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Le vice et le crime au bras d’Hillary, première partie : le crime

Nous sommes maintenant à quelques jours de l’élection présidentielle. Le matraquage médiatique, les campagnes de haine ont officiellement porté leurs fruits  et Hillary Diane Clinton semble devancer dans les sondages Donald John Trump.  

En France, la presse est totalement inféodée à Clinton, aucun journal ne vivant des subsides d’Etat ne soutenant Trump. La campagne haineuse contre le candidat républicain avec de pseudo-accusations de viols (dont l’une émanant d’une… prostituée) pour contrebalancer les accusations de viols (dont un viol pédophile) très réelles elles contre  William « Bill » Jefferson Clinton, a atteint les tréfonds de la nullité, pire encore que la campagne de haine contre Jean-Marie Le Pen en 2002. Tous les coups furent permis : des campagnes de presse sur des déclarations d’impôts parfaitement légales, des propos grivois vieux de 11 ans remis à jour… il ne manquait plus que l’accusation, forcément gravissime, d’avoir volé un bonbon chez Wall Mart à l’âge de 5 ans et d’avoir fait pipi au lit à 8 ans… Outrances qui n’eurent d’égales que la clémence pour Hillary, empêtrée dans des scandales tels – Nixon a démissionné pour bien moins que cela – que tout est fait pour museler l’investigateur australien Julian Paul Assange qui multiplie les révélations montrant le vrai visage de la candidate démocrate. L’Equateur, « régime de gauche progressiste », a volé au secours de la haute finance apatride en coupant les accès internet du dissent au moment où il multipliait les révélations sur la vraie nature d’Hillary. Sa tête ayant été mise à prix 10 millions de $, ça peut tenter les esprits simples…

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