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Ce samedi 5 novembre, aura lieu le deuxième rassemblement organisé à Callac, avec les moyens du bord, par des militants qui veulent que Callac reste Callac, que la Bretagne reste la Bretagne, et que la France reste la France.
Ce que ne souhaitent pas, manifestement, Marie-France Cohen, riche veuve qui vit dans les quartiers aisés à Paris, ni ses enfants, artistes d’Etat du show-biz, ni la gauche immigrationniste, qui multiplie les rassemblements provocateurs près des initiatives des opposants, ni bien sûr Emmanuel Macron, qui a clairement affiché l’objectif : la transition démographique. Autrement dit, la présence de Bretons dans les villages n’est qu’une parenthèse qui doit se refermer au plus vite.
Il est donc intéressant d’observer, à travers ce dossier de Callac, la convergence entre la finance, le show-biz, la gauche, ses élus et ses milices, et le pouvoir mondialiste incarné par Macron. Ils ont tous les moyens à leur disposition : l’argent, les médias, la justice. En face, nous ne sommes que de petites organisations, associations, particuliers, qui n’ont que l’amour de leur région et de leur pays à opposer. C’est le pot de terre contre le pot de fer.
Mais la réponse appartiendra aux Callacois, aux Bretons et aux Français. Le maire refuse d’organiser un référendum ? Nous faisons alors confiance aux habitants de Callac, et à leurs amis, pour lui rendre la vie impossible, et empêcher, par tous les moyens possibles, ce viol de la démocratie que constituerait l’installation forcée, contre l’avis de la population, de soixante-dix familles immigrées.
Les Bretons sont souvent accusés, et à juste titre, de voter pour la gauche immigrationniste, pour Macron, et d’être la région française la plus vaccinée. Mais il faut nous intéresser aussi à la résistance patriotique qui existe dans cette région. L’épisode des Bonnets rouges, ainsi que la forte mobilisation contre la dictature sanitaire, en ont été d’excellents exemples. S’il vient mille Bretons à Callac, nul doute que, malgré les provocations gauchistes, cela changera considérablement le rapport de force local. Par contre, s’il n’en vient que deux cents, les Callacois sont foutus !
Mais cette lutte ne s’arrêtera pas à Callac. Macron veut faire voter une loi imposant les migrants africains, souvent musulmans, dans nos campagnes, après qu’ils aient pourri des villes comme Nantes, Rennes, Brest, et de nombreux autres quartiers de bourgades bretonnes. Le projet Horizon est prêt à se reproduire dans des dizaines de villes de France. D’autres associations, comme Viltaïs, financées par nos impôts, sont prêtes à profiter d’un marché extrêmement juteux.
Cécile Schaffen, jeune femme de 23 ans, viendra expliquer aux habitants de Callac la réalité de Nantes, où elle vit, depuis que Johanna Rolland en a fait une terre d’immigration. A présent, plutôt que de remettre en cause la politique qu’elle a soutenue, elle veut imposer à Callac et aux autres communes rurales une immigration qu’elle n’est plus capable de gérer.
Le maire de Callac, Jean-Yves Rolland, a expliqué, apparemment tout fier, que sa ville était un laboratoire. La résistance de Callac doit être aussi un laboratoire, en refusant des diktats venus d’en haut, sans que le peuple n’ait son mot à dire. Dans d’autres villes, comme à Saint-Brevin-les-Pins ou à Saint-Lys (qui enverront des messages de soutien), la résistance s’organise également. L’axe choisi par les militants de Callac, exigeant un référendum, paraît une arme efficace, qui met les maires collabos, souvent de gauche, face à leurs contradictions et à leur isolement.
Voici les personnes qui interviendront à Callac. Il est important qu’un Gilbert Collard, militant reconnu et apprécié, avec le verbe qui est le sien, soit présent, malgré la distance, et vienne apporter son soutien. Vous y remarquerez quelques vieilles connaissances de Riposte Laïque, preuve que notre journal, qui soutient le combat depuis le début, est autre chose qu’un simple journal, mais aussi un outil militant tourné vers l’action. Mais cela, vous le saviez déjà. Et nous pouvons vous annoncer en dernière minute que Patrick Jardin a pu se libérer et sera également présent à Callac, au milieu de nous.
Eric Zemmour ne sera pas parmi nous, mais il fera lire un message de soutien à notre initiative. Nous espérons que Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan et Florian Philippot, eux aussi sollicités, feront de même.
Hauts les cœurs, et tous à Callac, la mère de toutes les batailles, ce samedi 5 novembre, à 14 h 30.