Un journaliste menacé de mort mais personne ne s’offusque :
On est en train de vivre un déchaînement d’hystérie du petit milieu politico-parisien qui ne supporte pas le succès de Valeurs Actuelles, c’est ça la réalité (…) Ça fait quatre jours qu’on vit avec des gardes du corps. On a eu une manifestation de la Ligue de Défense noire Africaine devant nos locaux lundi qui ont demandé à ce qu’on nous arrache les bras. C’est une violence inouïe, je ne demande pas qu’on s’apitoie sur mon sort, mais je veux juste que les gens sache que vivre un lynchage comme ça, ça vous marque à tout jamais
Et pendant ce temps-là, le président de SOS Racisme demande encore plus d’épuration en utilisant exactement les mêmes termes que le quotidien le Monde (voir ici) : “rond de serviette”. Complicité ?