Action Française Provence : un exemple d'activité intense et réussie ...

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    Dans son enquête de l'été dernier, « Aujourd’hui, le royalisme », Politique magazine avait titré l'un de ses articles : « L'AF-Provence, section modèle* ». De fait, cette qualification ne se dément pas.

    Au camp d'été de l'Action Française, le Camp Maxime Real Del Sarte, la participation des jeunes Provençaux a été nombreuse et remarquée, en raison de leur dynamisme et de leur efficacité.

    La semaine dernière - lundi 10 - nous avons fait écho à la réunion de rentrée d'Action Française Provence**. Une réunion qui a fait grand bruit (presse, télévision ...) parce que tenue et réussie - le samedi 8 octobre - malgré les violences de la gauche radicale, organisées pour « l'interdire » ... Sans succès !

    Le vendredi suivant, 14 octobre, a eu lieu la première conférence du cercle Estienne d’Orves : un exposé d'Antoine de Crémiers sur « l’empirisme organisateur », thème maurrassien très classique, confronté, en l'occurrence, comme il se doit, à l'actualité et aux problèmes de la France contemporaine. Nombreuses réflexions et débats du côté des militants !

    Le lendemain, samedi 15, à Marseille, l’Action française est dans la rue. les militants se sont rendus sur un des lieux incontournables de Marseille : le marché du Prado. Ils ont tenu un stand au beau milieu de la foule, ont diffusé des tracts sur le thème de l’urgence à sortir de l’Union européenne. De belles rencontres et des discussions enrichissantes à la clé !  

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    La conférence du vendredi 14 octobre, 14 rue Navarin

     

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    Un stand de presse, affiches et tracts, dans la foule, marché du Prado

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    Les tracts, de mains en mains ...

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    * Enquête « Aujourd’hui, le royalisme » : l'AF Provence vue par Politique magazine

    ** L'Action Française Provence a réussi sa réunion de rentrée malgré les violences de la gauche radicale

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/