Il déclare au Figaro :
"J'ai été le premier à dire qu'il fallait réécrire cette loi pour faire en sorte que les lignes rouges de la PMA et de la GPA ne soient jamais franchies, mais que l'abrogation pure et simple était illusoire."
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Il déclare au Figaro :
"J'ai été le premier à dire qu'il fallait réécrire cette loi pour faire en sorte que les lignes rouges de la PMA et de la GPA ne soient jamais franchies, mais que l'abrogation pure et simple était illusoire."