Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ni Peillon, ni Najat : Liberté éducative pour les parents !

La nomination de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de la prétendue Education nationale – qui n’est plus ni éducative, ni nationale ! – est une nouvelle et insupportable provocation pour les familles qui luttent depuis des mois contre la propagande en faveur de l'idéologie du genre à l’école.

Nous entendons, depuis cette nomination, bien des voix appelant le Président de la République et le Premier ministre à revenir sur cette nomination.

Il est vrai que Najat Vallaud-Belkacem est la parfaite incarnation de cette propagande scandaleuse (et d’ailleurs hypocrite, puisqu’après avoir vanté en août 2011 cette idéologie du genre dans le quotidien « 20 minutes », Mme Vallaud-Belkacem a eu l’incroyable culot de prétendre deux ans plus tard que l'idéologie du genre… n’existait pas !). Elle a, en particulier, activement promu les « ABCD de l’égalité », auxquels son prédécesseur avait heureusement renoncé devant la levée de boucliers des parents.

Malheureusement, s’il est parfaitement vrai que l’idéologue Najat Vallaud-Belkacem ne peut, en aucune façon, diriger le système scolaire français, il n’est pas vrai que sa démission suffirait à assainir ce dernier et à le mettre au service des élèves et non au service de la propagande socialiste.

C’est le monopole éducatif lui-même qui est profondément néfaste. D’une part, parce qu’il viole la liberté éducative des parents. Et, d’autre part, parce qu’il est un gouffre sans fond dans lequel l’Etat socialiste engloutit chaque année des dizaines de milliards pour des résultats toujours plus catastrophiques.

Il n’existe qu’une seule solution pour casser ce monopole archaïque et donc protéger des enfants innocents du matraquage politico-idéologique de Mme Vallaud-Belkacem et de ses amis : rendre aux parents la liberté financière de choisir l’établissement scolaire qui correspond le mieux aux besoins et aux désirs de leurs enfants.

C’est pourquoi nous exigeons, non pas seulement la révocation de Najat Vallaud-Belkacem, mais bel et bien le chèque scolaire, solution de justice, d’efficacité, d’économie et de liberté. Et, comme nous doutons fort de la volonté réformatrice de M. Hollande en cette matière éducative, nous demandons à tout le moins aux partis d’opposition de défendre cette réforme vitale pour sortir la France du totalitarisme prétendument progressiste.

Signer la pétition.

T

Le Salon Beige

Les commentaires sont fermés.