Jean-Marc Borello vient de voir son passé judiciaire ressortir. Le « monsieur social » d’Emmanuel Macron était accusé d’avoir « facilité le trafic de stupéfiants ».
Jean-Marc Borello vient de voir son passé judiciaire remis en lumière. En 1999, il avait été condamné à six mois de prison avec sursis dans une affaire liée au trafic de stupéfiants.
Celui que Le Point désigne comme « le vrai patron de Macron » était accusé d’avoir « facilité l’usage illicite de stupéfiants, en laissant se dérouler et prospérer dans les établissements dont ils avaient la responsabilité un trafic de stupéfiants constitué par une revente et une consommation visibles et notoires d’ecstasy ».
Il avait aussi été condamné à payer 900.000 francs, soit 137.000 euros, à l’administration des douanes.
Tache
Une condamnation qui ressort au moment le moins opportun pour Emmanuel Macron, qui vient d’annoncer le lancement de son « plan de moralisation de la vie politique ».
Jean-Marc Borello gérait, à l’époque, le Palace, une célèbre boîte de nuit parisienne. Il est, aujourd’hui, à la tête de SOS, « principale entreprise d’économie sociale et solidaire française ».