La grande majorité des « journalistes » des gros médias français sont clairement de gauche, c’est un fait.
L’affaire du Syndicat de la Magistrature le souligne encore, ainsi que la farce de la prétendue « déontologie journalistique ».
Il y a quelques jours, un journaliste filmait secrètement, dans les locaux du Syndicat de la Magistrature (SM, d’extrême-gauche et majoritaire !), un « mur des cons » sur lequel figuraient des photos de nombreuses personnalités, de droite ou non, dont des parents de victimes. Pas de criminel en revanche.
L’affaire fit grand bruit.
Mais voici que le journaliste auteur des images, Clément Weill-Raynal, se trouve à présent, lui-même, sur la sellette !
Il a été rapidement attaqué et désigné à la vindicte par le « Syndicat national des journalistes », majoritaire, qui a tenu à affirmer sa solidarité avec le SM.
Et le SNJ-CGT de France 3 de demander que le journaliste soit traduit en conseil de discipline. Ce qui est chose faite, la chaîne publique ayant annoncé hier l’ouverture d’une procédure disciplinaire.
Ce qui est vraiment fort, dans cette affaire, c’est le motif pour lequel le journaliste est attaqué par sa propre caste : le SNJ, dans un communiqué, « rappelle que l’utilisation d’images volées dans un lieu privé, en l’occurence [nous laissons la faute d'orthographe en l'état ! NDCI] les locaux du SM, est contraire à la déontologie professionnelle la plus élémentaire. »
Alors que jusqu’à présent, on n’avait entendu aucune organisation journalistique s’offusquer lorsqu’il s’agissait de piéger et filmer en caméra caché des membres de la droite nationale ou radicale, avec des dégâts importants (fermeture d’une école catholique traditionnelle par exemple). Une spécialité de la télévision publique d’ailleurs !
Un « deux poids deux mesures » honteux !