Que vient faire Génération Identitaire dans les Pyrénées ?
Retour vidéo sur leur opération Defend Europe mission Pyrénées !
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Que vient faire Génération Identitaire dans les Pyrénées ?
Retour vidéo sur leur opération Defend Europe mission Pyrénées !
Eugénie Bastié
Ah que le monde d’avant la pandémie était simple! Le clivage entre «mondialistes» et «populistes» tournait à plein régime. Les «ouverts» affrontaient les «fermés», les «progressistes» bataillaient contre les «conservateurs». Et puis le Covid est arrivé, rebattant les cartes idéologiques. On a vu un président pro-européen se mettre à parler de souveraineté nationale, le même, adepte du libre-échange, fermer les frontières, des libertariens communier avec les «gilets jaunes», des conservateurs batailler contre l’ordre sanitaire. C’est sans doute dans le camp du libéralisme que la division est la plus forte. En effet, jadis uni contre la tutelle de l’État et pour la réforme de ce dernier, les libéraux sont désormais divisés entre ceux qui dénoncent une atteinte intolérable aux libertés et les partisans de l’expertise qui justifient les mesures exceptionnelles au nom de l’intérêt général.
Contre ceux qui oseraient violer le couvre-feu ou les mesures sanitaires, le gouvernement se montre intraitable :
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Par contre quand il s’agit de priver de logements sociaux et d’allocations les familles de dealers, de délinquants, c’est niet.
Sinon, la France a connu une journée normale :
(…) Il dénonce les ONG européennes qui « coopèrent avec les trafiquants d’êtres humains et violent le droit international en mer », selon ses dires, relayés par le site d’actualité de l’Europe centrale « REMIX ».
Par Guillaume de Rouville, auteur de La Démocratie ambiguë ♦ Il y a quelques jours, nous publiions un long texte sur le « complotisme » de Guillaume de Rouville. Aujourd’hui, nous publions un autre texte de sa plume. Publié en septembre dernier, il reprend divers éléments de réflexion très intéressants sur la crise actuelle.
Polémia
Pensées éparses sur la Nouvelle Normalité
I
Depuis le début de la crise du Covid-19 nous vivons une expérience orwellienne à l’échelle planétaire, une sorte de test mis en scène par nos élites mondialistes, visant à éprouver la résistance de nos corps et de nos âmes au burin compresseur et sadique de la Nouvelle Normalité.
Depuis plus d’une semaine, les contradictions s’enchaînent dans la communication de l’exécutif. Biberonnés à la peur, les Français sont suspendus au bon vouloir d’Emmanuel Macron pour connaître la date de leur prochaine assignation à résidence.
Olivier Véran, le ministre de la Santé, s’appuie désormais sur les chiffres d’hospitalisations et sur le fameux variant britannique pour justifier les nouvelles mesures alors même que le gouvernement a laissé passer des semaines avant de réfléchir à limiter le franchissement des frontières.
Les élus dressaient en mai le montant de l’imposition du village, ils envoyaient les rôles en juillet et l’année fiscale commençait le 1er octobre. Les recouvrements commençaient dès le début du battage. C’est la communauté qui se chargeait d’en répartir le montant par foyer.
La taille était l’impôt le plus lourd, celui qui prenait le plus clair des profits : s’en faire exempter était un sport national. L’assiette en était déterminée par des asséeurs pris à tour de rôle parmi les habitants, et nommés devant le juge seigneurial : ils furent toujours désignés par la communauté, convoquée et réunie au son de la cloche à la sortie de la messe. L’asséeur faisait vérifier le rôle établi par un agent de l’intendant, et le publiait à la porte de l’église : tout le monde en connaissait donc le détail. Toutes les mutations survenues depuis l’année précédente avaient été déclarées publiquement et les réclamations avaient été entendues.
Fondé en 2016 par Gabriel Amard, Le Journal de l’insoumission sera désormais disponible en kiosques. Se définissant comme « 100 % citoyen et sans pub », on sent tout de suite que nous avons affaire à du sérieux. Enfin, pas tant que ça, sachant qu’on voit mal ce que serait un organe « 0 % citoyen », à moins, évidemment, de confondre yaourts et journaux. Quant à la pub, la belle affaire : quel annonceur se risquerait à prendre des pages dans un journal anticapitaliste, à moins de vouloir à la fois ruiner la réputation du journal et de l’annonceur ? Un peu comme si Marc Dorcel faisait la réclame de ses vidéos dans Famille chrétienne.