Depuis à peu près 20 ans les minorités montent et prennent de plus en plus une part active et souvent négative dans notre société. En clair, ils nous emmerdent. Citons en vrac les féministes extrémistes, les Khmers verts – ils ont amplement mérité ce qualificatif – les wokes dans lesquels se retrouvent pêle-mêle les LGBT+++, le mouvement transgenre (0.15% de la population) les Racialistes et la vaste population de l’intersectionnalité, en clair les damnés de la terre. Avec des groupuscules comme les animalistes qui viennent cette semaine, après des années d’efforts, de menaces et de pressions de faire interdire par la mairie de Paris les promenades en poney dans les différents parcs parisiens. Et sans oublier l’islam.
Toutes ces minorités font face à une opposition quasi nulle, ou presque, de la part de la majorité de la population et d’une totale impunité de la part des pouvoirs publics. Il faut dire que chacun de ces mouvements à des degrés divers jouit d’appuis tacites comme par exemple les people, le petit monde politico médiatique et plus inquiétant certains mouvement politiques qui participent même activement à ces mouvements : le summum étant atteint par des élus en écharpe participant à des manifestations écolos ultra violentes ou par exemple à une manifestation ouvertement islamiste aux cris de « Allah Akbar ».