Après La Fin d'un monde, il poursuit sa déconstruction des déconstructeurs. « C’est au début des années 60 que commença à s’opérer une déliaison irrésistible entre le monde holiste du catholicisme et la culture moderne de l’autonomie individuelle qui allait tenir le haut du pavé à partir de mai 68. » Advient alors la société de consommation, du sexe comme des marchandises.
Dans La Fin d’un monde, il dépeignait le démontage, pierre par pierre, de la clé de voûte catholique, en France, en particulier dans sa dimension populaire. Dans Décadanse, il analyse le détricotage d’une autre clé de voûte : la femme. Détricotage de la femme en tant que mère, épouse, poutre maîtresse du foyer et femme tout court; puisqu’on voit aujourd’hui, après cinquante ans de combat pour la libération de la femme, que les femmes sont invisibilisées par les trans. La libération sexuelle a libéré l’homme, et pas la femme, avec l'aide de l'idiot utile féminisme.
Un livre passionnant, et décapant, dont il n'est pas certain que le magazine Marie-Claire lui décerne la mention « solaire » et « inspirant »...