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France et politique française - Page 3245

  • Xavier Bertrand : "Plus rien ne sera jamais comme avant"...sauf mes indemnités d'élu.

    Mais ça c'était avant :

    "Lors de son discours de victoire le 13 novembre dernier, il promettait de faire de la politique autrement, clamant haut et fort : « Plus rien ne sera jamais comme avant. » Dans la foulée, il démissionnait de son poste de maire de Saint-Quentin et de député.

    Sauf que Xavier Bertrand, toujours président de l'agglomération de Saint-Quentin, a fait voter, le 26 janvier dernier, une délibération qui lui assure 4 000 euros brut mensuels, révèle le quotidien La Voix du Nord. À cette indemnité, il faut ajouter les revenus de président de région, 5 236 euros brut, pour calculer le salaire de Xavier Bertrand. Soit 9 236 euros brut mensuels."

    Ceci dit, lorsque l'on cumule les voix des Républicains, du Centre, de la Gauche, des écologistes et de l'extrême gauche pour gagner au deuxième tour, un cumul d'indemnités est mérité, non ? 

    Philippe Carhon

  • 6 730 SDF sont morts dans la rue ces trois dernières années en France

    6.730 morts dans la rue en trois ans en France. S’ils avaient été clandestins, paradoxalement, ils auraient bénéficié des aides destinées aux prétendus réfugiés. Mais dans leur grande majorité il s’agit de simples français, souvent de souche, écorchés par la vie. De ceux qu’on abandonne au profit des étrangers, surtout lorsqu’ils sont clandestins, vers qui se portent tous les fonds de solidarité publics, anciens et nouveaux. C’est le Quotidien du Médecin, peu suspect d’inventer des histoires, qui donne ce chiffre.

    Près de 7.000 « sans domicile fixe » seraient morts dans la rue entre janvier 2008 et décembre 2010 explique-t-il : « Rien que pour l’Ile-de-France nous recevons des signalements de décès tous les jours, un peu par hasard. (…). Là, c’est énorme »

    Et encore, ce chiffre n’est-il pas  exhaustif !

    Être sans domicile fixe induit un risque très élevé de mortalité, rappellent les auteurs. Les études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada, rapportaient un taux de mortalité entre 3 et 13 fois supérieur à celui de la population générale. Et ce sont surtout les hommes jeunes qui meurent dans la rue. «  Les causes de décès ne sont pas très différentes de celles de la population générale », explique Lise Grout. « Il s’agit pour les hommes de cause cardiaque, ou externe, agressions, suicides, qui sont celles que l’on retrouve dans la population masculine au même âge. Sauf que l’âge moyen de décès dans la rue est de 45 ans contre 77 ans dans la population générale ».

    L’INSEE reportait une augmentation de 50 % des SDF au cours de la dernière décennie et estimait à 144.000 le nombre de personnes vivant dans la rue en 2012.

    Quand le nombre de Sans-domicile-fixe atteint de tels chiffres, il ne s’agit plus de marginaux, mais d’un phénomène de société. Une société qui ouvre ses portes et le fruit de ses impôts aux jeunes étrangers d’autres continents, en quête de conditions économiques meilleures, mais qui les ferme à ses propres ressortissants.

    Source : MPI

    http://www.contre-info.com/6-730-sdf-sont-morts-dans-la-rue-ces-trois-dernieres-annees-en-france#more-41479

  • Journal du jeudi 31 mars 2016 : Terrorisme / R. Kriket : une arrestation qui tombe à pic !

  • Le Petit Journal de Canal + sévèrement jugé au Canada

    PARIS (NOVOpress) : Dans un article titré « Marine Le Pen coupée au montage », la journaliste Sophie Durocher, spécialiste des médias au Journal de Montréal, critique sévèrement la façon dont Le Petit Journal de Canal + s’est moqué de l’interview de la présidente du Front national par Anne-Marie Dussault, sur Radio Canada. « Le Petit Journal a proposé un micromontage de l’entrevue de 30 minutes en ne gardant que les portions qui l’arrangeaient, écrit-elle. Ils ont charcuté et tronqué une entrevue jusqu’à la dénaturer. »

    « Ils n’ont pas gardé un seul des malaises, un seul des silences, quand Le Pen pose une question à Dussault et que celle-ci ne sait quoi répondre. C’est d’une mauvaise foi hallucinante », poursuit la journaliste, qui ajoute : « Je ne prends pas la défense idéologique de Marine Le Pen. Mais occulter ses réponses, parfois très bien envoyées, c’est mentir aux téléspectateurs français sur la nature même de cette entrevue. » Elle relève également, avec stupeur : « Le pire c’est qu’en France, plusieurs médias pourtant respectables ont écrit des textes basés sur le “remontage” du Petit Journal, sans jamais manifestement avoir visionné l’intégralité de l’entrevue. »

    Sophie Durocher est d’autant plus indignée que, au Canada, c’est le comportement très agressif d’Anne-Marie Dussault qui a fait scandale.

    http://fr.novopress.info/
     
  • Cette révolte qui vient... (partie 5) Les lycées fermés à Paris, comme un avertissement au gouvernement ?

    Jeudi 31 mars, plus d'une vingtaine de lycées seront fermés à Paris et dans la région parisienne, et cela par décision des proviseurs inquiets devant le risque d'incidents tels que ceux qui ont éclatés la semaine dernière, en particulier devant le lycée Bergson devenu, bien malgré lui, le symbole des violences du moment. Ainsi, comme le signale le journal Le Mondesur son site informatique, même le lycée Jean de la Fontaine (XVIe arrondissement, près du parc des Princes) « pas franchement l'un des lycées coutumiers des blocages » annonce, sur sa page d'accueil internet, sa fermeture « afin d'éviter que les élèves et les personnels ne soient exposés à des débordements et de la violence »... Cela n'est guère rassurant, en particulier pour le gouvernement qui craint que les lycéens sans cours se retrouvent dans la rue, et rejoignent les cortèges contestataires, surtout si la météo est favorable ! De plus, les fermetures d'établissements ne sont pas si fréquentes et, selon le porte-parole national du SNPDEN-UNSA, principal syndicat de chefs d'établissement, « on a connu des fermetures, ponctuellement, mais un mouvement collectif de cette nature, je crois que c'est la première fois dans l'histoire ». Cela traduit aussi, comme le souligne Myriam Honnorat, représentante des proviseurs au Syndicat National des personnels de direction, « un sentiment d'impuissance » devant la violence de quelques jeunes, peut-être pas si minoritaires que cela si l'on en croit les images des attaques de deux commissariats et de l'invasion d'un supermarché dans les environs du lycée Bergson.

    La réponse du ministère de l’Éducation nationale à ces fermetures et aux risques d'incidents est à l'image de cette République de plus en plus coupée des réalités, c'est-à-dire indigne et irresponsable : « Un lycée ne peut pas être fermé par anticipation. Une fermeture ne peut être envisagée que le jour même pour des raisons de sécurité avérées, en accord avec le recteur ». En somme, c'est un « débrouillez-vous » général adressé aux chefs d'établissement, ceux-là mêmes à qui l'on refuse une véritable autonomie de fonctionnement et les moyens de garantir la sécurité des usagers comme des personnels en temps normal ! Comme si le ministère souhaitait la survenue des incidents, et non leur prévention, même si cette dernière doit en passer par quelques heures de suspension des cours... En fait, je le répète, ces consignes de l’Éducation nationale n'ont d'autre fin que de faire assurer par les établissements scolaires un ordre public que l’État actuel ne semble plus en mesure d'assumer et d'assurer lui-même. A moins que le ministère ne souhaite des affrontements aux portes des lycées pour mieux dénoncer ensuite « l'irresponsabilité » du mouvement de contestation et le décrédibiliser aux yeux du grand public : une stratégie somme toute classique, mais pas toujours efficace, au regard de l'histoire des mouvements sociaux dans notre pays et ailleurs.

    Ce qui est certain et sans préjuger des événements de jeudi, c'est l'embarras du gouvernement face à une situation qu'il croyait, hier encore, bien contrôler.

    Qu'en sera-t-il, ainsi, ce 31 mars ? Le mouvement de contestation, pourtant bien essoufflé ces deux dernières semaines, peut-il reprendre la main et faire douter le gouvernement, à défaut de le faire céder, ce qui, à l'heure actuelle, semble difficile (sans être, pour autant, impossible...) ? La rue peut-elle imposer « son » (sic!) point de vue au Pays légal ? Les multiples colères françaises, attisées par le mépris gouvernemental à l'égard de ses opposants (et cela depuis le début du quinquennat) et l'arrogance de quelques grands oligarques comme MM. Gattaz ou Tavares, peuvent-elles déborder en une révolte sociale aux conséquences forcément imprévisibles, autant pour le meilleur (s'il en est un) que pour le pire ?

     

    Georges Bernanos, ce royaliste éternellement encoléré et profondément humain, affirmait qu'il ne fallait pas hésiter à courir le risque d'une révolte ouvrière pour ébranler une société d'injustice(s) : peut-on attendre la même chose d'une émeute lycéenne, de ce « péril jeune » évoqué désormais (mais en d'autres termes, plus prudents...) par la Gauche de gouvernement ? Il y faudrait des raisons supérieures et une direction « souveraine », une « pensée Antigone » qui n'apparaît pas encore clairement, pour faire que du mal d'un désordre de rue naisse le bien reconnu de la Cité. Il est tard, mais il n'est pas trop tard pour y penser, et y travailler...

     

    (à suivre : les désordres de la rue et le désordre de l’État ; le « Que faire ? » des royalistes en temps de colère ; les propositions royalistes pour le monde du travail ; le « tiers-pouvoir lycéen et étudiant » ; etc.)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1302:cette-revolte-qui-vient-partie-5-les-lycees-fermes-a-paris-comme-un-avertissement-au-gouvernement-&catid=50:2016&Itemid=61

  • "Il existe des camps d'entraînement dans les quartiers"

    C'est ce que déclare Samia Ghali, sénatrice PS des Bouches-du-Rhône et maire des 15e et 16e arrondissements de Marseille :

    « Tout le monde a laissé tomber ces quartiers partout en France. On les a abandonnés, on les a laissés en se disant qu'ils se débrouilleraient entre eux, que l'on n'a pas besoin d'eux. On n'aime pas, en France, les gens de ces quartiers, et ils le savent. »

    «[Il y a] des camps d'entraînement dans les quartiers où les gens s'entraînent à tirer ». « On est quand même en France, au XXIe siècle, et j'en suis à demander à ce qu'on monte un mur dans une école pour que les balles des kalachnikovs ou des fusils ne se retrouvent pas dans la cour de récréation ».

    Michel Janva

  • Déjeuner-débat avec Roger Holeindre à Ailly-le-Haut-Clocher (80) samedi 23 avril 2016

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    A l’invitation du Parti de la France, dont il est le Président d’Honneur, et du NON (au changement de peuple et de civilisation), Roger Holeindre, Président du Cercle National des Combattants, militant historique de la droite nationale, sera, samedi 23 avril à 12h30, à Ailly-le-Haut-Clocher dans la Somme (entre Amiens et Abbeville) pour un déjeuner-débat où il dédicacera également ses livres.

    La participation aux frais est de 25 € (payable sur place)

    La réservation est obligatoire au 07.81.69.58.73 ou davidmartin280574@gmail.com

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/dejeuner-debat-avec-roger-holeindre-a-ailly-le-haut-clocher-80-samedi-23-avril-2016_156703.html#more-156703

  • Déchéances

    Il y a quatre mois, sous le choc des attentats parisiens du 13 novembre, députés et sénateurs réunis à Versailles entonnaient la Marseillaise et applaudissaient chaleureusement François Hollande à l’issue de son discours ou il se prononçait pour la déchéance de la nationalité française à l’endroit des binationaux terroristes. Une mesure certes symbolique, prônée de longue date par le FN, plébiscitée par les Français mais qui a vite suscité l’émoi et l’hostilité d’une partie de la gauche et de la droite reprenant très vite ses vieux réflexes politiciens. La raison avancée par les opposants, outre quelques arguties juridiques, certes parfois non dénuées de fondements d’un strict point de vue technique, était principalement le refus, la peur de stigmatiser l’autre, l’étranger. Pour tenter d'arracher le vote des trois cinquième  des parlementaires, étiage nécessaire pour toute modification de la Constitution, Manuel Valls a pourtant même été jusqu’à vider cette mesure de sa substance, en faisant disparaître toute mention des binationaux.

    Hier, salué par les tweets emphatiques au style pompier de Christiane Taubira, François Hollande, prenant acte de l’incapacité des députés et sénateurs à se mettre d’accord, a annoncé l’abandon de la déchéance de nationalité. Les Français eux sont consternés devant ce spectacle. Une nouvelle incarnation de l’impuissance, des atermoiements de politiciens, qui du Front de Gauche à LR, discutent du sexe des anges dans Byzance assiégée, dans une Europe dont les frontières craquent sous la pression de millions de  migrants, frappée en son cœur par le terrorisme, où les mini-Kosovo se multiplient…sur fond de campagne gouvernementale contre le racisme des méchants blancs-de souche-autochtones…

    Le site d’Europe 1 reprenait une analyse partagée par la plupart des médias : «En politique on n’est jamais mort, et surtout pas François Hollande» , mais « Dans les couloirs du Palais on murmure que le président de la République est fini. (…) L’abandon de la déchéance est vécu à l’Élysée comme le coup de grâce d’un chemin de croix de quatre mois. Révision constitutionnelle enterrée, remaniement mal orchestré, loi El Khomri mal maîtrisée. Trois échecs, et un seul responsable : François Hollande.»

    Pour autant, «paradoxalement, la candidature de François Hollande en 2017 n’a jamais été aussi probable, pour ne pas dire certaine. Pourquoi ? Parce que ses concurrents, Martine Aubry, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, les frondeurs tous ont une certitude : la gauche sera défaite en 2017. Selon un sondage du Cevipof paru jeudi dans Le Monde, l’ensemble de la gauche ne pourrait cumuler au premier tour que 33% des voix au maximum (et Marine Le Pen est présente au second tour dans tous les cas de figure, NDLR). Un score désastreux. Certes, un sondage est la photographie d’un instant T, mais là c’est la photo d’une déroute annoncée.»

    Déroute qui est aussi celle d’une certaine justice. Mercredi soir le procureur de la République de Paris, François Molins annonçait que l’arrestation jeudi dernier à Courbevoie (Hauts-de-Seine) de Reda Kriket, mis en examen pour des infractions criminelles en relation avec une entreprise terroriste, a certainement évité des attentats imminents. La perquisition de « l’appartement conspiratif » de ce dernier à Argenteuil (Val d’Oise), a permis la découverte de passeports français volés, et du matériel nécessaire pour confectionner des bombes : détonateurs, explosifs, acide, milliers de billes d’acier pour mutiler et déchiqueter les chairs plus sûrement…

    Notons que notre pays dans sa grande générosité a accordé la nationalité française à Reda Kriket, comme à Miloud F., un Franco-Algérien, déjà condamné pour ses liens avec al Qaïda et Aqmi. Celui-ci a été mis en examen en novembre et son arrestation cet automne en Turquie a permis à la la DGSI de démanteler cette cellule. Autre pion dans ce dispositif, un autre ami de Reda Kriket, Anis Bahri, qui comme lui a un passé de délinquant de droit commun converti au djihadisme en Syrie. Bahri avait été condamné deux fois par la cour d’assises de Paris pour des vols avec violence. Ses trois hommes ont à chaque fois été relâchés à l’issue de peines à l’évidence trop courtes et pas assez dissuasives, maintenus sur le territoire national…

    Dans son livre, qui vient de sortir, Tout ce qu’il ne faut pas dire, évoquant «30 ans de manque de courage politique, et de mollesse des gouvernements», le général de corps d’armée, directeur de la gendarmerie Bertrand Soubelet souligne souvent avec justesse les inquiétantes faiblesses de l’Etat  aux conséquences dramatiques. Il écrit par exemple qu’ «en 2009, sous la pression conjuguée des politiques, de la CNIL et de certains groupes de pression, la gendarmerie a été contrainte de détruire en urgence son fichier alphabétique, dans toutes ses unités de France. (…) Personne ne peut dire aujourd’hui combien de nos actuels djihadistes figuraient dans ces fichiers…»

    On se souviendra que le général Soubelet avait été soutenu par le FN quand il avait osé décrire, dans une audition filmée devant une commission de l’Assemblée nationale en décembre 2013,  l’état des lieux peu rassurant de la sécurité en France, ce qui lui avait valu certains déboires.

    Dans un entretien accordé à Paris-Match, mis en ligne le 28 mars sur le site de l’hebdomadaire, le militaire prend cependant bien soin de hiérarchiser ses peurs :«( je ne suis) Pas du tout d’extrême droite » confie-t-il. « Je me retrouve même parfois davantage dans les idées de gauche que de droite. Et quand je constate qu’aux dernières régionales, six millions de français ont voté FN, cela me glace le sang.»

    Ce qui glace surtout le sang des Français affirme Bruno Gollnisch, ce sont les menaces et les impuissances  décrites par ce général.  Il est tout aussi inquiétant que son  sang se glace quand des millions de nos compatriotes, tirant notamment les conclusions de ce qu’il condamne, se saisissent de l’arme du vote pour réclamer le retour d’un Etat fort, stratège, souverain, assurant pleinement ses fonctions régaliennes; pour dire leur refus de disparaître, de courber l’échine, pour clamer leur fierté nationale leur goût de la liberté.

    La guerre est une chose trop grave pour être confiée à des militaires affirmait Clemenceau dans une célèbre boutade. La réflexion vaut certainement aussi pour la politique. Fort heureusement,  il existe des exceptions heureuses, sachant aussi que la grande muette ne partage pas toujours, très loin s’en faut, une frilosité politiquement correcte qui est aussi une déchéance.

    http://gollnisch.com/2016/03/31/decheances/

  • Établissements scolaires hors contrat : un signe de défiance envers l’école publique

    Les écoles hors contrat, confessionnelles ou non (environ 1.300 dont 300 confessionnelles), continuent leur extension.

    Si le Code de l’éducation précise que « l’instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six et seize ans », il prévoit aussi que cette instruction peut être donnée dans des établissements privés ou dans les familles, à certaines conditions. Parmi les écoles privées, les écoles hors contrat, confessionnelles ou non (environ 1.300 dont 300 confessionnelles), continuent leur extension.

    Des inspections doivent, en principe, y être effectuées pour vérifier que l’enseignement dispensé n’est pas contraire à la morale, à la Constitution, ni aux lois, ou que les impératifs de salubrité et d’hygiène sont respectés. Selon Le Figaro du 29 mars, des inspections menées en novembre et décembre 2015 dans une vingtaine d’établissements hors contrat, dont la moitié musulmans, auraient révélé « la pauvreté pédagogique » des enseignements dans quelques écoles. Dans le collimateur : des établissements musulmans soupçonnés de contribuer à la radicalisation.

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