C8 supprimée : la Macronie reformate le paysage audiovisuel

Champagne à l’Élysée ! Au temps de l’ORTF, le poids de l’État sur l’information était un peu voyant. Macron fait beaucoup plus fin. BFM TV ? Chez l’ami Rodolphe Saadé (lire l’article publié ce 23 juillet). C8, la chaîne d’Hanouna ? Ouste ! Fermée. L’Arcom a rendu publique la décision la plus attendue de l’année : la plupart des chaînes pourront continuer à exploiter tranquillement leur fréquence, notamment TMC et sa star très à gauche Yann Barthès, en dépit de quelques dérapages. Mais deux équipes éditoriales, celles de NRJ 12 et de C8, se rendront dans quelques semaines à l’Arcom, quai de Grenelle à Paris, la tête couverte de cendre tels les pénitents d’autrefois, pour rendre les clés.

Penser à la destitution…

Macron s’est exprimé, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas monopolisé les ondes. Il faut dire qu’il devait digérer trois revers successifs aux récents scrutins. Tout semble aller mieux pour lui, il admet avoir perdu mais… oui, l’homme ne pouvait communiquer sur un échec en l’occurrence le sien. Le « mais » sous-entend que les autres n’ont pas gagné et qu’il est urgent de dégager une majorité à l’Assemblée nationale pour qu’il puisse constituer un gouvernement. Mais en quoi est-ce de sa compétence que de se soucier de la majorité que devra trouver ce Premier ministre qui ne sera pas, théoriquement, de son camp ? C’est une nouvelle fois une violation au principe de séparation des pouvoirs. Mais on est habitué avec lui à ce que cette condition qui caractérise notre constitution soit dévoyée. Il faut dire que Macron s’est ingénié à s’occuper de tout, jusqu’à orchestrer les désistements du second tour. Tout a parfaitement fonctionné, au point qu’il peut à présent, non sans une ironie qu’il garde cachée, s’offusquer que le RN ne soit pas représenté à la Chambre de l’Assemblée nationale. Du grand art.

Paul-Marie Coûteaux : « Sarkozy, Hollande, Macron, c’est le tiercé de la catastrophe ! »

Action française

Les préparatifs de guerre passent par la création d’une armée européenne sous tutelle américaine

En renonçant à la souveraineté sur l’élaboration de la politique militaire, que certains membres de l’UE ont fièrement protégée jusqu’à présent, tous les autres aspects de la fédéralisation se mettraient rapidement en place peu de temps après et enracineraient l’hégémonie allemande sur l’Europe sous tutelle américaine.

Nous allons avoir un gros problème avec la Russie selon le commandant des forces américaines en Europe.

Voilà ce que vient de déclarer le Général commandant les forces américaines en Europe.

“Nous ne pouvons nous faire aucune illusion. À la fin du conflit en Ukraine, quelle qu’en soit l’issue, nous serons confrontés à un très, très gros problème russe. Nous nous retrouverons dans une situation où la Russie retrouvera son pouvoir, atteindra les frontières de l’OTAN, dirigée par presque les mêmes personnes qu’aujourd’hui, et ils seront convaincus que nous sommes des ennemis et très, très méchants.”

Saint-Mihiel (55): Jaouad, détenu multicondamné, connu pour une tentative d’évasion violente, se voit offrir une permission de sortie de prison pour “régulariser ses papiers”, il en profite pour… s’évader

Meuse. Un détenu s’échappe au cours d’une permission : un mandat d’arrêt européen lancé 

Un détenu du centre de détention de Saint-Mihiel, s’est évadé lors d’une permission de sortie en mai 2022. Un mandat d’arrêt européen a été émis contre lui.

Candace Owens sur ce que cache le remplacement organisé de Joe Biden

Candace Owens décrit les réactions et commentaires autour de l’annonce surprise de Joe Biden de ne pas briguer un second mandat en 2024. Elle commence par qualifier cette décision d’« explosion » et d’« incroyable », tout en remettant en question la nature authentique de l’événement. Elle souligne que depuis des années, des inquiétudes ont été soulevées sur les capacités mentales déclinantes de Biden, qualifiant ses « gaffes » de signes de son déclin cognitif.

Derrière le refus par la gauche radicale de serrer des mains, une stratégie de violence révolutionnaire

Lors du vote pour désigner le président de l’Assemblée nationale, certains députés de gauche ont refusé de serrer la main du benjamin de l’Assemblée nationale, le député RN Flavien Termet. Frédéric Rouvillois, auteur de « Politesse et politique », décrypte cette séquence.