Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La dernière saillie d’Attal, le bien jeune porte parole du gouvernement ne laisse de me laisser pantois.
Non.
En réalité je ne suis pas pantois.
La dérive est palpable.
Elle était également très prévisible et ce n’est pas faute de l’avoir prévue et de mettre en garde.
Continuons de le faire, mais d’abord citons Attal dans le texte.
« Dans l’après-Covid […], on veut poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales », a-t-il déclaré dans Le Parisien