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Bergé perd les pédales et se prend pour Staline

 Le 17 mars dernier, Pierre Bergé « tweetait » le message suivant : « Vous me direz, si une bombe explose le 24 mars sur les Champs à cause de la Manif pour tous, c'est pas moi qui vais pleurer ! ».

Le message avait été retiré mais, le collectif de « la Manif Pour Tous » représenté par Maître Alexandre Varaut avait porté plainte pour « incitation à commettre un acte de terrorisme ».
Effectivement, le 24 mars, ce n’est pas Bergé qui a pleuré mais bien ceux qui se sont pris des gaz plein la figure ! Mais peut-être aurait-il vraiment préféré d’autres bombes que des lacrymogènes. 
En tout cas, pas suffisamment satisfait de cette première sortie, le Bergé des gays récidive aujourd’hui dans l’abject. Il se dit « scandalisé » par la publication dans « Le Monde », dont il est actionnaire, d'une publicité où, sur une pleine page payée naturellement, "La Manif pour tous" s'adresse aux sénateurs pour leur demander de rejeter le texte actuellement examiné au Sénat.
Sur Twitter, le président du Conseil de surveillance (sic !) du Monde (excusez du peu !) se dit « profondément scandalisé que le journal Le Monde ait publié une publicité pour la Manif pour tous contraire aux valeurs de ce journal ».
Il précise même avoir « demandé des explications à Louis Dreyfus », président du directoire. Censure, quand tu nous tiens...
« Cette pub est tout simplement une honte et ceux qui l'ont acceptée ne sont pas dignes de travailler dans ce journal », écrit-il déguisant à peine une menace de licenciement. Alors Bergé va-t-il faire virer « les responsables », les faire gazer, fusiller ? Bergé perd les pédales et se prend pour Staline.

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