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La leçon à retenir d’un lâche assassinat

Bernard Plouvier

Le 19 décembre 2016, l’ambassadeur de Russie en poste à Ankara est assassiné, lors d’un discours à connotation culturelle, par un policier turc, à la fois membre des forces anti-émeutes et fou furieux islamiste. Les commentateurs gémissent ou s’indignent… tout cela n’est que mousse journalistique et comédie médiatique habituelles.

Or d’évidence, il est une leçon à tirer de cet attentat, d’une lâcheté sans pareille, l’ambassadeur ayant été abattu de balles de pistolet tirées dans le dos… c’est presque un symbole du terrorisme mahométan actuel.

La morale de cette triste histoire est simple. Partout en Occident, dans ce qui est pour les mahométans le Dâr al-Harb (soit, en langue du prophète : le domaine de la guerre pour implanter l’islam), il faut révoquer tout agent des forces de sécurité (armée, police et gendarmerie, gardiennage, agences privées de sécurité etc.) de religion musulmane et ne plus jamais engager dans ces forces un sujet musulman ou suspect de l’être.

La notion autrefois bien connue de « 5e colonne » doit être réactualisée. Les taupes marxistes (ou « fascistes ») ont perdu, et depuis longtemps, leur faculté de nuisance. Le relais a été pris par les sectateurs d’un certain allah, qui semble être une idole assoiffée de sang humain et dévoreuse de vies.

Il serait temps que les Occidentaux, en dépit de leur mollesse et de leur bêtise exceptionnelles, comprennent qu’ils ne sont plus en sécurité dans aucun pays musulman – ceci concerne le tourisme -, mais aussi dans un « chez soi », sottement transformé en terre d’accueil et de consommation subventionnée pour les sous-doués de l’ensemble de la planète, dont certains sont en outre d’ignobles assassins.

http://synthesenationale.hautetfort.com/

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