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  • Les « chances pour la France » se sont encore bien amusées le 31 décembre

    Le ministère de l’Intérieur est fier de vous annoncer les chiffres de la nuit dernière :

    940 voitures ont été incendiées sur le territoire français contre 1067 l’an dernier, ce qui représente une baisse de 12 %.

    Par ailleurs, 308 interpellations ont eu lieu contre 322 l’an dernier pour 251 gardes à vue contre 221 l’an passé.

    « Il n’y a pas eu d’incident majeur (sic), note Pierre-Henry Brandet, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, interrogé sur BFMTV. Il y a des foyers éparpillés. Les incendies ont notamment eu lieu dans l’Est, le Bas-Rhin. En région parisienne, la Seine-Saint-Denis a été particulièrement touchée ».

    La baisse de 12% est probablement le résultat de la politique intransigeante et efficace que mène l’État contre les colons extra-européens.

    http://www.contre-info.com/

  • Avis de tempête aux frontières de l'Europe

    En ce début d'année, chacun adresse ses vœux et c'est bien sincèrement que votre chroniqueur formule les siens aux amis. Pensons aussi aux gens qui nous semblent des ennemis et qui nous considèrent pour tels, car ils pataugent dans les erreurs dominantes de notre époque. Exprimons l'espoir qu'ils retrouvent la voie du bon sens.

    Comment ne pas penser cependant que les choses ne pourront plus, en l'état, attendre 107 ans. Le monde se transforme et se construit à grande vitesse alors que la France sous le règne de la médiocrité hollandienne se détruit elle-même encore plus rapidement. Il paraît qu'au 31 décembre le petit bonhomme de l'Élysée s'est produit sur les ondes de la subvention. Qui donc prête encore attention à sa parole dévaluée ?

    Les vents les plus violents ont soufflé ces derniers jours sur la Méditerranée. Après les drames qui se sont déroulés dans l'Adriatique en décembre, en ce premier janvier c'est le Borée des Anciens, fils de l'Aurore, un vent du nord de force 9, qui balayait à l'aube la mer Égée et contraignait de garder liés et attelés les bateaux dans les ports.

    Or, le proverbe nous le rappelle : "à navire brisé tous les vents sont contraires." Car ces épisodes nous ont rappelé la fragilité de nos défenses. Le scénario du "Camp des saints", ce livre prémonitoire de Jean Raspail, publié en 1973 reprend son questionnement si clairement reformulé, – une fois n'est pas coutume, – par Rocard : "avons-nous vocation à accueillir toute la misère du monde ?" La réponse découle de l'interrogation elle-même. C'est non. Il faudra oser le dire aussi à tous ceux qui croient, dans ce genre de matières, à l'infaillibilité pontificale.

    Mais il convient aussi de le répéter à cette pseudo-droite allemande. Nous la reconnaissons ordinairement moins lamentable que son homologue hexagonale. Ce n'est pas difficile. Mais, aujourd'hui, par la voie de la chancelière, sous prétexte de "combattre la haine" et d'assurer l'avenir des caisses de retraites, elle prétend désormais stigmatiser les adversaires de l'islamisation de l'Europe.

    Quand des milliers d'Allemands se rassemblent, depuis des semaines, sans aucune référence inappropriée, sous le mot d'ordre et l'étiquette des "patriotes européens en lutte contre l'islamisation de l'occident", il leur est opposé le sophisme révélateur selon lequel la main-d’œuvre immigrée sera indispensable à nos économies.

    Autant dire combien le conformisme répond ici à côté de la question : d'une part, les immigrés non-musulmans apprécieront ; et d'autre part aussi on retiendra l'absence d'arguments.

    Mme Merkel, quand elle avait répudié en paroles le modèle "multikulti" (1)⇓ , nous aura fait illusion quelques années. La voici qui rejoint nos misérables chiraquiens. Triste perspective pour une Europe dont elle occupe la place centrale et où, très nettement, l'islamisme dans sa version terroriste et totalitaire se définit lui-même comme le premier ennemi.

    Il est vrai aussi que l'Europe se voit confrontée à d'autres défis. Les budgets de défense sont rognés implacablement dans nos 28 pays, alors même que les besoins militaires augmentent à la mesure des dangers. On refuse de sacrifier à l'esprit de défense, sous le poids d'un socialisme de consommation, qui prétend évacuer les fonctions régaliennes des États au profit des pillages et gaspillages de la démagogie et du misérabilisme.

    On ne voit plus très bien ce qui distingue une certaine droite du socialisme, avec laquelle elle gouverne.

    Que vienne le temps de la clarté, voilà donc le vœu que l'on doit formuler en ce début d'année.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1 - cf. L'Insolent du 21 octobre 2010 "Merkel la bien pensance et le mythe multiculturel".

    http://www.insolent.fr/

  • L'auto-censure

    Qu’y a-t-il de plus antivitaliste que de se brimer, se mortifier, de son propre chef? Ce comportement est, il faut l’admettre, typique de nos milieux où beaucoup semblent craindre leurs propres ombres.

    Combien d’actions utiles, et pourtant non-violentes, non menées par crainte des persécutions judiciaires? Combien de camarades mis sur le bord du chemin en raison d’un passé trop sulfureux?

    Le nombre de personnes n’osant affirmer leurs visions du monde de manière directe et frontale reste encore aujourd’hui, à l’heure où les langues semblent quelque peu se délier, extrêmement important. On peut s’extasier ou bien encore se morfondre quand on voit les trésors de précautions déployés face aux possibles «écoutes» et autres «filatures»… Bien loin d’imaginer que ces faits n’existent pas, ne faudrait-il pas cesser, par moment, de se comporter en adolescent rêveur et observer le monde avec objectivité?

    Exemple simplet, mais néanmoins révélateur de l’état psychologique de nos contemporains: récemment j’ai rencontré un groupe de touristes fumeurs qui s’interdisaient de s’adonner à leur manie… en terrasse ouverte! Ils étaient intimement persuadés de ne pas en avoir le droit et de risquer une amende! Quand le fantasme et l’imaginaire dépasse le réel. Cas typique d’autocensure et d’exagération à outrance…

    Un peu comme ceux que nous connaissons nécessairement dans nos entourages. Ceux qui, surement à juste titre, se pensent comme ennemis du système, mais qui par un jeu subtil d’auto-persuasion renoncent à toute forme de militantisme de crainte d’être «démasqués» et «fichés»… Un peu comme si cela allait compromettre je ne sais quel réseau clandestin...

    Bien sûr, la subversion est une arme, mais ne faudrait-il pas concevoir cette dernière comme le fait d’être là où on ne nous attend pas plutôt que de se penser comme un «infiltré» distillant ses «opinions» (terme faisant songer au verbe moutonesque «opiner») dans un environnement hostile?

    Justement, l’environnement qui nous entoure ne semble pas être si hostile… Les résultats électoraux en sont un des témoignages. Et bien que les libertés individuelles aient terriblement reculés ces dernières décennies, force est d’admettre que nous vivons encore dans un Etat de droit, du moins dans les formes.

    Et non, désolé… Ce n’est pas parce que tu as collé deux autocs sur les murs de ta fac que tu es sous écoutes administratives.

    Nous accordons une aura bien trop grande au système que nous combattons. Soyons-nous mêmes et comportons-nous sans peur inopportune. Sachons débusquer nos fantasmes et nos craintes, exorcisons-les et agissons. Souviens-toi de toujours oser.

    Jacques Thomas pour le C.N.C.

    Note du C.N.C.: Toute reproduc

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Emeutes urbaines : silence médiatique

    VPuisqu'on ne peut pas compter sur le ministère de l'intérieur, il faut se reporter sur la réinfosphère, en l'occurrence chez FDesouche, pour avoir quelques informations compilées sur les évènements de la nuit dernière. Avant midi, les informations remontaient plus de 200 véhicules incendiés, un mort à Paris, quelques policiers blessés. Il y a bien eu des interpellations tout au long de la nuit mais il apparaît difficile d'en faire un bilan.

    Nous avons connu la presse plus prolixe lors de certaines manifestations.

    Michel Janva

  • L'euro c'est l'appauvrissement

    Hier soir, François Hollande a encore soutenu l'euro, mais sans trop y croire réellement. Fini les grands discours sur le thème "l'euro c'est la croissance, l'euro c'est la prospérité"... :

    "Avec l’Europe, ce n’est pas en cassant ce qui existe ou en prétendant sortir de la zone euro que nous convaincrons, c’est en redressant notre propre compétitivité, c’est en mobilisant tous les leviers économiques pour nous écarter de la stagnation en Europe et c’est en donnant une assise démocratique à la zone euro."

    Il faut souligner que le bilan est médiocre :

    "L'euro a creusé ses pertes mercredi et achevait sa pire année depuis 2005 face à un dollar en pleine forme qui bénéficiait d'un contexte de confiance sur l'économie américaine, dans un marché aux échanges très limités avant le Nouvel An. Vers 22h00 GMT (23H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,2097 dollar, contre 1,2154 dollar mardi vers 22H00 GMT, évoluant à son plus bas niveau depuis juillet 2012. Depuis le 1er janvier 2014, l'euro s'est déprécié d'environ 12% face à la monnaie américaine, enregistrant sa pire année face au dollar depuis 2005, lorsqu'il avait perdu 12,6%. L'indice dollar, ou "Dollar Index", termine lui l'année face à un panier de 10 grandes devises sur une hausse de 11%."

    Bienvenue à la Lituanie dans la zone zéro... Selon un sondage réalisé il y a 15 jours par le parti UEDémocrates, 26% des Lituaniens sont favorables à l’euro ; 49% sont opposés à ce que leur pays adopte la monnaie unique. Mais ils n'ont pas le choix.

    Michel Janva

  • Ces découvertes qui détraquent la chronologie de l'Histoire

    Lascaux.jpgDès que l’on commence à prêter attention à ce que Michael A. Cremo et Richard L. Thompson appellent à juste titre « l’archéologie interdite [1] » - des découvertes qui ne cadrent pas avec la théorie officielle et sont par conséquent ignorées, écartées par une explication convaincante ou rejetées sous prétexte de falsification -, une image entièrement nouvelle et inattendue de l’ancien monde commence à émerger.

    Ces découvertes attendent encore une explication rationnelle. Si nous la possédions, l’histoire de l’homme apparaîtrait sous un jour différent. Que soit admis le bien-fondé des faits que nous allons exposer et il faudrait conclure que la naissance de la civilisation remonte à des temps beaucoup plus reculés qu’il n’est généralement estimé.

    Des découvertes stupéfiantes

    Près de Pékin, dans une grotte de Zhoukoudian, les fouilles entreprises par le docteur F. Weidenreich en 1933, mirent au jour un certain nombre de crânes et de squelettes humains. L’un des crânes appartenait à un vieil Européen, un autre à une jeune femme au crane allongé, de race typiquement mélanésienne, un troisième crâne fut identifié comme appartenant aussi à une jeune femme mais aux traits esquimaux caractéristiques. Un homme européen, une fille des tropiques, une autre fille du cercle polaire découverts ensemble au fin fond d'une grotte chinoise ! Comment, il y a environ 30 000 ans, ces spécimens humains, si éloignés les uns des autres, arrivèrent-ils en Chine ? Cet épisode, surgi de la préhistoire, reste un profond mystère. [2] [3]

    sungir tombeL’homme de la dernière période glaciaire possédait-il assez de facilités techniques pour redresser les énormes défenses incurvées du mammouth ? Jusqu’au jour où le docteur Otto Bader découvrit, en Russie, dans le tombeau de Sungir, des harpons tirés des défenses du puissant animal, aucun savant n’estimait que l’homme préhistorique ait pu avoir l’habileté de transformer une défense d’ivoire coudée en un certain nombre de harpons rectilignes. [4]

    L’équipe de Bader découvrit, sur le même site, une aiguille en os - dont nos actuelles aiguilles d’acier sont l’exacte réplique - et des milliers de perles d’ivoire [5]. De même que les harpons, les trouvailles remontaient à 28 000 ans. L’existence tout à fait inattendue d’objets fabriqués par l’homme à une époque aussi reculée entraîna la révision des concepts établis sur la technologie de l’ère glaciaire.

    Les fameux crânes de Jéricho, bourrés d’argile et de coquillages, sont d’un type nettement égyptien. Leur antiquité a été estimée à 6 500 ans avant J.-C. — à peu près 1 500 ans avant les premières manifestations de la civilisation nilotique. Cette découverte soulève maintes questions. Les têtes momifiées démontrent-elles déjà chez l’homme un désir d’immortalité ? S’il en était ainsi, nous aurions une preuve de l’existence d’une religion en un temps fort lointain. Mais la pensée métaphysique ne naît pas spontanément, elle est soumise à une lente évolution. A quelle source le peuple de Jéricho avait-il puisé ?

    34c185f00180b2fc916342bfb7f67cf4e1b137cbLe professeur Luther S. Cressman, de l’université d’Oregon, trouva dans l’Est du Nevada, à Fort Rock Cave, deux cents paires de sandales de corde, aussi habilement tressées par leur fabricant que les sandales de plage portées à Saint-Tropez. Un test au carbone 14 révéla qu’elles avaient plus de 9 000 ans, et elles sont, cependant, récentes si on les compare à l’empreinte d’une chaussure découverte dans une roche du Fisher Canyon, dans le comté Pershing, également au Nevada.

    Sur ce document, l’impression de la semelle est si nette que les traces du fil fort avec lequel elle était cousue sont visibles. Pourtant, l’empreinte remonterait au-delà de cinq millions d’années ! D’après l’opinion courante, l’homme primitif serait apparu il y a quelque deux millions d’années, mais il ne porte des chaussures que depuis 25 000 ans ! De qui vient alors cette empreinte ? [6]

    Les peintures rupestres de Brandberg, dans le Sud-Ouest africain, représentent ensemble des Noirs de la brousse et des femmes blanches, dont le type européen est encore accentué par la peinture claire qui couvre leur épiderme et celle des chevelures rouges ou jaunes. Les femmes portent des bijoux, une coiffure raffinée, ornée de coquillages et de pierres. Les gracieuses amazones sont munies d’arcs et d’outres suspendues sur leur poitrine.

    Quelques archéologues pensent que ces jeunes femmes étaient d’intrépides exploratrices venues de Crète ou d’Egypte il y aurait 3 500 ans. Elles ressemblent toutefois, et le fait vaut d’être souligné, aux Capsiennes qui vivaient il y a 12 000 ans au nord de l’Afrique. Elles ont de même le torse dégagé, les arcs, la coiffure et les bandes molletières croisées sur les jambes.

    104-White Lady Of Brandberg1 La Dame blanche de Brandberg, étudiée par l’abbé Henri Breuil, est un véritable chef-d’œuvre. Par son costume et la fleur qu’elle tient à la main, elle rappelle la fille combattant le taureau trouvée en Crète.

    A l’ouest d’Alice Springs, sur un escarpement rocheux, au cœur de l’Australie, Michael Terry découvrit, en 1962, une gravure sur pierre représentant le Nototherium mitchelli, animal du type Diprotodon dont l’espèce est éteinte depuis 40 000 ans. Sur le même lieu, le chercheur trouva six roches gravées ressemblant à des têtes de bélier qui lui rappelèrent les représentations assyriennes et égyptienes. Un personnage de grande taille - deux mètres environ - se trouve au milieu de ces figures énigmatiques.

    Coiffé d’une mitre semblable à celles que portaient les pharaons, les jambes et les cuisses musclées, l’homme est totalement différent des formes humaines, maigres et sèches, couramment dessinées par les aborigènes australiens. Assez bizarrement, l’homme est représenté horizontalement quoique en position de marche. 

    Nous sommes ici encore en face d’un mystère. Sculptures d’un Diprotodon disparu, d’un bélier, inconnu dans la grande île avant l’arrivée des Anglais, et d’un homme non indigène, portant une tiare égyptienne ou babylonienne. Les traces d’érosion de la roche sur laquelle apparaissent ces représentations permettent de leur attribuer une très haute antiquité. Des hommes du proche Orient ou d’Asie parvinrent-ils en Australie centrale à une époque reculée et, dans l’affirmative, par quels moyens ? Il semble que nos conceptions des possibilités de longs voyages qu’avaient nos lointains ancêtres doivent être révisées. [7] [8]

    Etant admis que l’homme est le produit relativement récent d’une évolution qui se serait étendue seulement sur deux millions d’années, sa coexistence avec les monstres préhistoriques, beaucoup plus anciens, est considérée comme une impossibilité par la science.

    Cependant, en Amérique du Sud, le professeur français Denis Saurat a identifié des têtes d’animaux sur le calendrier de Tiahuanaco comme étant celles de toxodons, qui vivaient à la période tertiaire, il y a plusieurs millions d’années. [9]

    image846D’après l’écrivain et archéologue américain A. Hyatt Verrill, sur un certain type de céramique, au Panama, apparaît un spécimen de lézard ailé presque identique au ptérodactyle qui existait bien avant l’homme. [10]

    En 1924, l’expédition scientifique Doheny découvrit, au nord de l’Arizona, dans le Hava Supai Canyon, une roche gravée où l’animal représenté s’apparente étrangement au tyrannosaure, debout sur ses pattes de derrière. [11]

    Ces faits, apparemment impossibles, menacent les structures de l’anthropologie. Il ne nous reste que trois hypothèses valables pour expliquer le phénomène.

    La première est que l'on pourrait très bien avoir affaire à des images déformées par des artistes anonymes et mettre sur le dos du hasard les ressemblances qui nous ont frappé.

    La seconde est basée sur la survivance (d’après les dates fixées par les paléontologistes traditionnels) de quelques animaux antédiluviens. Il suffit de se rappeler le tollé général suscité par la capture d’un cœlacanthe vivant, en 1938, alors qu’on croyait ce grand poisson osseux disparu de la surface de la Terre depuis plus de 500 millions d’années, du Vampyroteuthis Infernalis et du Mollusque de Panama dont on avait daté la mort 170 à 300 millions d’années avant notre ère.

    La troisième hypothèse est la plus sensationnelle puisqu’il s’agit de croire à l’existence dans des temps immémoriaux de créatures douées d’intelligence et extrêmement évoluées.

    Les embaumeurs de la Connaissance nient cette hypothèse avec acharnement. Mais nous, comment pourrions-nous fermer les yeux lorsqu’on nous montre des outils en bois retrouvés dans des strates géologiques vieilles de 300 millions d'années ( lire l'article 1786 : le mystère des outils pétrifiés d’Aix-en-Provence).

    Deux énigmes mésoaméricaines

    Ce fut au cours des années 50 qu’une étrange découverte eut lieu dans le Costa Rica. Des centaines de sphères en pierre, absolument rondes, tirées de roches volcaniques, se trouvaient dispersées dans la jungle. Leur dimension varie entre 2,50 m et quelques centimètres. Parmi les plus grosses, certaines pèsent jusqu’à seize tonnes. Des globes identiques sont également repérés au Guatemala et au Mexique, mais il ne s’en trouve nulle part ailleurs dans le monde. Ces énormes sphères ont soulevé maintes questions. Quelle ancienne race a pu si parfaitement les tailler et les polir ?

    spheres costa ricaLes difficultés techniques de fabrication, de transport et de mise en place durent être considérables. A moins qu’elles ne soient une formation naturelle, comme le pensent certains savants, dans quel but ces boules de pierre furent-elles confectionnées ?

    Plusieurs d’entre elles reposent sur une plate-forme rocheuse, ce qui indiquerait qu’elles y furent établies à dessein. Beaucoup sont placées en groupes, en alignements rectilignes ou orientées au nord. Il semble qu’un plan géométrique ait été suivi car certains groupements sont triangulaires, d’autres circulaires ou carrés. On a voulu attribuer une signification astronomique à ces vertiges mégalithiques.

    olmeque-teteLes têtes de pierre géantes des Olmèques, trouvées à La Venta, Très Zapotes et autres sites mexicains, peuvent être classées parmi les réalisations humaines d’un type similaire. Ces sculptures colossales, taillées dans le noir basalte, ont 1,50 m à 3 mètres de haut et leur poids varie entre 5 et 40 tonnes. Elles sont dressées sur un socle rocheux comme certaines des sphères décrites plus haut.

    Les carrières de basalte les plus proches sont éloignées de 50 à 100 kilomètres ! Comment les indigènes, dépourvus de véhicules et d’animaux de trait, ont-ils pu amener ces blocs de pierre à travers la jungle et les marécages jusqu’au point où nous les voyons se dresser ?

    Témoignages d'aventures cosmiques

    Crâne-de-Broken-HillSi nous abandonnons l’examen de ces sculptures énigmatiques pour l’étude de véritables restes humains ou animaux, nous rencontrons d’autres mystères.

    Un crâne humain est exposé au rez-de-chaussée du Musée d’histoire naturelle, à Londres. Il provient d’une caverne de Rhodésie du Nord (Broken Hill, Zambie) et il est percé, du côté gauche, d’un trou parfaitement rond qu’aucune fêlure radiaire n’accompagne, - indice généralement présent si la blessure provient d’une arme blanche. Le côté droit du crâne est fracassé.

    Les soldats tués d’une balle dans la tête offrent une apparence identique. Le crâne est celui d’un homme qui vivait il y a plus de 40 000 ans, à une époque où, comme bien l’on pense, il n’existait aucune arme à feu.

    Le Musée paléontologique de Moscou, conserve un crâne d’aurochs qui remonte à des centaines de milliers d’années. Un trou rond, très net, est visible sur son front et un examen scientifique a prouvé que, malgré ce coup qui perçait l’os, le cerveau ne fut pas touché et que la bête guérit de sa blessure. [12]

    On supposait que, dans ces temps reculés, l’anthropoïde n’était armé que d’une massue, mais le trou parfaitement cylindrique - ici encore, sans fêlure radiaire, ressemble beaucoup à celui qu’aurait fait le projectile d’une arme à feu. Une question se pose : qui a tiré sur l’aurochs ?...

    Les vestiges d'un passé immémorial

    Une météorite, d’une forme inusitée, trouvée près de Eaton, au Colorado, offre une énigme. Son analyse par un spécialiste américain, H. H. Nininger, révèle qu’elle est composée d’un alliage de cuivre, de plomb et de zinc -  autrement dit, la météorite est en bronze, métal qui n’existe pas dans la nature. [13]

    Eaton-Colorado-meteoriteAu XVIe siècle, les conquistadores trouvèrent un clou de fer de 18 centimètres solidement encastré dans le roc d’une mine péruvienne. Comme le fer était inconnu des Indiens d’Amérique avant la conquête espagnole, les découvreurs firent, à juste titre, grand cas de leur trouvaille. [14]

    bloc-de-Norristown-PennsylvanieEn novembre 1829, un bloc de marbre découvert à 24 m de profondeur dans une carrière près de Philadelphie, fut découpé en plaques. On trouva ainsi, en plein roc, une empreinte creuse de 4 cm sur 2, ressemblant aux lettres I U, mais dont les coins de l’U étaient à angles droits. [15]

    De telles trouvailles inexpliquées sont moins rares que l'on pourrait le croire.

    Citons les galets aziliens (10 000-8 000 av. J.C.), trouvés dans une caverne de l’Ariège, au Mas-d’Azil, sur lesquels étaient peints d'anciens caractères en noir et rouge. Sur d’autres pierres trouvées au même endroit figuraient des signes plus complexes, ressemblant parfois à des capitales de l’alphabet romain... [16]

    mas-dazil

    D’après le London Times du 24 décembre 1851, un certain M. Hiram de Witt avait découvert, en Californie, un morceau de quartz aurifère. L’ayant laissé tomber accidentellement, la pierre se rompit et un clou de fer, muni d’une tête, fut trouvé à l’intérieur du quartz. [17]

    Vers la même époque, Sir David Brewster fit un rapport à sensation devant l’Association anglaise pour le progrès de la science. Un bloc de pierre provenant des carrières Kingoodie, au nord des îles Britanniques, contenait un clou de fer dont la pointe à l’air libre était corrodée mais dont la tige et la tête, mesurant au moins 13 mm se trouvaient incrustées dans la roche. La grande ancienneté des couches géologiques dans lesquelles ce clou fut découvert ne permet pas d’identifier les artisans qui les fabriquèrent. [18]

    Chillicothe-Illinois-coin-1871Au cours du mois de juillet 1871, Jacob Moffit, de Chillicothe, Illinois, envoya aux autorités scientifiques la photographie d’une pièce de monnaie déterrée par lui d’une profondeur de 36 m, ce qui laissait supposer une certaine ancienneté. La pièce était d’une épaisseur uniforme et semblait davantage provenir d’un atelier que d’un martelage primitif. [19]

    Les inscriptions de la pièce se situaient "entre l'arabe et le phénicien, sans être ni de l'un ni de l’autre’’. Le Pr Winchell, qui l’a examiné, a déclaré que ces motifs rudimentaires (forme d’un animal ou d'un guerrier) n’avaient été ni frappés ni gravés, mais décapés comme par un acide. [20]

    Le cas n’est pas unique, d’autres inscriptions antiques ont été découvertes aux États-Unis.

    Grave Creek StoneEn 1838, A.B. Tomlinson, propriétaire du grand tumulus de Grave Creek, Virginie occidentale, y fit creuser des excavations. Il exhuma ainsi, en présence de plusieurs témoins, une petite pierre plate et ovale, un disque recouvert de caractères gravés [21]. Un expert, le colonel Whittelsey, déclara que la pierre était une fraude [22], mais les savants du Congrès Archéologique de Nancy, en 1875, la déclarèrent authentique [23].

    Dans une communication à la Société Ethnologique Américaine, le Dr John Evans a relaté l’exhumation, en 1859, par un laboureur près de Pemberton, New Jersey, d’une hache (ou d’un levier) portant des inscriptions ressemblant beaucoup à celles du disque de Grave Creek. [24]

    En 1885, à la fonderie d’Isidore Braun de Vöcklabruck, en Autriche, un petit cube d’acier (67 mm X 47 mm) fut trouvé dans les débris d’un bloc de charbon. Une profonde incision entoure l’objet dont les arêtes furent arrondies sur deux côtés.

    Wolfsegg IronLe fils de Braun porta la trouvaille au musée de Linz. Des revues francaises comme Cosmos ( t. IV, 1886, p. 307) ou L’Astronomie (Vol. 5, 1887, p. 463) consacrèrent des articles à cette étrange découverte. Quelques savants s’efforcèrent de démontrer que l’objet était une météorite du tertiaire. D’autres proclamèrent son origine artificielle en se fondant sur l’observation de la rainure qui entoure le cube, sa forme parfaite et ses bords arrondis. Le débat est resté ouvert et l'objet est aujourd'hui conservée au Musée Heimathaus, à Vöcklabrück.

    Ces incertitudes ne peuvent s’éclairer sans une révision de nos concepts sur la préhistoire. Les faits rassemblés ici indiquent l’existence d’une technologie en des temps que nous avons estimés être l’aube de l’humanité. Deux théories peuvent expliquer l’existence des objets fabriqués décrits dans cet article. On pourrait avancer qu’une sorte de civilisation technologique existait dans un passé immémorial ou bien que la Terre fut visitée par des êtres venus d’autres mondes.

    La signification profonde de bien des pièces de musée peut avoir mis notre compréhension en échec. Certaines énigmes conservées dans le marbre, la pierre, le bois ou le bronze renferment, sans doute, un important message.

    Notes :

    • [1] Titre de leur ouvrage exceptionnel, Forbidden Archeology, the Hidden History of the Human Race, publié par le Bhaktivedanta Institute, San Diego, 1993. Version française : « L'histoire secrète de l'espèce humaine », Editions du Rocher, 2002.
    • [2] « Hommes fossiles de Chou-kou-tien et Indiens ďAmérique », Journal de la Société des Américanistes, 1940, Volume  32, p. 298.
    • [3] « Man, Time, and Fossils », Ruth Moore, 1953 , pp. 274-75.
    • [4] Sungir: An Upper Palaeolithic Site  (Posdnepaleolitischeskoje posselenije Sungir), N.O. Bader, Moscow, 1978.
    • [5] Quand d'autres hommes peuplaient la terre, J-J. Hublin, chap. 11. A lire également « L'art paléolithique d'Europe orientale et de Sibérie » de Zoi︠a︡ Aleksandrovna Abramova, p. 178.
    • [6] Voir l'artcle « Des empreintes de chaussures vieilles de plusieurs millions d'années »
    • [7] Australia's greatest rock art, Grahame Walsh, 1988, p. 68-69 et plus récemment The A to Z of the Discovery and Exploration of Australia, Alan Day, 2009, p. 66.
    • [8] The Sydney Morning Herald - 22 déc. 1974, p. 31.
    • [9] L’Atlantide et le règne des géants, D. Saurat, J’ai Lu, 1968.
    • [10] Old Civilizations of the New World, A. H. Verrill, New Home Library, New York, 1943.
    • [11] Discoveries Relating to Prehistoric Man by the Doheny Scientific Expedition in the Hava Supai Canyon, Northern Arizona, E. L. Doheny Oakland Museum, 1924, p. 10.
    • [12] Technology of the Gods, D. H. Childress, 2000, p. 83.
    • [13] « The Eaton, Colorado, meteorite » H. H. Nininger, Popular Astronomy, Vol. 51, p. 275-80.
    • [14]  Ce mystérieux clou est mentionné pour la première fois en 1572 dans la « Carta del virrey Don Francisco de Toledo a Su Magestad (...), 9 de Octubre de 1572 », Archivo de Madrid.Antonio de la Calancha revient longuement sur cette affaire, dans sa « Crónica moralizada de la Orden de San Agustín en el Perú... », p. 339 : "Entre la ciudad de los Reyes i la de Guánuco ay unas minas de plata, que llaman de Caxatanbo (...), se allá un clavo de hierrode la mesma manera (...), el qual estava tan en medio la dureza de la piedra, que para sacarlo fue forçoso que saliese a una piedra abraçado con la punta que estava buelta, como si se uviera clavado en un madero, i la uvieran redoblado para más firmeza, era de un gome de largo poco más o menos, esto fue en tienpo que governava este Reyno don Francisco de Toledo, el qual deseó ver este clavo, como cosa tan digna de consideración, i no lo pudo aver, porque luego que lo sacaron lo uvo fray Luis Próspero, Provincial de la Orden de san Augustín, que entonces era estando de partida para España, donde lo llevó, (...) ».
    • [15] American Journal of Science, V. 19, 1831, p. 361.
    • [16]« Les galets coloriés du Mas d'Azil »,  Édouard Piette, Études d'ethnographie préhistorique. Lire aussi « Les galets peints du Mas-d'Azil » A. B. Cook, L'Anthropologie, t. 14 de 1906 et les « Mémoires » de Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers, 1898, p. 298.
    • [17] « A nut for geologists » London Times, December 24, 1851, p. 5 c. 6 -  Le livre des damnés, Charles Fort, éd. E. Losfeld, 1967, p. 57.
    • [18] « Queries and Statements concerning a Nail found imbedded in a Block of Sandstone obtained from Kingoodie (Mylnfield) Quarry, North Britain » in Report of the Annual Meeting, 1845, p. 51.  
    • [19] « A coin from Illinois », in American Journal of Numismatics, Vol. VI, 1870, pp. 89-92.
    • [20] Sparks from a geologist's hammerAlexander Winchell, 1887, pp. 170-71.
    • [21] « Observations respecting the Grave Creek Mound », in Transactions of the American Ethnological Society, 1845,  pp. 368-420.
    • [22] Archæological Frauds - Inscriptions Attributed to the Mound Builders, Charles Whittlesey, 1872.
    • [23] Congrès Archéologique de Nancy 1875 - Compte-rendue de la première session,Maisonneuve et cie, 1875, pp. 215-29.
    • [24] Prehistoric Man, Sir Daniel Wilson, Vol II,1862, pp. 185-86.

    Bibliographie :

    • We are not the first, Andrew P. Tomas, G.P. Putnam's, 1971.
    • Ancient Man: A Handbook of Puzzling Artifacts, William R. Corliss, 1978.
    • Forbidden Archeology, the Hidden History of the Human Race, Michael A. Cremo, Richard L. Thompson, 1993.
    • Le livre des damnés, Charles Fort, éd. E. Losfeld, 1967.
    • Les annales du mystère, Jean-Paul Ronecker, 2003.
    • Archéologie Spatiale, Peter Kolosimo, Albin Michel, 1971.
    • Discovering the Mysteries of Ancient America, Zecharia Sitchin, 2005.
    • Technology of the Gods, D. H. Childress, 2000.

    Tables des illustrations :

    • 1) Entrée de la grotte de Lascaux en 1940, avec Henri Breuil à droite.
    • 2) Tombe de Sungir
    • 3) Sandales de Fort Rock Cave
    • 4) La Dame blanche de Brandberg
    • 5) Le « dinosaure » de Hava Supai Canyon
    • 6) Sphères de pierre au Costa Rica
    • 7) Tête olmèque négroïde
    • 8) Le crâne de Broken Hill
    • 9) La météorite de Eaton
    • 10) Croquis des lettres du bloc de Philadelphie
    • 11) Les galets coloriés du Mas-d'Azil
    • 12) Croquis de la pièce découverte par Jacob Moffit
    • 13) Grave Creek Stone
    • 14) Le cube de Vöcklabruc

    http://www.inmysteriam.fr/oopart/ces-decouvertes-qui-detraquent-la-chronologie-de-lhistoire.html

  • Chouanneries

  • Scrutin proportionnel ou majoritaire : le casse-tête anti-FN

    Proportionnel ou majoritaire ? A l’Elysée, les commandes d’aspirine vont bon train, tant on réfléchit encore et toujours à comment freiner l’irrésistible ascension du Front National. Et l’exécutif socialiste semble bien être cette fois-ci devant un problème insolvable.

    Maintenir le scrutin majoritaire, c’est prendre le risque de voir la gauche disparaître quasi complètement de l’Assemblée Nationale avec peut-être moins de 10% des sièges, laissant l’UMP et le FN se partager le reste dans une répartition difficilement prévisible. Mettre la proportionnelle, c’est prendre l’assurance de voir débarquer plus d’une centaine de députés FN, un chiffre qui tournerait sans doute autour de 150, et de retirer à l’UMPS une alternance bien confortable et sans majorité absolue.

    Il existe un autre risque pour la classe politique UMPS, risque que sans doute ils ne veulent pas voir : en cas de victoire de Marine Le Pen dès 2017, le scrutin majoritaire peut donner une majorité absolue au Front National, comme ce fut quasiment tout le temps le cas avec ce mode de scrutin.

    Quoiqu’il advienne, aucun mode de scrutin n’arrêtera aujourd’hui le Front National. Il n’y a pas de solution au « problème » de Hollande.

    http://www.medias-presse.info/scrutin-proportionnel-ou-majoritaire-le-casse-tete-anti-fn/21656

  • L'Etat rémunère encore 14 personnes au service de l'ancien président Valery Giscard d'Estaing

    C'est Noël tous les jours chez Valéry Giscard d'Estaing. Selon Le Canard enchaîné, l'ancien président de la République, qui a tout de même quitté l'Elysée depuis... 1981, bénéficie toujours de 14 personnes payées à l'Etat. Et il ne veut surtout pas en avoir un de moins. Le Canard raconte ainsi que l'Elysée, après avoir muté cinq fonctionnaires soupçonnés d'avoir pris en photo François Hollande et Julie Gayet depuis les appartements privés du président, a cherché à recruter des militaires plus fiables.
    Mais où les prendre en ces temps de disette budgétaire ? "Certains gisements existent, par exemple, chez les anciens présidents de la République gratifiés (aux frais de l'Etat), d'un personnel pléthorique : Giscard emploie pas moins de 14 collaborateurs (chauffeur, cuistos, agents de sécurité, secrétaires ! Dont deux marins", écrit Le Canard. Des cuistots payés par l'Etat pour un ex-président qui a quitté l'Elysée il y a 33 ans ? On se pince pour le croire. Le pire dans l'histoire, c'est que Giscard a refusé que le ministère de la Défense lui récupère un marin en allant se plaindre à Matignon. Et il a obtenu... gain de cause.

    Source : "L'Ex échappe à un attentat", Le Canard enchaîné n°4911, 11.12.2014

    Politique.net :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEAykEuFuFBWqkWjj.shtml