Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Italie : Des musulmans insultent la procession de la Madone

    Lu sur Novopress.info : en Italie, des jeunes musulmans ont accueilli dimanche la traditionnelle procession de la Sainte-Vierge à Conselice, dans la province de Ravenne, aux cris de "Allez-vous-en ! Allez-vous-en !"  Le maire de gauche a semble-t-il "désamorçé la polémique" en suggérant que les jeunes musulmans présentent leurs excuses. Le "vivre-ensemble" a du plomb dans l'aile...

    Marie Bethanie

  • Des militants du FN déposent plainte contre les Femen

    Certains militants ont décidé de réagir, s'estimant victimes d'une exhibition sexuelle au sens de l'article 222-32 du Code pénal.

    Excédés par les provocations et le traitement médiatique de l’action des Femen lors de la manifestation organisée par le Front national le 1er mai 2015 à Paris, des militants ont décidé de déposer plainte auprès du procureur de la République par courrier.

    Rappel des faits : alors qu’un premier incident avait émaillé le cortège du Front national, au moment où sa présidente Marine Le Pen s’apprêtait à déposer une gerbe au pied de la statue de Jeanne d’Arc, ce sont trois autres représentantes de ce mouvement se revendiquant du « féminisme » qui ont surgi sur un balcon de l’hôtel InterContinental donnant sur la place de l’Opéra à Paris 9e, devant des citoyens médusés. Les trois femmes, seins à l’air comme à leur habitude, ont exécuté des saluts nazis et utilisé un porte-voix, allumant par ailleurs un fumigène afin d’attirer l’attention et de perturber la manifestation. La scène s’est prolongée durant plusieurs minutes.

    La plupart des médias n’auront retenu de cette action (dont on attend toujours le début d’une explication quant à sa signification) que la manière dont les trois jeunes femmes ont été éconduites.

    Lire la suite 

  • A Annecy, le FN s'opopose à la construction d'une mosquée

    Aymeric Chauprade diffuse l’intervention de Thomas Noël (FN) faite récemment au conseil municipal d’Annecy dans laquelle il s'oppose à la volonté de la mairie UDI. Extraits :

    Annecy"En mars 2004, des individus dont nous condamnons l’acte odieux déclenchaient un incendie dans l’ancienne mosquée des Fins. Plutôt que d’opter pour une restauration qui aurait permis de s’affranchir des règles d’urbanisme régissant les places de stationnement pour les établissements recevant du public, la communauté de fidèles décida de raser le bâtiment et de se lancer, avec votre soutien fébrile, dans un projet plus ambitieux, à l’architecture prosélyte et non conforme aux règles du droit public. Et ce qui devait arriver arriva. Ce que tout le monde – sauf vous Monsieur le maire – avait anticipé se produisit : à plusieurs reprises, jusqu’au Conseil d’État en octobre 2014, le juge administratif a constaté l’irrégularité flagrante de cette entreprise bancale.

    Depuis, la communauté de fidèles ne cesse de clamer qu’elle n’a plus de salle de prière. Certes, celle-ci a été abîmée par des délinquants, mais je pose la question : qui a décidé de la raser ? Ses fidèles !Et à qui demandent-ils désormais de l’aide pour en reconstruire une nouvelle, plus grande, plus haute, plus visible, s’intégrant moins que la précédente à l’architecture du quartier des Fins ?A la mairie d’une république laïque. A ces fidèles, Monsieur le maire, il vous faut rappeler ce principe élémentaire du droit : « Nemo auditur propriam turpitudinem allegans » : Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. Ceux qui ont décidé de raser leur lieu de culte ne peuvent exiger des habitants d’Annecy qu’ils aident à sa reconstruction.

    Aujourd’hui, pour garantir le nombre légal de places de parking, l’association Nouvel Avenir, qui porte le projet de la nouvelle mosquée, a besoin de plus de surface.Une fois de plus Monsieur le Maire, vous décidez de voler à son secours. Pour céder – sans jeu de mot – du terrain supplémentaire, il vous a fallu au préalable le déclasser du domaine public. En agissant de la sorte, vous avez violé l’esprit de la loi de 1905 : vous avez utilisé un bien public – non sans l’avoir dénaturé – pour aider une religion (...) Que je sache, les riverains ne réclament pas à cor et à cris un nouveau lieu de culte…

    Nous touchons là un des aspects fondamentaux du problème, Monsieur le Maire, et je n’aurai pas l’hypocrisie de me réfugier derrière des arguties juridiques pour vous exposerles vraies raisons de ma farouche opposition à ce projet. Il ne s’agit pas d’un problème d’urbanisme, mais bien de communautarisme !Nous ne parlons pas tant de contraintes de construction que d’exigence d’unité de la nation !Vous détournez un bien de son usage public pour céder aux pressions d’une communauté à l’intérieur d’une autre communauté : les musulmans d’origine maghrébine. En effet, l’Association « Nouvel Avenir » n’a jamais caché sa forte identité algérienne. Un représentant du gouvernement algérien est même venu soutenir ce projet, faisant ainsi la promotion d’une véritable enclave sur le territoire français.

    Et cette enclave est la concurrente d’une autre, turque celle-là, dans la ZI de Vovray. Vous ne pouvez l’ignorer : il y a quelques mois, un représentant de la communauté turque, fidèle de cette même mosquée, ne vous avouait-il pas, sous les yeux éberlués de ma collègue Pauline Farges, je cite : «nous les Turcs nous ne voulons pas prier avec les maghrébins. Et ce n’est pas une question de place».

    Depuis quand, dans notre République une et indivisible, doit-on distinguer les pratiquants d’une religion en fonction de leur origine ?Y aurait-il des statistiques pour cela ?Depuis quand la Nation doit-elle s’adapter aux différentes pratiques d’une même religion ?

    Vous ne pouvez donc plus nier les tensions communautaristes qui habitent notre bassin de vie. Vous ne pouvez plus refuser de regarder en face la juxtaposition de particularismes culturels et cultuels dont notre territoire est le théâtre. Malgré cela, vous persistez à agir en préposé local au déclin national.

    Monsieur le Maire, on comprend bien que les lois de la démographie, dont on constate au fil des scrutins l’inexorable action érosive, vous contraignent à aller chercher des suffrages hors de votre électorat traditionnel. Cependant, vous devriez non seulement minimiser l’effet positif de ce genre de manœuvre, mais également exiger des garanties contre les risques de prolifération d’un islamisme radical qui gangrène une religion dont – est-il est besoin de le rappeler ? – l’immense majorité des croyants n’aspirent qu’à vivre paisiblement et pacifiquement la pratique cultuelle.

    Lire la suite "A Annecy, le FN s'opopose à la construction d'une mosquée"

    Philippe Carhon

  • Vallaud-Belkacem et Valls : la République de l'intolérance.

    Il y aurait tant à dire sur la réforme du collège défendue par Mme Vallaud-Belkacem et le gouvernement auquel elle appartient... Mais il semble que la critique de la dite-ministre et de ses dires, de ses intentions ou de ses programmes, soit un exercice, sinon interdit, du moins dangereux : l'accusation d'être un « pseudo-intellectuel », de « ne pas savoir lire » ou de commettre un acte « légèrement xénophobe », est si vite lancée à l'encontre de quiconque ose égratigner la belle favorite du gouvernement !

    Cela pourrait faire sourire si ce n'était révélateur d'un état d'esprit de la République actuelle, certaine de sa raison et intolérante à celles d'autrui : ainsi, M. Valls, qui se veut le défenseur de la République absolutiste, agite-t-il dans tous les discours et débats son étendard des « valeurs de la République » tandis que son président s'en va saluer quelques clients (fort peu républicains) des pétromonarchies du Golfe et converser avec un vieux dictateur qui, en son temps, fit rêver tant d'étudiants (et d'étudiantes...) du Quartier latin avant de s'enfermer dans une retraite en survêtement qui casse un peu le mythe de l'aventurier... En fait, le discours sur la République et ses supposées valeurs (qui sont aussi celles de M. Cahuzac ou de M. Balkany) est à usage interne, franco-français, et apparaît comme la ligne de défense d'un gouvernement qui n'est, trop souvent, que le serviteur d'une oligarchie qui « prend son petit déjeuner à New-York et légifère à Bruxelles », selon la formule consacrée. Mais il est bien pratique pour diaboliser toute critique et éviter tout débat de fond !

    Je dois avouer que j'ai été particulièrement choqué d'entendre Mme Vallaud-Belkacem traiter les essayistes et écrivains qui dénonçaient sa réforme et les nouveaux programmes scolaires d'histoire de collège, de « pseudo-intellectuels » : les trois qu'elle visait explicitement (mais sans doute la liste qu'elle a livrée aux médias n'était-elle pas exhaustive...) s'appellent, excusez du peu, Alain Finkielkraut, Pascal Bruckner et Luc Ferry, ce dernier ayant lui-même occupé le poste de ministre de l’Éducation nationale. On peut reprocher beaucoup de choses aux trois sus-cités, et combattre certaines de leurs idées (le libéralisme de Ferry, le croissancisme de Bruckner, etc.), mais il ne me viendrait pas à l'idée de les sous-estimer ou de refuser de les lire, ou de vouloir les faire taire : Mme Vallaud-Belkacem n'a ni cette timidité, ni la décence de reconnaître l'intelligence adverse, et c'est particulièrement inquiétant quand on occupe le ministère qui est le sien ! Il est vrai que l’Éducation nationale n'a jamais été autre chose, le plus souvent, que l'instrument du Pouvoir politique, comme le rappelait à l'envi Marcel Pagnol, mais j'ai encore la faiblesse de croire que l’École peut ouvrir (et qu'elle devrait le faire, même si ce n'est pas forcément le cas...) les intelligences et favoriser « la curiosité sans laquelle », selon le Maître de Martigues, « aucun savoir n'existerait »...

    En tout cas, la liste des « proscrits de la République », selon M. Valls et Mme Vallaud-Belkacem, s'allonge de semaine en semaine, au-delà de la seule affaire de la réforme du collège : Eric Zemmour, Michel Houellebecq, Michel Onfray, Alain de Benoist, Emmanuel Todd, etc. Va-t-on y rajouter demain Sylviane Agacinski, coupable de critiquer la GPA et d'argumenter sa position sans beaucoup d'aménité pour le « politiquement correct », et qui signe une pétition contre cette marchandisation des utérus dans Libération cette semaine (circonstance aggravante : Onfray l'a aussi signée...), ou bien Philippe Val, ancien directeur de Charlie-Hebdo et désormais pourfendeur d'une certaine Gauche de l'inculture avec des mots qui doivent effrayer Fleur Pellerin, ministre de la Culture « qui n'a pas lu un roman depuis deux ans » selon son propre aveu ?

    J'ai, sur mon bureau, « Que faire ? », non pas l'ouvrage de Lénine (déjà lu, et toujours dans ma bibliothèque, à portée de la main), mais le livre du débat entre Marcel Gauchet et Alain Badiou, entre le défenseur (un peu désabusé) de la démocratie libérale et le penseur (jamais fatigué) d'une gauche radicale « néo-maoïste » : c'est un régal d'intelligence et un débat d'une grande volée, et les idées se confrontent, s'affrontent et, parfois, se mêlent ! Je ne suis ni maoïste ni libéral, et, pourtant, je fais mon miel de cet échange intellectuel, sans renier mes idées ni me rallier à l'un ou l'autre des camps. Ce débat est à l'honneur des débatteurs et de la pensée elle-même : il est aussi l'antidote à l'intolérance de la République vallsienne et à cette « défaite de l'intelligence » que représente l'esprit de la réforme de Mme Vallaud-Belkacem.

    Tant qu'il y aura des hommes libres, ils penseront et discuteront, sans attendre l'autorisation de qui que ce soit, et c'est une bonne chose... Et tant pis pour la République, ses valeurs et ses séides !

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • « L’essence de la France »

    « Vouloir s’en prendre à une église, c’est s’en prendre à un symbole de la France, c’est l’essence même de la France qu’on a sans doute voulu viser. » Il est assez rare que Manuel Valls prononce une vérité pour qu’on le signale. Hélas, qui sera dupe des manœuvres électoralo-sécuritaires d’un premier ministre qui dit tout et son contraire selon les saisons, trop seulement mû par l’amour du pouvoir, comme son modèle « de droite » Nicolas Sarkozy ?

     

    On se souvient que certains avaient voulu voir dans l’ancien et peut-être futur président de la République le Bonaparte du temps, qui rendrait à la religion catholique ses lettres de noblesse et sa place véritable dans la société. On était même allé jusqu’à en faire l’inspirateur de la Manif pour tous… En vérité, ces deux-là, Valls comme Sarkozy, ont sans doute en commun avec l’Empereur de vouloir des religions à leur botte, simples instruments de manœuvre sociale, réduisant judaïsme, islam et catholicisme à des lobbies, au même titre que les associations de chasse ou de rollers, réservoirs électoraux dans lesquels on pioche selon les besoins. Un concordat, ce peut être une bonne idée originairement, meilleure en tout cas que la « séparation » qui n’a jamais fait la preuve depuis 1905 de ses bienfaits, le surnaturel et son cortège de rites, de cérémonies, d’art de vivre, cascade évidente d’une foi quand l’on connaît l’homme, revenant au galop comme l’on sait. La France crève de sa dénégation de ce que l’on nomme affreusement le « fait religieux », qui désigne en réalité la nourriture la plus immédiate, substantielle et nécessaire de l’être humain. On n’a jamais vu qu’aucun peuple vive sans religion, fors ceux que l’on soumet au totalitarisme, totalitarisme désignant très exactement ceci, l’absorption de la conscience dans les règles de l’État. En ce sens-ci, la « République » telle que l’invoquent nos politiques actuels, et cela vaut depuis Mélenchon jusqu’à Marine Le Pen en passant par Hollande-Valls et Sarkozy (qui s’est récemment excusé d’avoir causé d’identité dans son mandat précédent, quand, dit-il, seule la République nous rassemble), revêt de plus en plus une symbolique totalitaire.

    Mais l’on nous fait accroire que parler d’abord et surtout de la France serait retomber dans le pétainisme ou la réaction, allergie athée qui se double d’une volonté de ne pas stigmatiser nos nouveaux concitoyens dont les racines auraient plus de poids que leur nationalité récente. Mais à force de n’en plus faire des Français, on n’en a pas fait non plus des « républicains ». Une République tout court, cela ne veut d’ailleurs rien dire, et l’on ne sait si l’on vit sous la Rome pré-impériale, dans l’Espagne anti-franquiste ou chez les fascistes de Salo, à prononcer le mot solitaire. Cela rappelle le mot du cinéaste Jean-Luc Godard sur les États-Unis disant que c’était un pays somme toute sans nom, tant on trouve d’« États-Unis » un peu partout dans le monde.

    Bref, à seriner république toute la sainte journée, on perd le moyen de continuer une société cohérente, une nation dont les habitants se sentent liés. On peut arguer de la langue, des mœurs, de la cuisine, du vêtement, qui feraient du Français un être à part le reste du monde. Malheureusement, on ne le voit que trop, tout ceci est en train de passer à grande vitesse, l’islam venant s’enter là où il n’y avait plus rien, et l’on assiste à des prières sur tapis de jeunes têtes blondes, peuple perdu sans église qui très naturellement et très évidemment se tourne vers la seule communauté qui tienne et qu’il découvre en ouvrant sa porte. [....]

    Jacques de Guillebon

    La suite sur La Nef

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-essence-de-la-France

  • Europe, ville ouverte (Présent 8355)

    « Pas un seul réfugié ou migrant intercepté en mer ne sera renvoyé contre son gré » : ainsi a répondu le ministre des Affaires étrangères de l’Union européenne, Federica Mogherini, au gouvernement britannique qui demandait que les clandestins sauvés des eaux soient renvoyés chez eux. On croit rêver !
    Voilà un homme, qui a dû régler une somme colossale à des passeurs, toute sa famille s’étant cotisée pour le lui permettre, qui a risqué mille morts et souffert dans un rafiot où il a erré, maltraité, affamé, mais le voilà, enfin, sur les terres européennes. Et là, il est interrogé par un agent qui applique les consignes de Mme Mogherini qui lui dit : « Nous pourrions vous expulser, et même nous le devrions, sauf si vous vous y opposez. Alors que préférez-vous ? Retourner dans votre pays misérable ou être accueilli dans un des vingt-huit États de l’Union, où vous serez soigné, logé, nourri, doté d’un pécule mensuel (514 euros en France), peu après, vous pourrez faire venir votre famille et si vous êtes en France, au bout de cinq ans vous pourrez tous devenir Français ? »

    8355-P1

    8355-P1

    Combien de « migrants » ou de « réfugiés » – jamais de clandestins – espère Federica Mogherini, vont-ils répondre : « Merci beaucoup, mais, finalement, tout bien réfléchi, le climat européen, un peu trop frisquet ne me convient pas, je préfère retourner au Mali à vos frais » ? Poser la question, c’est y répondre ! Est-ce angélisme ou cynisme pour dissimuler par une fausse compassion un scandaleux libéralisme qui déclare l’Europe ville ouverte aux clandestins ?

    Songeons à l’injustice que constitue cette lâche politique à l’égard des étrangers, en Afrique ou ailleurs, qui, eux aussi, rêvent d’Europe, mais qui essaient d’y accéder par des voies légales en demandant leur visa, parfois pendant des années, sans grand succès. Ils voient que ceux qui violent nos lois reçoivent une prime à la délinquance en étant accueillis après avoir forcé nos frontières. Comment ne seraient-ils pas encouragés à les imiter ?
    Installer dans les pays de l’Union ces individus interceptés sur les côtes italiennes, ce n’est qu’une « réponse » de Bruxelles au grand débarquement, l’autre devait être militaire, en frappant « à la source », là d’où partent les bateaux.
    Mais il y faut le feu vert de l’ONU. L’Union, en défendant sa résolution, envisageait des « moyens amphibies » et des Forces spéciales en vue « de la destruction aérienne, terrestre et maritime » d’objectifs sur le sol libyen, donc un débarquement. Or, la même Federica Mogherini, mercredi, angélique, mais aussi pacifiste, a reculé d’un grand pas en déclarant : « Ce que nous préparons est une opération navale, destinée à perturber le modèle économique, des trafiquants. Il n’y aura pas de troupes européennes sur le sol libyen. » Alors qu’il s’agissait, à l’origine, d’anéantir l’infrastructure des passeurs, voire ces derniers eux-mêmes, on va maintenant seulement « perturber » leur « modèle économique ». Et pourquoi pas, Mme Mogherini, pour « perturber » leur modèle financier envoyer à la place des soldats un commando d’huissiers pour procéder à une saisie-arrêt sur leur compte en banque ? Les trafiquants d’êtres humains ont donc de beaux jours devant eux. L’installation annoncée et inconditionnelle dans les pays de l’Union va relancer le marché et avec lui, hélas, la mort de milliers de pauvres hères, dont le ministre des Affaires étrangères de l’Union portera aussi la responsabilité, comme les chefs de gouvernement qui lui ont abandonné une part du destin de l’Europe.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/187640/europe-ville-ouverte-present-8355/

  • Tour de France pour la famille : le 20 mai à Bordeaux

    6a00d83451619c69e201bb082eca7d970d-800wi.jpg