Plusieurs veilleurs, qui s'étaient fait agresser physiquement lors de la veillée de la veille Coueron et qui ont porté plainte ont reconnu le lendemain à Nantes leurs agresseurs. Ils ont naturellement demandé aux forces de l'ordre de les arrêter.
Réponse : "C'est impossible, sinon il y aurait des émeutes contre le commissariat."