L’orgue de la cathédrale de Nantes avait survécu à la Révolution, aux deux guerres mondiales, au grand incendie de 1972, voilà désormais ce qu’il en reste :
La page Facebook du diocèse de Nantes a rapidement mis en ligne des photos montrant l’étendue des dégâts causés à l’intérieur de la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul par l’incendie d’origine criminel de ce matin :
Sur Twitter, certains anarchistes s’en réjouissent :
Nantes est devenue une ville ou les anarchistes, Antifa et autres miliciens d’extrême-gauche, souvent protégés, sèment la terreur, notamment dans le centre-ville.
Depuis 2 ans, une dizaine d’incendies criminels ont eu lieu à Grenoble. Notamment l’incendie de l’église Saint-Jacques qui a été détruite. Mais, comme les auteurs font partie d’un groupe d’ultra-gauche, le procureur n’avait rien fait jusqu’à présent. Une dizaine de bâtiments, publics et privés, ont été victimes de départs de feux, tous d’origines criminelles.
A Rennes également, fief des milices d’extrême-gauche, la cathédrale avait fait l’objet d’une tentative d’incendie au mois de juin.
Récemment ce furent des antennes radio qui ont été sabotées, attentat revendiqué par la mouvance anarcho-gauchiste. Les renseignements ne cessent d’alerter sur le retour de “l’action directe”. La crise sanitaire a provoqué une vague de radicalisation au sein de l’ultragauche, qui souhaiterait aujourd’hui renouer avec des méthodes inspirées des groupes terroristes des années quatre-vingt. Un stock de cocktails Molotov et de mortiers avait été retrouvé dans un squat d’antifas en Seine-Saint-Denis.
Donald Trump a bien compris l’entreprise de déstabilisation de ces milices, financées et protégées, au point de qualifier les antifas d’organisation terroriste.
Une qualification terroriste permet d’avoir des moyens différents pour les enquêtes, avait fait valoir lundi 13 janvier le procureur de la République au sujet des dégradations et incendies criminels revendiqués par « l’ultra-gauche libertaire » et qui ont eu lieu depuis le printemps 2017. Le procureur de la République de Grenoble a annoncé avoir demandé au parquet national anti-terroriste de se saisir des dossiers de la vague d’incendies criminels de la région grenobloise revendiqués par « l’ultra-gauche libertaire .