La tromperie n’est pas neuve. Quinze ministres seront candidats aux élections municipales de mars prochain. Alors que les fonctions de ministre et de maire ne sont pas cumulables et qu’ils n’ont pas l’intention de troquer leur costume ministériel pour l’écharpe de mairie.
Pour réduire la critique, quatorze ministres figurent sur les listes municipales sans en occuper la première place. Seul Frédéric Cuvillier, ministre délégué aux Transports, se permet d’être tête de liste (à Boulogne-sur-Mer) tout en avouant discrètement qu’il n’envisage pas de renoncer à son mandat ministériel.