Les attentats islamistes se multiplient sur le sol européen, la violence des immigrés s’accroît, mais l’Union Européenne maintient opiniâtrement ses œillères et prône envers et contre toute raison l’accueil des clandestins.
En Allemagne, en France, en quelques jours, c’est une explosion de furie de la part de « réfugiés » musulmans venus chercher soi-disant de l’aide en Europe. Et qui se retournent contre qui les reçoit. C’est le résultat de la politique de la chancelière allemande Merkel, soumise aux diktats mondialistes et financiers !
Mais sur cette hospitalité bien-pensante en faveur des immigrés qui apporte la mort, la haine et le sang, Bruxelles n’apprend pas la leçon. Commentant les récents épisodes de violence gratuite et particulièrement horrible qui ont ensanglanté nos pays européens, Margaritis Schinas, le porte-parole de la Commission de l’Union Européenne a réaffirmé que les portes de l’Union Européenne « resteront ouvertes à qui fuient la guerre et les persécutions, et à ceux qui cherchent l’asile, mais nous nous défendrons des attaques contre notre style de vie. »
La politique d’accueil imposée par l’establishment politique européen ne changera donc pas malgré une insécurité croissante qui se propage sur tout le vieux continent ! Entre agressions sexuelles à répétition et massacres à la hache, au couteau, au camion fou et autres méthodes d’extermination rapide, la bombe migratoire est en train d’exploser à la face des peuples européens. Une explosion liée au terrorisme islamique.
Et pourtant, malgré l’évident échec de la politique d’intégration et du « vivre-ensemble, les technocrates bruxellois ne se décident pas à fermer les frontières de l’Europe. Au contraire, leurs discours philanthropiques préconisant la maintien des portes ouvertes se font toujours plus insistants, plus pressants, plus culpabilisants, tout en promettant par de belles paroles qui n’engagent que ceux qui les écoutent, des mesures de sécurité bien faiblardes devant le danger que constituent ces immenses flux migratoires incontrôlables et incontrôlés. Face à la haine et à la volonté de tuer des kamikazes islamistes cachés parmi les clandestins.
Mais l’idéologie multiethnique, multiculturelle, d’une Europe pour tous, telle une divinité suprême, règne en despote sur le monde. Elle a ses adeptes sectaires et son culte sacrificatoire : d’autres vies, après celles du Bataclan, de Nice, de Bavière et d’ailleurs, lui seront immolés sur l’autel du « vivre-ensemble » par l’élite des bien-pensants humanistes ! Qui ne sont pas à un mort près pour faire triompher leur meilleur des mondes à venir…
Francesca de Villasmundo