Communiqué de la Marche pour la vie :
Demain, le 30 septembre, la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale examine la proposition de loi n°3292, déposée par Mme Albane Gaillot, visant à étendre l’avortement.
Ce texte prévoit :
l’allongement des délais d’accès à l’avortement de douze à quatorze semaines de grossesse
la suppression de la clause de conscience des professionnels de santé.
La Marche pour la vie s’étonne de cette proposition de loi idéologique examinée au cœur d’une crise sanitaire sans précédent. N’y a-t-il pas d’autre urgence pour le Parlement que d’ajouter des morts à la liste des victimes du Covid-19 ?
La Marche pour la vie rappelle que le taux de recours à l’avortement en France a atteint des records avec 232 200 avortements en 2019 (DREES), alors que le nombre de naissances ne cesse de décroître depuis 2014.
Jusqu’où iront-ils ? La Marche pour la Vie se mobilisera le 17 janvier 2021 à Paris et dans plusieurs autres villes de France pour dénoncer l’ampleur de ce crime contre l’humanité.