Blondel est la caricature d’une franc-maçonnerie qui s’est construite en réaction à l’Église catholique et rêve d’en finir avec les racines chrétiennes de la France.
De Marc Blondel, les médias retiennent le syndicaliste, secrétaire général de Force ouvrière de 1989 à 2004. Il serait pourtant intéressant de se pencher sur le dirigeant qui se disait laïque, par ailleurs franc-maçon, et qui prit la direction de la Fédération nationale de la libre pensée (FNLP) à partir de 2007. Chacun sait que cette vieille structure est totalement infiltrée depuis une trentaine d’années par des trotskistes appelés les « lambertistes », du nom du pseudonyme de Pierre Boussel, leur chef historique. Ceux-ci, d’où sont issus Jospin, Cambadélis, Mélenchon, Corbière, Assouline et nombre de caciques socialistes, se sont spécialisés dans les OPA vers les organisations syndicales (notamment FO), la franc-maçonnerie (GODF) et les milieux laïques (FNLP).
Marc Blondel était leur compagnon de route, comme l’a montré Christophe Bourseiller dans son livre « Cet étrange monsieur Blondel ». En toute logique, pour occuper sa retraite, il devint donc président de la Libre pensée à partir de 2007.
Une association dite laïque fort particulière, qui cristallisait l’essentiel de son militantisme contre la redoutable Église catholique, appelée vaticane (moyenne d’âge des prêtres : 71 ans), mais laissait s’implanter l’islam en France.
Ainsi, la Libre pensée qualifiera de raciste et de xénophobe la loi du 15 mars 2004 (votée juste 10 ans avant la mort de Blondel) interdisant les signes religieux à l’école, dont le voile. Autrement dit, le symbole de l’uniforme de l’islam politique dans les écoles de la République, porté par des gamines, ne lui posait aucun problème.
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Blondel, un « laïque » islamophile et catholicophobe
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