Déjà quinze jours, et toujours rien : toujours pas de nouveau gouvernement. Décidément, plus rien ne se passe comme avant : une réélection sans campagne, sans euphorie et même sans état de grâce. Un « président nouveau » ? Personne n'y a cru. Même pas Le Monde qui nous décrit par le menu l'activisme du Président aussi bien pour les investitures aux législatives que pour la composition du nouveau gouvernement.
France et politique française - Page 795
-
Casting pour législatives et gouvernement : Emmanuel Macron en DRH, avec une assistante nommée Brigitte
-
Hommage à Jeanne d'Arc - Action Française et Civitas
-
La démission du gouvernement de Jean Castex annoncée par erreur sur le site de Matignon, qui rectifie et évoque des « problèmes techniques »
Selon JMMorandini, le site internet de Matignon a affiché par erreur ce samedi une page annonçant la démission du gouvernement de Jean Castex. Une erreur survenue «en raison de problèmes techniques», selon Matignon.
-
« Entre 2017 et 2021, 1,3 million de nos concitoyens ont rejoint les rangs de l’armée invisible des victimes de coups et blessures volontaires, selon les chiffres même du ministère de l’Intérieur »
Et vous, préférez-vous pouvoir remplir votre caddie ou rester en vie ? Le choix peut sembler absurde, mais c’est pourtant ce qui semble se profiler à l’orée de ce nouveau quinquennat. Le «quoi qu’il en coûte» est sans aucun doute plus simple à gérer que l’ensauvagement d’un pays…
Cinq minutes tous les cinq ans. C’est ce dont des centaines de milliers de victimes de coups et blessures volontaires en France l’an passé devront donc se contenter en termes d’intérêt et de visibilité. Elle était bien courte, pourtant, cette séquence consacrée à la question de l’insécurité lors du débat de l’entre-deux tours entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Le seul moment de la campagne, au fond, où il aurait été possible de dresser le bilan du quinquennat écoulé. Les souffrances, les blessures, parfois la mort d’un proche, ne méritaient donc que 300 secondes par quinquennat ?
-
Pénuries, croissance, inflation : chiffres en main, l’économie de la France sous Macron a de quoi inquiéter
Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’État macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n'agite pas vraiment les palmes d'un franc succès. L’économie française ressemble de plus en plus à l’économie de la non regrettée… Union soviétique : pénuries dans les magasins (voir notre article sur le lait), inflation galopante, déficits monstrueux, difficultés d’approvisionnement pour les entreprises… On ne parle pas du poids de l’État ni des réglementations tatillonnes installées en France de vieille date et qui ont résisté à tous les régimes.
-
Macron : sa tentative (ratée ?) de coup d’État en Europe
-
Bordeaux veut sa maison de l’esclavage
Dans la pathétique course à l’échalote de la repentance et de la reptation face aux « minorités » forcément souffrantes à laquelle s’adonnent les ethno-masochistes de tous poils, les maires « écolos » des grandes cités françaises tiennent évidemment la corde.
Ainsi la mairie de Bordeaux envisage la création d’une indispensable « maison contre les esclavages et pour l’égalité » afin d’entretenir la sacro-sainte « mémoire » – qui se résume en réalité à une éternelle culpabilisation de l’homme blanc – et d’expier le passé de la capitale girondine qui, à la fin du XVIIe siècle, a prospéré sur la traite d’esclaves et le négoce de denrées coloniales produites par ces derniers. L’urgence d’un tel projet, évidemment financé par le contribuable, n’échappera évidemment à personne.
-
Nantes : Oussama Sbaï, figure de la gauche radicale nantaise et « pressenti » pour être candidat LFI aux législatives, jugé pour avoir brûlé un drapeau français
Oussama Sbaï, présenté comme étant un «leader de l’ultragauche radicale nantaise» et pressenti pour être candidat LFI aux législatives, a été jugé lundi 9 mai à Nantes, après avoir brûlé un drapeau français à Nantes le 4 septembre 2021.
-
Misère du monde paysan et prochaine pénurie de lait en France ?
C’est bien la peine de vivre dans un pays façonné par le colberto-gaullisme, les plans quinquennaux, une technocratie censée tout anticiper pour mieux aider les politiques à gouverner et de bientôt se retrouver face à la disette annoncée de… lait ; alors que la France est le deuxième producteur européen en la matière.
-
Les portraits d'Éléments n°7 : André Bercoff, la liberté de déplaire