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Que les associations s’occupent plutôt des esclaves d’aujourd’hui !

Monsieur Tin, Français de Martinique, mérite le titre de champion toutes catégories dans la discipline très moderne de l’insulte envers sa propre patrie.

Louis-Georges Tin. En fait, j’adore ce gars ! S’il y en avait davantage comme lui, Marine Le Pen n’aurait plus besoin de faire campagne. Comme ses acolytes, monsieur Tin, président du CRAN (Conseil représentatif des associations noires), est une victime. Victime de tout, victime tout court. Lui, si la victimisation se mesurait, il serait à Sèvres. Sans même s’en douter, il gonfle les urnes de bulletins de vote Front national chaque fois qu’il ouvre la bouche.

Samedi, alors que nous célébrions l’abolition de l’esclavage, il a avoué « négocier » des contreparties financières avec des familles françaises de Bordeaux, au prétexte que leurs ancêtres auraient contribué à la traite négrière. Madame Le Pen devrait penser à lui organiser un grand meeting. Car monsieur Tin, Français de Martinique, mérite le titre de champion toutes catégories dans la discipline très moderne de l’insulte envers sa propre patrie.

Lui, et ceux qui bêlent à ses côtés, semblent avoir oublié que :

 -  Si le Danemark a été le premier pays à abolir totalement l’esclavage dès 1792, la France affranchissait par décret royal tous les esclaves qui posaient le pied sur son sol dès 1315, avant de voter une première loi d’abolition en 1794 ;

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