Pieter Kerstens
Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?
Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».
De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.
On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…
En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.
Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».
Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…
Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !
Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.
Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».
Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.
Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.
Un peuple qui se respecte, venge ses morts.
Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !
*½ mouton ½ pigeon « En marche ».