Maintenant, le bon peuple va se trouver confronté à deux dangers : le temps du terrorisme ou l’avènement d’un "Patriot Act" qui n’en portera pas le nom mais en aura tous les attributs.
Qui a pu croire que permettre l’entrée de tant d’immigrés, essentiellement d’origine africaine et musulmane, depuis tant d’années, tant de décennies, se ferait sans dégâts collatéraux. C’était, et c’est encore une erreur fatale, ultime signe d’orgueil de nos politiques qui croient pouvoir tout maîtriser. Ceux-là mêmes qui prétendent exporter la démocratie au nom des droits de l’homme, dans des pays qui n’en connaissent même pas le sens. Ces politiques ont fait, à bon marché, la peau de quelques dictateurs, permettant l’émergence de l’hydre terroriste avec des millions de têtes, qu’il sera difficile à l’avenir de faire retourner dans la boîte où elle était enfermée et dont elle n’aurait jamais dû sortir.