Tous les experts psychiatres s’accordent aujourd’hui pour affirmer que Mathieu M. est un psychotique, un pervers et d’une dangerosité majeure. Dans un langage « Rabelaisien » on dirait : « Quand on voit les c……. on dit que c’est un mâle ».
Il a fallu qu’il viole, assassine de 17 coups de couteau et carbonise une jeune fille de 13 ans, Agnès, pour qu’ils en arrivent à cette conclusion. Est-il besoin d’être un expert pour parvenir à une telle évidence ?
Après avoir déjà violé, sous menace d’un couteau, et traumatisé à vie une autre jeune fille, Julie, en son village de Noges-et-Solorgues (Gard) en août 2010, Mathieu est libéré après quatre mois de détention provisoire, en novembre 2010 (sous soi-disant contrôle judiciaire !) car considéré comme « non dangereux » par l’expert psychiatre le Dr Claude Aiguesvives.
Est-ce que ce médecin, est-ce que les juges, est-ce que tous les magistrats qui en avaient la responsabilité, ne se sentent pas complices des atrocités subies par Agnès ?
Passons sur les détails qui ont conduit Mathieu M. à rejoindre l’établissement cévenol de Chambon-sur-Lignon (dissimulation du père, non présentation du dossier de suivi médical, etc.)
Mathieu va probablement être condamné à une très lourde peine mais il est jeune et sortira un jour.
Aura-t-il été soigné afin qu’il ne récidive pas ?
Aura-t-il été castré chimiquement ?
Aura-t-il été « lobotomisé », comme cela se pratiquait à l’époque, avant les années 50 ?
Certainement pas… nous ne sommes pas des sauvages !
Il ne faudrait pas que la fille, ou la petite fille, de l’un de ces experts, juges, magistrats, etc. tous complices de l’assassinat d’Agnès, croise le chemin de cet être malfaisant quand il sera libre de sévir de nouveau car leur analyse sera certainement différente !
Un monstre pareil a-t-il le droit de vivre ? Éternelle question.
Je ne sais pas si la peine de mort est dissuasive mais ce dont je suis certain c’est qu’elle nous débarrasserait de ce monstre à tout jamais.
Mais ne sommes-nous pas des humains civilisés ? Alors laissons-leur le droit de vivre pour qu’ils puissent récidiver.