Vous venez de me donner l’ultime argument qui manquait à ma décision de défiler dimanche prochain.
Je suis ce que vous appelez un « intégriste de l’ultra-droite catholique » qui s’est levé pour défendre une opinion différente « lors des débats sur l’avortement ou sur le mariage homosexuel ». Permettez que je me sente visé par votre intervention du mercredi 22 janvier (1) auprès de votre groupe à l’Assemblée nationale et acceptez le droit de réponse qui suit.
Pour être à même de nous comprendre, il me semble important de partager un sens commun aux mots que nous utilisons.