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Le milliardaire Elon Musk soutien inattendu des camionneurs canadiens et plus généralement des défenseurs de la liberté.
Plus fort que n’importe quel syndicat ou association, Elon Musk a fait plusieurs tweets pour défendre la protestation grandissante de nos voisins d’outre Atlantique.
« Même si mon combat n'aura servi à rien, je pourrai dire à mes petits enfants que j'ai fait. » C'est ainsi qu'au téléphone, Hélène Gerray justifie son combat contre un gouvernement qui ne la considère plus que comme une citoyenne de seconde zone. Cette habitante résolue de l'Ile et Vilaine intéresse la presse. Elle a déjà eu les honneurs du Point. Elle tient à le préciser : « La vaccination, ce n'est pas vraiment le problème. Le problème, avec la mise en place du passe vaccinal, c'est que ceux qui sont censés être nos représentants nous privent de nos libertés. »
Ce qui se passe au Danemark est à suivre de près : ce mercredi, le pays doit annoncer la fin des restrictions de liberté découlant de la contagion virale. Et cette liberté retrouvée serait mise en œuvre dès le 1er février. En France, nous connaissons l’évolution contraire : le passe vaccinal transforme les non-vaccinés ou insuffisamment vaccinés en sous-citoyens. Qui a raison ? Les Danois ou les Français ?
A la une de cette édition, alors que la France s’entête dans sa stratégie vexatoire contre les non-vaccinés, de nombreux Etats européens mettent fin aux mesures de restrictions.
Nous reviendrons ensuite sur le discours d’Emmanuel Macron aux rapatriés d’Algérie. Une manœuvre électoraliste entachée par le “en même temps” qu’on lui connaît.
Et enfin, nous évoquerons les derniers éléments autour du lanceur d’alerte Julian Assange.
https://www.tvlibertes.com/macron-champion-des-restrictions-jt-du-jeudi-27-janvier-2022
Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris, fait partie des ignobles partisans de l’apartheid sanitaire le plus total, remettant en cause la prise en charge par la sécurité sociale des soins médicaux des non-vaccinés. On aimerait que lui et ses comparses expliquent si, dans ce cas, les non-vaccinés seront remboursés de leur participation préalable au financement de la sécurité sociale et s’ils seront désormais libérés de tout devoir de contribuer à financer celle-ci puisqu’ils n’auraient plus aucune contrepartie.
Ne boudons pas notre plaisir d’écouter et réécouter un médecin urgentiste humilier en direct ce Martin Hirsch, l’invitant en conclusion à présenter sa démission.
Cet individu, activiste cosmopolite, militant socialiste puis sarkozyste, a depuis quelques années la casquette de directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris. A ce poste, il a fermé des lits, mené des réductions de personnel, saturant les hôpitaux bien avant le Covid.
Maintenant, ce covidiste forcené (il a exclu de son poste à l’hôpital le professeur Perronne) poursuit de sa haine les Français qui ont refusé les injections expérimentales.
C’est un livre glaçant, révoltant, atroce. Un lieu où les familles payent cher pour y faire entrer un proche mais où ce dernier payerait encore plus cher pour en sortir. Le journaliste indépendant Victor Castanet publie Les Fossoyeurs chez Fayard. Une enquête de trois ans, publiée ce mercredi, en immersion dans les établissements Orpea, leader mondial de la maison de retraite. Et le résultat est glaçant ; en parcourant Le Monde qui s’est procuré les bonnes pages, on est saisi par l’horreur. Des pensionnaires payant plus de 3 000 euros par mois rationnés sur les couches et les biscottes, des salariés parfois forcés à la maltraitance pour d’obscures raisons de rentabilité et de sous-effectifs.
Le gouvernement était visé par des milliers de plaintes, elles n’aboutiront pas.
Lundi 24 janvier, la Cour de justice de la République (CJR) a classé sans suite 19.685 plaintes « types » contre Olivier Véran, Jean Castex, ou encore Jean-Michel Blanquer qui les accusaient « d’extorsion », de « discrimination », de « publicité mensongère » ou encore « d’abstention de combattre un sinistre ».
De manière plus précise et plus ciblée, les plaintes visant Jean-Michel Blanquer notaient que le ministre de l’Éducation aurait d’une part, « intentionnellement exercé une contrainte morale pour obtenir l’engagement à faire vacciner les enfants et d’autre part, traité défavorablement les enfants non vaccinés ». Celles contre le Premier ministre soutenaient qu’il avait « exercé en conscience une contrainte morale pour contraindre les Français à se faire vacciner ».