BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Plusieurs lieux « symboliques » de Bordeaux ont été choisis la nuit du 5 au 6 novembre par des militants du mouvement « Printemps Français », afin de manifester leur désapprobation contre la théorie du genre.
Des affiches ont donc été apposées sur les murs du planning familial (avenue Thiers), du Syndicat national unitaire des instituteurs professeurs des écoles, devant les IUFM et une annexe de la CUB (photos).
« Nos enfants ne sont pas des cobayes », « Hollande démission », « No Gender », tels sont les messages aperçus sur ces bâtiments.
Le planning familial (proche de la gauche et de l’extrême-gauche) a porté plainte hier matin « pour dégradations et menaces de mort », par l’intermédiaire de sa présidente, Nicole Blet.
Dans un communiqué de presse, le candidat socialiste à la mairie de Bordeaux, Vincent Feltesse, (qui avait donné 20 000 euros sur sa réserve parlementaire au Planning Familial), « apporte naturellement son soutien à l’association ».