Nous, les Blancs, aimons l’ordre. Nous n’avons pas inclination à semer la zizanie.
Mais les autorités craignent par-dessus tout la violence.
Bien sûr, quand ce sont des émeutes noires ou arabes, le politiquement anti-raciste intervient : « il ne faut pas stigmatiser ». Alors que quand il s’agit de blancs qui menacent de violences, les médias ont une approche très hostile.
Il n’empêche que les autorités ont tout de même tendance à plier. Nous l’avons vu aux Pays-Bas après l’émeute de Geldermalsen. Nous le voyons encore ici à Rostock.
Si en France en 2013 les manifestants de la Manif pour Tous au lieu d’avoir été très gentils et ordonnés avaient menacé de tout casser, le gouvernment Hollande aurait cédé.
Une VAGUE de manifestations anti-réfugié a forcé les autorités d’une ville allemande à annuler les plans de constructions d’un centre pour réfugiés – les autorités décidant à la place d’évacuer presque tous les réfugiés hors de la ville.
Les responsables dans la ville de Rostock ont déclaré que « la sécurité des réfugiés » et des « inquiètudes de sécurités » étaient derrière ce revirement inattendu.
Même si les autorités déclarent que c’est fait pour le bien des « réfugiés », cela n’empêche pas que ceux qui ont résisté contre l’imposition de ces envahisseurs ont gagné ! Quand nous leur faisons assez peur, elles se plient.
La décision contre le centre de réfugiés intervient au milieu de tensions croissantes entre les allemands locaux et la population de migrants en augmentation après une séries d’attaques terroristes en Europe ces dernières semaines.
À Rostock, une série de manifestation et d’agressions contre les réfugiés dans la ville ont suscité un changement d’esprit brutal.
La ville, située dans le Nord-Est du pays, a prévu d’établir un centre d’hébergement pour réfugiés dans le district local de Gross Klein, pour faire face à l’augmentation d’arrivée de migrants en Allemagne.
Mais, selon la police, un groupe de jeunes allemands a récemment essayé de prendre d’assaut le bâtiment, alimentant les craintes que les nouveaux arrivants seraient en danger.
Sans cet élément de violence, ces jeunes allemands courageux et prêts à défendre leur peuple n’auraient pas pu changer les choses.
Le délégué aux Affaires Sociales de Rostock, Steffen Bockhahn a dit que cela « blesse » de prendre cette décision mais que la colère croissante envers les réfugiés signifiait que la situation était trop dangereuse.
En plus de cela, une maison proche pour réfugiés mineurs [sic] non-accompagnés a du être partiellement évacuée une semaine plus tôt en raison de craintes sur la sécurité.
Le président du conseil de district Uwe Michaelis a déclaré au journal Ostee Zeitung : « Je trouve que c’est contestable de nous laisser dicter par l’extrême-droite où les réfugiés sont autorisés à vivre et ou non. »
Parce que bien entendu, décider unilatéralement d’importer un million d’envahisseurs et de les placer de force à travers tout le pays, jusque dans de petits villages, ça c’est le comble du bien ? Non mais vraiment !
« Ils vont considérer cette décision comme une victoire pour eux. »
Tu m’étonnes !
Bien sûr que c’est une victoire, et bien sûr que tous les nationalistes et racistes pro-blancs s’en réjouissent !
Ulrike Seemann-Katz, du conseil consultatif sur les réfugiés de Mecklemburg-Poméranie Occidentale, était d’accord que la décision envoyait un mauvais signale.
Elle a déclaré à DW : « C’est vraiment une grave erreur. »
« Ce signal signifie ‘Tout ce que nous avons à faire est de faire asssez de bruit ou de jeter assez de pierres ou quoi que ce soit d’autres, et ils vont abandonner’. Et je ne crois pas que ce soit acceptable.
Mais tenter de génocider les Allemands c’est acceptable, bien sûr ?
En tout cas elle a raison, cela envoie un signal, et un très bon signal !
Maintenant les Allemands dans le reste du pays savent qu’en insistant assez et avec des menaces de violence ils peuvent faire céder les autorités anti-blanches. C’est un exemple qui n’attend que d’être imité.
http://www.blancheurope.com/2016/08/10/victoire-public-force-retrait-refugies-a-rostock-allemagne/