![Laurent Bigorgne en garde à vue: le directeur de l’Institut Montaigne accusé d’avoir drogué une de ses collaboratrices](https://www.fdesouche.com/wp-content/uploads/2022/02/ZUY2KZ5XDVBSBABBCFUWXTZFJE-740x493.jpeg)
Laurent Bigorgne est soupçonné d’avoir mis de la MDMA dans la coupe de champagne d’une de ses collègues à son insu. Il a été interpellé ce vendredi.
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Laurent Bigorgne est soupçonné d’avoir mis de la MDMA dans la coupe de champagne d’une de ses collègues à son insu. Il a été interpellé ce vendredi.
« Adèle Van Reeth représente tout ce qu’est France Inter […] Adèle Van Reeth est un pur produit de notre maison », explique Sybile Veil, présidente de Radio France qui annonce, dans un entretien accordé au Monde, avoir choisi de la nommer à la tête de France Inter pour remplacer, à la fin de l'été, Laurence Bloch, qui aura soixante-dix ans cette année.
Valeurs Actuelles révèle, concernant l’appel de Zemmour devant la CEDH, que
En pleine campagne présidentielle, le gouvernement français a demandé à la CEDH d’appliquer à Éric Zemmour un traitement exceptionnel, en considérant son discours comme une menace pour la démocratie.
Et aussi :
Poutine au président français, en ridiculisant son rôle respectable de sauveur de la paix en Europe sur le dossier ukrainien. La geste macronienne avait d’abord assuré, dans un visuel : « Le président s’est battu pendant des semaines pour éviter l’invasion russe de l’Ukraine. Aujourd’hui l’armée de Poutine recule. » Puis le chef de l’État, se laissant photographier non rasé à l’issue d’une nuit blanche, avait annoncé lundi matin avoir réussi à décrocher le principe d’un sommet entre Joe Biden et le Russe. « Annonce prématurée », avait immédiatement répliqué Poutine avant de reconnaître l’indépendance du Donbass et de bombarder jeudi matin des sites stratégiques ukrainiens. Début février, le Kremlin avait déjà démenti Macron, qui disait avoir pu stopper l’escalade militaire russe.
Que sera, que pourra être la Monarchie royale à venir ? C’est une question maintes fois entendue et à laquelle il n’est pas toujours facile de répondre, ne serait-ce que parce que les royalistes en sont réduits, malheureusement, à évoquer la théorie sans savoir si l’histoire confirmera, au moins, l’espérance d’une nouvelle instauration royale. De plus, s’ils se moquent des promesses électorales (et surtout électoralistes), ce n’est pas pour en rajouter ! Néanmoins, ces précautions étant évoquées, il serait tout aussi néfaste d’attendre « le moment bienheureux venu » pour, alors, découvrir un programme ou improviser : une « prise de pouvoir », quelles qu’en soient les formes, s’envisage et se prépare, en-deçà et au-delà du moment même.
Le « Zone Interdite » de M6 dressait un constat alarmant sur l’islamisation de la ville de Roubaix, mais qu’en est-il vraiment ?
S’agit-il d’une manipulation islamophobe comme le suggère l’extrême-gauche ? Doit-on y voir une représentation fidèle de l’ensemble du territoire français ?
Pour le savoir, les équipes de VA PLus sont allés sur les traces de M6, à la découverte de Roubaix.
L’institution confirme à L’Express que les candidats devront obtenir l’aval du Sénat pour faire appliquer certaines mesures de leur programme. Une prise de position inédite.
Pour les candidats aux programmes “de rupture”, les obstacles ne s’arrêteront pas après l’élection présidentielle. Faisons un peu de politique-fiction : même détenteur des 500 parrainages, vainqueur du scrutin puis des élections législatives dans la foulée, le nouveau président – s’il s’agit de Marine Le Pen, Eric Zemmour ou Jean-Luc Mélenchon – pourrait se trouver empêché d’appliquer son projet.
Alors qu’elle totalise plus de 1200 parrainages, le maire de Paris et la candidate du parti socialiste à l’élection présidentielle a décidé pour faire vivre la démocratie et la pluralité des idées en France, d’offrir son parrainage à elle-même…
Au dernier décompte, le 1er octobre 2021, la France comptait 17.198 détenus étrangers dans ses prisons, soit 25% de la population carcérale totale (contre 17,2% en 2011). Un chiffre en constante hausse et qui pèse sur les finances du système pénitencier. Comme le rapporte Le Figaro, alors qu’un détenu coûte 110 euros par jour (repas, eau, chauffage, frais de personnel), le coût total des prisonniers étrangers avoisine les 700 millions d’euros par an.
(…) Capital.fr via Fdesouche