L'économiste Frédéric Lordon intervient (assis) à Nuit debout :
"Nous voilà sommés d’être inclusifs, violence du capital et violence identitaire raciste, violence dont Finkielkraut est peut-être le propagateur le plus notoire". "Ces médias nous demandent d’accueillir Finkielkraut et bien non ! Pas d’animation citoyenne all inclusive comme le voudraient Laurent Joffrin et Najat Vallaud Belkacem !" "Nous ne sommes pas ici pour être amis avec tout le monde, et nous n’apportons pas la paix, nous n’avons aucun projet d’unanimité démocratique".
"S’il n’y a plus d’alternative dans le cadre, il y a toujours possibilité de refaire le cadre. C’est de la politique, pas du revendicatif. On chasse les gardiens du cadre".
"Il faut mettre des grains de sable partout" : "C’est débouler dans une réunion d’Anne Hidalgo, c’est débouler dans la conférence d’une association d’étudiants à l’ESCP qui invite Florian Philippot". "C’est faire dérailler le cours normal des choses, les harceler, leur ôter toute tranquillité !"
"La nuit debout, la grève générale, la république sociale, c’est loin".
Le but est indiqué ici : leur faire peur.