Apaiser cette colère est une nécessité politique et c’est aussi du bon sens.
Bon sens, qui pour le moment ne prévaut pas véritablement.
Bon sens, qui pour le moment ne prévaut pas véritablement.
C’est dans ce contexte tendu que le premier ministre Edouard Philippe « a dévoilé mardi une série de mesures qui doivent permettre de résorber les « dépenses contraintes », « angles morts » du pouvoir d’achat qui grèvent le budget des ménages, une question au cœur de la crise des « Gilets jaunes ».
Une nouvelle notion apparaît dans le discours politique, celui « d’angles morts »
Il va donc y avoir un site internet de comparaison des offres entre les auto-écoles…. super.
Voilà qui va nous changer le quotidien…
Voilà qui va nous changer le quotidien…
Il vont également « faciliter la mise en concurrence des Syndics »…
Ils veulent aussi « ouvrir le marché des pièces détachées » pour faire baisser le prix…
Mais ce n’est pas tout, pour « les assurances-santé, le gouvernement souhaite l’adoption rapide de la proposition de loi sur la résiliation des contrats en cours d’année ».
Ou encore réduire les contraintes sur les laboratoires d’analyses médicales comme supprimer le fait de réaliser l’essentiel des analyses sur place – pour leur permettre de baisser leurs prix… (et permettre l’émergence de très gros groupes qui pourront vendre des analyses aux laboratoires qui ne feront plus que « piquer » le patient mais c’est un autre sujet), ou encore la vente de médicaments en ligne, autorisée en 2015 mais encore quasi inexistante en France (1% contre 15% en Allemagne), l’exécutif souhaite « aller plus loin » en permettant notamment aux pharmacies de se regrouper pour vendre en ligne. »
Ou encore réduire les contraintes sur les laboratoires d’analyses médicales comme supprimer le fait de réaliser l’essentiel des analyses sur place – pour leur permettre de baisser leurs prix… (et permettre l’émergence de très gros groupes qui pourront vendre des analyses aux laboratoires qui ne feront plus que « piquer » le patient mais c’est un autre sujet), ou encore la vente de médicaments en ligne, autorisée en 2015 mais encore quasi inexistante en France (1% contre 15% en Allemagne), l’exécutif souhaite « aller plus loin » en permettant notamment aux pharmacies de se regrouper pour vendre en ligne. »
Bref, vous l’aurez compris nous en sommes au niveau des moulins à vents puisqu’il n’y a rien pour répondre à la révolte fiscale.
Le seul sujet fondamental à aborder est la meilleure manière de diminuer sensiblement la dépense publique.
Plus nous dépensons collectivement, plus nous prélevons sur une base toujours identique qui n’est pas les pauvres qui n’ont rien, ni les riches qui dans un monde ouvert peuvent partir.
Nous taxons donc abusivement les classes moyennes les plus nombreuses.
Acheter mon Doliprane chez Amazon, ou me faire piquer chez Pierre Paul ou Jacques qui fera analyser mes globules par un grand groupe ne changera rien à mon pouvoir d’achat.
Quand on ne comprend rien, on ne comprend rien.
Charles SANNAT
Source Agence de presse américaine Reuters via Boursorama.com ici