Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici
Du sang partout. Des cris. Des larmes. Des dizaines de cadavres et des centaines de blessés jonchant la rue. A Nice, un soir de 14 juillet, un énorme camion fonçait délibérément dans la foule, écrasant tous ceux qui, en famille, étaient venus, sur la promenade des Anglais, voir le feu d’artifice du 14 juillet. On parle également de blessés par balles, et d’armes retrouvés dans le camion.
Nous étions habitués à ces images quand une voiture piégée explosait à Badgad, Kaboul ou ailleurs. Après Charlie Hebdo, Hervé Cornara, le Bataclan, Bruxelles, les deux policiers de Magnanville, c’est Nice qui est touchée, son tour, par l’islam et ses soldats.
Naturellement, nous allons encore avoir droit aux numéros d’enfumage habituels. Le CFCM et la Grande Mosquée nous ont dit qu’ils condamnaient l’attentat, histoire de nous faire le coup du classique « l’islam ce n’est pas cela », « Pas d’amalgame » « Pas en notre nom ». Oseront-ils, cette fois encore, avoir l’indécence de se dire les premières victimes, sans que cela n’émeuve aucun politique ou aucun journaleux ?
On va apprendre que le chauffeur était connu des services de police, et probablement classé S. Mais Cazeneuve va nous expliquer que le fait qu’il ait été en liberté était le prix à payer d’un Etat de droit, et sans doute va-t-il encore nous parler de la « République », lui qui, avec les siens, la trahit quotidiennement.
Les autorités vont encore nous faire le coup des bougies, des bouquets de fleur, et encourager les familles de victimes à organiser une marche blanche, en leur faisant dire qu’ils n’ont pas de haine pour l’assassin.
Lors de la cérémonie d’hommage aux deux policiers, organisée par le Siel au Trocadéro, notre fondateur, Pierre Cassen, avait tenu un discours très fort, disant, au sujet de Hollande-Valls-Cazeneuve, que nous en avions marre d’eux et de leurs discours d’impuissants, à chaque nouvel attentat islamique.
Pas une virgule n’est à retirer de cette intervention. Le nouveau massacre de Nice nous confirme ce que Valls, cyniquement, avait osé dire aux Français au lendemain du Bataclan : nous en avons pour vingt ans d’attentats, mais ce n’est qu’un mauvais moment à passer.
Depuis une année et demie, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, que se passe-t-il ? Les soldats d’Allah, qu’ils se réclament de l’Etat islamique ou pas, multiplient les menaces et passent à l’acte de plus en plus fréquemment. Nos ministres, incapables de désigner le nom de notre agresseur, l’islam, nous disent qu’on est en guerre contre le terrorisme, ou parfois contre Daech.
Tous les jours, il suffit de lire l’excellent site Fdesouche, nos policiers arrêtent des musulmans surexcités, qui leur disent qu’ils vont les tuer, comme leur frère a tué leurs collègues de Magnanville, et faire un maximum de victimes parmi les Français infidèles.
Intervention de Pierre Cassen début juin à Paris cliquez ici
Et quelle est l’attitude de ce régime ?
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, les assassins sont protégés. Ceux qui menacent nos vies se promènent librement. Ceux qui, comme Salah Abdeslam, ont tué des dizaines de Français, le 13 novembre, peuvent voir leur avocat déposer plainte contre un député qui a raconté les conditions ahurissantes de confort du détenu. Ceux qui annoncent qu’ils vont nous tuer, quand ils sont arrêtés, sont remis en liberté quelques semaines plus tard.
Voilà ce qui s’est passé, ces dernières heures, dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve. Au soir de la finale de l’euro, incidents dans de nombreuses villes de France, avec des « Français » brandissant des drapeaux algériens. A Calais, des clandestins lancent des cocktails molotov sur la rocade portuaire. A Compiègne, un mort, suite à une fusillade à la kalachnikov. A Oyonnax, annulation des festivités du 14 juillet, suite aux incidents du dimanche précédent. A Arras, arrestation d’un homme qui se vante d’être un terroriste. Des centaines de voitures incendiées en Seine Saint-Denis, dans le Val de Marne et dans l’Oise. Des policiers blessés dans le Val d’Oise et à Sens, etc. Les racailles islamisées savent qu’elles bénéficient d’une impunité presque totale, et les policiers ne peuvent pas bouger une oreille sans se retrouver devant les juges.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, le voile islamique, le qami et la djellaba, uniformes de guerre des djihadistes, sont tolérés.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on accueille sur notre territoire des centaines de musulmans qui sont allés apprendre à faire la guerre en Syrie (avec les armes que ce régime a livré aux islamistes) et qui reviennent, décidés à mettre en application, chez nous, ce qu’ils ont appris là-bas.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on impose aux Français la présence de « migrants », majoritairement musulmans, hommes seuls, parmi lesquels, comme au Bataclan, se sont infiltrés des terroristes, comme Merkel elle-même – sans manifester le moindre remord – l’a admis.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, plus de frontières. On est dans la conception d’Attali, notre pays est devenu un hôtel où les étrangers entrent et sortent comme ils le veulent.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, les mosquées, casernes de l’ennemi, sont toujours ouvertes, et servent à distiller aux musulmans ce que doit faire un loyal fidèle : la guerre aux mécréants, par tous les moyens, la force quand on peut l’utiliser, la ruse quand on n’a pas le rapport de forces.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on commémore, en soumis que sont nos dirigeants, en grande pompe le quatrième pilier de l’islam, et on impose à des maires qui tiennent à l’esprit de la loi de 1905 de prêter des locaux municipaux aux disciples de la religion d’amour.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on fait témoigner le patron du renseignement intérieur, Patrick Calvar. Ce dernier affirme que de prochains attentats sont inévitables (RL le dit depuis 2011) et on lui fait dire que des forces du renseignement vont s’occuper de « l’ultra-droite » qui rêve de la guerre civile, plutôt que des islamistes.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on interdit des manifestations patriotiques, mais on autorise des clandestins, souvent musulmans, soutenus par des gauchistes, à manifester dans les rues de Paris contre le « racisme institutionnel français ».
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on va multiplier des abattoirs mobiles, dans quelques semaines, pour que les disciples du prophète puissent égorger, en toute impunité, violant les règles sanitaires de notre pays, des centaines de milliers de moutons, avec le même geste que celui des assassins de Hervé Gourdel ou Hervé Cornara, tous deux décapités.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on utilise des juges et des policiers pour perquisitionner chez Pierre Cassen et lui voler ordinateur et téléphone portable, on instruit des plaintes contre Christine Tasin, on traîne devant les tribunaux des patriotes coupables de dénoncer la réalité de l’islam et de l’ensauvagement de la France.
Nos dirigeants, qui utilisent les services de l’Etat, de manière démesurée, pour se protéger (voir l’escorte donc bénéficie en permanence Hollande, Valls ou Cazeneuve) s’en foutent de la sécurité des Français.
Hollande ne pense qu’à une chose : sa prochaine réélection. Il vide les caisses, arrose tout le monde, et rêve de conserver le vote des 93 % de musulmans qui lui ont permis de gagner en 2012.
Valls passe sa vie à insulter les patriotes et à nous raconter que l’islam est compatible avec la République.
Quand à Cazeneuve, quand il ne fait pas des selfies avec des musulmans radicaux, quand il ne va pas lécher les babouches dans les mosquées, quand il ne serre pas la main à des clandestins, il a du temps pour déposer quatre plaintes contre Riposte Laïque.
Nous sommes dirigés par des incapables socialauds, alliés avec le Qatar et l’Arabie saoudite, qui financent la classe politique française, et ceux qui tuent les nôtres.
Nous sommes dirigés par des collabos, qui n’ont même pas l’excuse d’une défaite militaire, comme en 1940, pour pactiser avec l’ennemi.
Ces gens là sont incapables de protéger les Français. Ce sont des traîtres. Il est temps de le virer au plus vite, et de préférence avant 2017, et d’exiger d’un gouvernement qu’il prenne des décisions à la hauteur des enjeux.
En temps de guerre, il ne doit plus y avoir de visibilité de l’ennemi, donc de l’islam, en France.
En temps de guerre, on se débarrasse, par tous les moyens, de la cinquième colonne musulmane qui opère en France, parmi lesquels se trouvent, forcément, les prochains assassins qui opéreront, dans quelques jours, dans quelques semaines, dans une autre ville française, laissant des cadavres et des blessés à jamais mutilés, comme le fait l’islam partout où il sévit.
En temps de guerre, il nous faut des chefs de guerre à la tête du pays, pas des islamo-collabos, des traîtres et des lèche-babouches.