Alain Escada, président de Civitas
Pas un jour ne passe sans que, matin, midi et soir, les télévisions du système ne répètent les mots d’ordre officiels concernant le Covid : portez votre masque, restez chez vous sauf pour aller au supermarché, isolez-vous des autres, attendez avec impatience votre tour pour être vacciné, préparez-vous au passeport vaccinal pour pouvoir faire ce qui vous plaît hors de chez vous, ne réfléchissez pas car c’est signe de complotisme...
Mais voilà que le Canard enchaîné signale un pataquès dans ce concert multi-télévisuel. Le 24 février, la police fait une descente dans un restaurant ouvert clandestinement. Il est bientôt minuit et les policiers découvrent une intéressante brochette d’une vingtaine de convives : des journalistes de BFMTV, mais aussi “des cadors de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et un gradé de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, tous consultants santé de la chaîne !“.
Cela rejoint d’autres informations précédentes sur des restaurants ouverts clandestinement dans lesquels ont été identifiés des magistrats, des gendarmes et des policiers. Sans oublier les fêtes dans des commissariats dans des conditions interdites au commun des Français.
Mais le cas signalé par le Canard enchaîné est bien plus significatif. Ce n’est plus simplement un privilège que s’accordent des fonctionnaires du régime, de façon très proche de ce qui se passait autrefois en Union Soviétique.
Non, cette fois, c’est vraiment la démonstration que les gens qui se succèdent à la télévision pour nous effrayer ne croient pas aux histoires qu’ils nous racontent.
Comment interpréter autrement ce gueuleton partagé entre des journalistes de BFMTV, des “experts” du monde médical et un gradé des pompiers, tous habitués à nous faire la leçon sur la nécessité de suivre bien docilement les consignes gouvernementales pour échapper à une apocalypse épidémique
S’ils croyaient à ce qu’ils disent à la télévision, s’ils croyaient au bien-fondé de mettre les populations en cage, de porter une muselière, de conserver des distances, de laisser les restaurants fermés, s’ils croyaient la vaccination indispensable à toute reprise d’une vie normale, s’ils partageaient la peur qu’ils insufflent parmi la population, ils n’auraient pas pris le risque de participer à un tel dîner clandestin.
Il faut exiger que les noms de ces convives télégéniques, verbalisés par la police, soient rendus publics.
Et surtout, il faut largement partager cette information qui démontre que le plat que nous servent jour après jour les médias est une mascarade.
Une mascarade dont l’objectif réel est de mettre en place l’ensemble des rouages d’une tyrannie mondialiste.
L’heure est à la dissidence. Cassons nos télévisions et brisons nos chaînes ! Insurgeons-nous !
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