La police politique refuse les comités d'accueil pacifiques qui sont réservés aux parlementaires écologistes, ainsi qu'au Premier ministre :
"En effet, cette triple interdiction, qui fait suite à celle de la manifestation des veilleurs la semaine dernière, pourrait traduire un raidissement inquiétant du pouvoir et constituer une nouvelle atteinte à une de nos libertés publiques fondamentales.
Toutefois, à la seconde lecture et après une étude attentive, cet arrêté ne parait pas remettre pas en cause une autre liberté fondamentale qu’est la libre circulation des personnes. Il semble donc toujours autorisé au Pays des Droits de l’Homme, de stationner debout sur la voie publique, individuellement, pacifiquement, sans slogan ni drapeau…"