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l'information nationaliste - Page 2860

  • Le symbolisme du loup 2/4

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    [Ci-contre : Hati & Sköll, Kate Redesiuk, 2009]

    Comme le vieux cycle, le vieil homme doit “mourir” pour que surgisse l’homme à nouveau à la lumière de la Vérité et d’une nouvelle Connaissance. Ce mythe est également en rapport avec un autre type d’alternance : celui du jour et de la nuit, de mort et de résurgence cycliques du Temps et des saisons. L’hiver qui dévore comme un loup la nature corrompue de l’automne, symbolisé par l’ouest, pour la ressusciter au printemps, symbolisé par l’est.

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  • 35% des Français soutiennent le mouvement de contestation contre le pass sanitaire, selon un sondage. « On n’est pas dans la marginalité ou dans l’anecdotique », estime J.-P. Dubrulle, directeur d’études à l’Ifop

    Plus d’un tiers des Français soutient le mouvement de protestation contre le pass sanitaire. Selon un sondage Ifop réalisé les 20 et 21 juillet dernier pour le Journal du Dimanche, si 49% des Français s’opposent à cette contestation, 16% sont indifférents, et 35% ont affirmé lui apporter « soutien » et  « sympathie ». Même si les Français étaient plus nombreux à soutenir les précédents mouvements sociaux du quinquennat comme les Gilets jaunes et la contestation contre la réforme des retraites, ce chiffre est à prendre en considération. Selon Jean-Philippe Dubrulle, directeur d’études à l’Ifop : « On n’est pas dans la marginalité ou dans l’anecdotique, ce n’est pas une poignée d’hurluberlus ».

    (…) LCI

    https://www.tvlibertes.com/actus/35-des-francais-soutiennent-le-mouvement-de-contestation-contre-le-pass-sanitaire-selon-un-sondage-on-nest-pas-dans-la-marginalite-ou-dans-lanecdotique-estime-j-p-dubrulle

  • LES DERNIERS FEUX DE L’EMPIRE

    L’éclosion de la Sécession et des mouvements qui l’ont accompagnée ne s’est pas faite en rupture avec l’empire. La modernité viennoise n’avait que des ambitions esthétiques, ceux qui en furent les phares restaient les fidèles sujets d’une Autriche-Hongrie dont nul n’imaginait qu’elle allait disparaître.

    Artistique ou littéraire, le patrimoine autrichien des années 1900 est aujourd’hui l’objet d’un engouement toujours plus vif. En France, cet effet de mode peut être daté de l’exposition qui lui a été consacrée, en 1986, par le centre Beaubourg.

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  • Dix ans pour rien !

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    Bertrand de Saint-Vincent

    Dix ans que ça dure. A Nantes, la cour d’appel administrative vient d’annuler les autorisations d’un parc éolien dans les Côtes d’Armor, en raison de son impact négatif sur le paysage. Les travaux avaient déjà démarré et la société responsable a annoncé se tourner vers le Conseil d’État. Près de Saint-Brieuc, malgré la colère croissante des pêcheurs, l’érection de soixante-deux mâts de 207 mètres de haut a été validée le long de côtes labélisées Grand Site de France. Dans le Nord, la Belgique saisit la justice pour tenter de faire annuler un vaste projet offshore du côté de Dunkerque... Quel gâchis ! De temps, d’argent, d’énergie. À quoi servent les dirigeants s’ils sont incapables de fixer une ligne claire sur un point aussi fondamental que la politique énergétique de la France ? À nourrir l’abstention. Malgré les recours, les dossiers alarmistes, les critiques étayées, les éoliennes continuent, dans un va-et-vient chaotique, à tracer leur sillon de laideur inutile. Coulés dans le béton, nourris de métaux rares, à l’extraction polluante, alimentés par des centrales à gaz, ces candides moulins à vent persistent à faire figure de sauveurs de la planète. Tous les rapports sur leurs limites – faible rendement, coût exorbitant, impact désastreux sur le patrimoine et l’environnement – n’y font rien. Aux yeux de leurs partisans les plus acharnés, ces encombrants pylônes demeurent le seul moyen d’avancer sur la voie magique de la neutralité carbone. Quoi qu’il en coûte.

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  • Le symbolisme du loup 1/4

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    [Ci-contre : Hati & Sköll, Kate Redesiuk, 2009]

    La rencontre du loup avec les hommes, qui se produisit dès la plus haute préhistoire, n’est en fait qu’une chronique plurimillénaire, dont la trame est composée de sang, de traques et de massacres en tous genres. Traqué, piégé et tué de mille manières, rarement animal fut pourchassé, exterminé avec autant de haine, et victime de rumeurs, d’affabulations, reflets de la peur qu’il inspirait à l’espèce humaine. Cette peur immémoriale, renforcée lors du triomphe du Christianisme, eut toutefois sa contrepartie : la fascination, voire l’admiration, que l’espèce Homo a toujours éprouvée, plus ou moins inconsciemment pour le genre Canis lupus, au point d’en faire, sinon un Dieu, du moins une bête tabouisée et frappée de maints interdits autant cultuels que culturels.

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  • Quelles leçons françaises tirer de la "déroute occidentale" en Afghanistan et ailleurs ?

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    Dans quelques semaines, les dernières troupes états-uniennes auront quitté l’Afghanistan, mis à part quelques instructeurs et conseillers de l’armée afghane, et les Afghans seront livrés à leur destin qui pourrait bien prendre les couleurs, plutôt sinistres, des talibans déjà maîtres de la majeure partie du pays. Cette « déroute de l’Occident », comme l’évoque l’hebdomadaire Le Point cette semaine, ne doit pas être négligée et elle doit même servir de leçon, même si les Démocraties semblent avoir perdu le sens de la durée et, peut-être, le sens des choses, préférant le mol oreiller de l’indifférence et de la « bonne conscience » (sic !), plus pratique pour étouffer les réalités qui dérangent.

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  • Régis de Castelnau : « Nous avons une minorité, extrêmement minoritaire, qui est en train d’imposer un carcan liberticide à ce pays »

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    Régis de Castelnau revient sur le débat à l’Assemblée nationale de jeudi soir sur le passe sanitaire. Pour lui, « il y a une bascule autoritaire et liberticide inquiétante, mais ce n’est pas une dictature ». Pour autant, il dénonce le carcan imposé aux Français.

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  • Léonidas et les spartiates à la bataille des Thermopyles (18-20 août 480 av. J.C.)

    Batailles mémorables de l’Histoire de l’Europe. Première partie : Léonidas et les spartiates à la bataille des Thermopyles (18-20 août 480 av. JC)

    Introduction

    L’ouvrage collectif « Ce que nous sommes » édité par l’Institut Iliade nous rappelle qu’être européen c’est avant tout « transmettre l’héritage ancestral, défendre le bien commun ». C’est tout l’enjeu de notre combat : transmettre nos valeurs pour les défendre mais aussi transmettre en les défendant. Car il existe un lien indéniable entre la vitalité d’un peuple et sa volonté de combattre.

    Dominique Venner l’avait parfaitement illustré dans un article intitulé « Guerre et Masculinité », paru dans La Nouvelle Revue d’Histoire. Au risque de choquer, il y soulignait le caractère en quelque sorte tragique qu’avait revêtu pour les Français la conjonction entre la fin de la guerre d’Algérie, « ressentie comme la fin de toutes les guerres » et l’évolution vers une société entièrement vouée aux valeurs marchandes et au consumérisme.

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  • La France, à hue et à dia, par Jacques Myard.

    Les Français se sont largement abstenus aux dernières élections ; tous les experts politiques en glosent dans les chaumières et les plateaux médiatiques à longueur d’analyse, y voyant un rejet de la politique.

    En réalité, les Français ne fondent-ils pas leurs abstentions sur une analyse politique ? Ne jugent-ils pas que la  n’est plus dirigée en fonction d’un projet politique cohérent ? Ils sanctionnent en fait l’incohérence de la régence gouvernementale qui va à hue et à dia !

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