Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pour un Pegida français (Présent 8275)

Ambiance de résistance dans la petite salle qui accueillait dimanche les journalistes dans un hôtel parisien pour une conférence de presse, en remplacement de la manif interdite.

Une du numéro 8275 de "Présent"

Une du numéro 8275 de “Présent”

Alors que la manifestation contre l’islamisation organisée par Riposte Laïque et Résistance Républicaine était interdite par la préfecture, une manifestation haineuse « contre l’islamophobie » avait lieu dimanche au même moment, Place du Châtelet, avec des manifestants criant « Allah Akbar », dénonçant pêle-mêle dans leur discours l’attitude d’une partie des juifs de France, l’impérialisme français et réclamant le retrait des troupes françaises…

« Le ministre Cazeneuve est intervenu directement dans l’interdiction de notre manifestation, laissant entendre que nous étions islamophobes et que réclamer l’expulsion des islamistes attiserait la haine et la division chez les Français », a déclaré Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine. « On est en train de nous imposer l’interdiction de critiquer l’islam dans un pays non-musulman. »

Le gouvernement français ne veut surtout pas d’un Pegida à la française et fera tout pour l’éviter. De même qu’Angela Merkel est décidée à tout pour briser le mouvement Pegida.

Devant de nombreux journalistes dont la moitié venue de pays étrangers, Mélanie Dittmer, la jeune représentante allemande de Pegida (vêtue en permanence d’un gilet pare-balles en raison des menaces qui pèsent sur elle) a pu s’exprimer. Aux côtés de Pierre Cassen, de Christine Tasin et de l’écrivain Renaud Camus, elle était entourée de Pierre Renversez (Belgique), Armando Manocchia (Italie) et Jean-Luc Addor (Suisse). Alors que Renaud Camus dans une intervention de combat (prévue pour être prononcée dehors en pleine manif, a-t-il précisé) affirmait que « des incivilités quotidiennes à l’effroyable barbarie, la soumission et la lutte armée avaient déjà commencé mais pas de notre fait », les représentants des mouvements européens ont rappelé que la vraie solidarité avec les victimes des attentats passait par le courage de nommer l’islam. Ils ont tour à tour dénoncé l’islamisation, appelé à la résistance et à la défense de notre civilisation et de notre mode de vie.

 

« C’est une déception terrible d’avoir été interdit, a déclaré Pierre Cassen, président de Risposte Laïque. Nous aurions été très nombreux Place de la Bourse et nos discours auraient détonné sur l’enfumage général. Nos amis de Montpellier, Bordeaux et Lyon ont tenu, sans être interdits, leurs premiers rassemblements. Des Pegida voient le jour en Belgique, en Espagne, en Italie et en Suisse. Ce lundi, par dizaine de milliers, les Allemands redescendront dans la rue. [NDLR : La police a interdit tout rassemblement public à Dresde en raison d’un risque terroriste, mais elle est autorisée à Dusseldorf.] Et le mot d’ordre “Islamistes hors de France”, qu’ils ont voulu nous interdire de scander, sera sur toutes les lèvres. Les Français auront alors la confirmation que ceux qui nous gouvernent, non seulement sont incapables de les protéger, mais organisent délibérément leur mise en danger et leur remplacement. »

Caroline Parmentier

En partenariat avec le quotidien Présent – Chaque jour, retrouvez sur Novopress la Une du quotidien Présent ainsi qu’un article sélectionné par la rédaction et mis gratuitement à votre disposition. Seul quotidien de réinformation, Présent est unique dans le paysage médiatique français. Contribuez à abattre le mur de la bien-pensance et du médiatiquement correct, lisez et faites lire Présent ! Abonnez-vous !

http://fr.novopress.info/181276/pour-un-pegida-francais-present-8275/

Les commentaires sont fermés.