Quelques modestes extraits des horreurs antisémites et racistes de Marx & co…
Xavier Raufer Docteur en géopolitique et criminologue Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin)
Bienvenue dans l’amniotique média-sphère où, pour des journalistes puérils et ignares, le monde est ce qu’ils ont décidé qu’il est. Comme les petits jouent à Papa-Maman (« Alors toi, tu serais le papa… »), pour la presse-gauche-caviar, c’est quand ça les arrange. Prenons le sempiternel « retour à Marx », pour le 200e anniversaire de la naissance du susdit. Un géant de la pensée, se pâme le banc de sardines médiatiques… Si moderne ! Googler « Retour à Marx » édifie vite. Louanges, dithyrambes, zéro critique.
Mais l’antisémitisme et le racisme enragés de Marx ? Rien : soit ses laudateurs sont ignares ; soit, cyniques, ils balaient la poussière sous le tapis.
Ces médias sont-ils toujours aussi aimables ? Là aussi, quand ça les arrange : Martin Heidegger, œuvre de 100 volumes (Gesammelte Werke), mille pages de carnets de notes ; là-dedans, dix allusions au judaïsme, nul média n’indiquant que le terme critique Judentum se traduit par « judéité » ou « juiverie » – l’effet changeant, bien sûr, selon la traduction neutre ou injurieuse. Tintamarre et hystérie des médias muets sur Marx… Le nazisme infiltré dans la philosophie (pas moins…). Là aussi, chercher Heidegger, Carnets noirs est révélateur. D’où l’intérêt d’un vrai retour au vrai Marx.
Marx, lettre à Friedrich Engels du 24 mars 1861. Il y décrit « la créature la plus hideuse que j’ai vue de ma vie, au répugnant faciès juif » (garstigen jüdischen Physiognomie). Marx, lettre à Friedrich Engels du 30 juillet 1862, sur Ferdinand Lassalle (1825-1864), ami politique de Marx qui écrit bien « Nègre » (Nigger) et non « Negro » (« Noir »). « Le juif adipeux de Breslau… Il est clair, à la forme de sa tête et à l’implant de ses cheveux, qu’il descend des nègres qui se joignirent à Moïse pour son voyage en Égypte ; à moins que peut-être, sa mère ou sa grand-mère n’aient forniqué avec un nègre. » Ailleurs, Marx traite Lassalle de juif nègre, youpin, sale juif et juif de merde.
Marx (in Herr Vogt, Alfred Costes Éd., Paris, 1927-1928) : « Le grand art du nez de Levy consiste en effet à renifler la pourriture… Le nez de Levy sert au Daily Telegraph de trompe, d’antenne, de phare et de télégraphe. On peut dire sans exagérer que Levy écrit son journal avec son nez » (Joseph Moses Levy est le directeur libéral du quotidien Daily Telegraph).
Une petite dernière, pour la route ?
Elle est de Friedrich Engels, sur Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, fondateur, avec Jules Guesde, du Parti ouvrier français et de L’Humanité. De son propre gendre, Marx dit qu’il « possède la tare que l’on trouve en général dans la tribu des nègres : une totale absence de honte » (Lafargue n’est pas noir, mais créole des Antilles).
Voici l’humour d’Engels. Laura Marx est la seconde fille de Karl. En 1887, son mari Paul Lafargue est candidat (socialiste) aux élections municipales du Ve arrondissement de Paris. Le 26 avril 1887, Engels félicite ainsi Laura (pour lui, c’est drôle) : « Comme nègre, Lafargue est proche du règne animal, donc le Ve arrdt. est parfait pour lui, avec le zoo du jardin des Plantes » Verbatim : “Paul, the candidate of the Jardin des Plantes – and the animals… Being in his quality as a nigger a degree nearer to the animal kingdom than us, he is undoubtedly the most appropriate representative of that district.” (Marx-Engels Werke, MEW, vol. 36, 1967, Institut du marxisme-léninisme, Parti socialiste unifié d’Allemagne SED, DDR).
Xavier Raufer Docteur en géopolitique et criminologue Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin)
Bienvenue dans l’amniotique média-sphère où, pour des journalistes puérils et ignares, le monde est ce qu’ils ont décidé qu’il est. Comme les petits jouent à Papa-Maman (« Alors toi, tu serais le papa… »), pour la presse-gauche-caviar, c’est quand ça les arrange. Prenons le sempiternel « retour à Marx », pour le 200e anniversaire de la naissance du susdit. Un géant de la pensée, se pâme le banc de sardines médiatiques… Si moderne ! Googler « Retour à Marx » édifie vite. Louanges, dithyrambes, zéro critique.
Mais l’antisémitisme et le racisme enragés de Marx ? Rien : soit ses laudateurs sont ignares ; soit, cyniques, ils balaient la poussière sous le tapis.
Ces médias sont-ils toujours aussi aimables ? Là aussi, quand ça les arrange : Martin Heidegger, œuvre de 100 volumes (Gesammelte Werke), mille pages de carnets de notes ; là-dedans, dix allusions au judaïsme, nul média n’indiquant que le terme critique Judentum se traduit par « judéité » ou « juiverie » – l’effet changeant, bien sûr, selon la traduction neutre ou injurieuse. Tintamarre et hystérie des médias muets sur Marx… Le nazisme infiltré dans la philosophie (pas moins…). Là aussi, chercher Heidegger, Carnets noirs est révélateur. D’où l’intérêt d’un vrai retour au vrai Marx.
Marx, lettre à Friedrich Engels du 24 mars 1861. Il y décrit « la créature la plus hideuse que j’ai vue de ma vie, au répugnant faciès juif » (garstigen jüdischen Physiognomie). Marx, lettre à Friedrich Engels du 30 juillet 1862, sur Ferdinand Lassalle (1825-1864), ami politique de Marx qui écrit bien « Nègre » (Nigger) et non « Negro » (« Noir »). « Le juif adipeux de Breslau… Il est clair, à la forme de sa tête et à l’implant de ses cheveux, qu’il descend des nègres qui se joignirent à Moïse pour son voyage en Égypte ; à moins que peut-être, sa mère ou sa grand-mère n’aient forniqué avec un nègre. » Ailleurs, Marx traite Lassalle de juif nègre, youpin, sale juif et juif de merde.
Marx (in Herr Vogt, Alfred Costes Éd., Paris, 1927-1928) : « Le grand art du nez de Levy consiste en effet à renifler la pourriture… Le nez de Levy sert au Daily Telegraph de trompe, d’antenne, de phare et de télégraphe. On peut dire sans exagérer que Levy écrit son journal avec son nez » (Joseph Moses Levy est le directeur libéral du quotidien Daily Telegraph).
Une petite dernière, pour la route ?
Elle est de Friedrich Engels, sur Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, fondateur, avec Jules Guesde, du Parti ouvrier français et de L’Humanité. De son propre gendre, Marx dit qu’il « possède la tare que l’on trouve en général dans la tribu des nègres : une totale absence de honte » (Lafargue n’est pas noir, mais créole des Antilles).
Voici l’humour d’Engels. Laura Marx est la seconde fille de Karl. En 1887, son mari Paul Lafargue est candidat (socialiste) aux élections municipales du Ve arrondissement de Paris. Le 26 avril 1887, Engels félicite ainsi Laura (pour lui, c’est drôle) : « Comme nègre, Lafargue est proche du règne animal, donc le Ve arrdt. est parfait pour lui, avec le zoo du jardin des Plantes » Verbatim : “Paul, the candidate of the Jardin des Plantes – and the animals… Being in his quality as a nigger a degree nearer to the animal kingdom than us, he is undoubtedly the most appropriate representative of that district.” (Marx-Engels Werke, MEW, vol. 36, 1967, Institut du marxisme-léninisme, Parti socialiste unifié d’Allemagne SED, DDR).
Voilà quelques modestes extraits – l’auteur en possède une vaste collection, si besoin – des horreurs antisémites et racistes de Marx & Co. ; la toxique poussière que les bobo-médias balaient sans vergogne sous le tapis.